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Des Alpes à l'Atlantique avec deux ânes

(réalisé)
Nous sommes Carole et Dom, 
Notre voyage devait s'étaler sur quatre mois entre mi avril et mi août. Nous ne partirons finalement qu'en mai, Covid oblige avec son lot de consignes. En partant à cette date, nous resterons dans le rayon des 100 km pendant 12 étapes, en attendant début juin et les nouvelles possibilités de se déplacer. A cette date nous continuerons sur l'itinéraire initial, sinon nous en tracerons un nouveau dans le périmètre imposé. L'essentiel sera de se mettre en marche.
Nous partons en autonomie accompagnés de deux ânes bâtés (Vanille et Pépito). Nous souhaitons rejoindre l'île d'Oléron au départ de notre village haut savoyard de Serraval, dans le massif des Aravis.


Nous poursuivons plusieurs objectifs : Prendre le temps, revenir à l'essentiel, rencontrer les acteurs d'autres territoires, ne pas regarder la montre...
Nous compléterons notre carnet le plus souvent possible pour vous faire partager notre aventure.

En regardant la carte et notre itinéraire, peut-être allez-vous reconnaitre votre village. Si vous voulez partager un bout de notre voyage, nous proposer un coin de prairie pour planter une tente et faire brouter les ânes, laissez nous un message.
âne / âne randonnée/trek
Quand : 22/05/20
Durée : 90 jours
Distance globale : 1094km
Dénivelées : +9164m / -9947m
Alti min/max : 3m/1085m
Carnet publié par Domecaro le 21 sept. 2019
modifié le 13 févr. 2021
Mobilité douce
C'est possible (ou réalisé) en train bus stop
7552 lecteur(s) -
Vue d'ensemble

Le topo : Section 33 (mise à jour : 29 juin 2020)

Description :

Samedi 27 et Dimanche 28 juin

La nuit de vendredi à samedi a été rythmée par les coups de tonnerre, des incroyables jeux de lumière à travers la toile de tente et par des rafales de vent à enlever les oreilles des ânes. Rassurez vous, ils les ont encore.

Chez Gaelle et Anthony, l'accueil est encore génial. Leur petite chienne patou teste la solidité des baskets de Dom.... Le départ attendra. Il faut faire quelques  réparations.

Nous sommes dans un lieu de circulation. Nous devons franchir des autoroutes, des rivières (affluent de la Dordogne), passer sous des viaducs par des chemins improbables...
L'itinéraire avait été difficile à  tracer. Cela se confirme sur place. Il faut sans cesse faire des réajustements.

Hier soir, nous avons eu la chance de rencontrer Lucien qui nous propose spontanément un espace pour tout le monde. Les ânes se  couchent et se reposent. Nous partageons un très bon moment avec un passionné de son histoire familiale. Il nous emporte dans ses souvenirs.

Ce matin, même problématique que la veille. Des tours, des détours. Nous changeons l'itinéraire sur les conseils de Lucien . Ce matin, nous avons repris les pistes et les ânes sont vraiment au boulot. Ils ont une bonne cadence.

Ce matin, nous rencontrons un jeune qui souhaite développer un projet d'agriculture et autour du patrimoine. Son moulin est un trésor. 

Cet après midi, nouveau département. La Corrèze.

L'arrivée sur Monestier Merlines se fait vers 16 heures mais le bourg est très étendu et il est plus difficile de trouver un hébergement. Après une bonne heure de recherches, nous obtenons une adresse et nous atterrissons chez Bernard dans sa cabane de chasse. 

Le compte-rendu : Section 33 (mise à jour : 29 juin 2020)

Pop, testeuse de lacets chez Salomon....
Pop, testeuse de lacets chez Salomon....
Lucien, notre bonne étoile de samedi soir
Lucien, notre bonne étoile de samedi soir
Un viaduc, ce n'est jamais qu'un gros dos d'ânes
Un viaduc, ce n'est jamais qu'un gros dos d'ânes
Et comme d'habitude, à notre entrée dans un département, il pleut...
Et comme d'habitude, à notre entrée dans un département, il pleut...
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