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A tous ceux qui me liront,😀 Effectuer en skis de rando nordique la HRJ "Haute route du Jura" était dans mes projets depuis longtemps. Cette rando traverse l'Arc jurassien ( à voir dans « Le Jura, c’est quoi? ») depuis sa partie la plus intéressante en skis. Elle est "grosso modo"parallèle à la GTJ  (ou encore la TJS) mais avec un itinéraire non balisé, plus long et qui passe par les sommets du Jura ( notamment le Weissenstein, le Chasseral, le Chasseron, le Suchet, le Mont d'or, le Mont tendre, La Dôle,  le Grand Montrond, le Colomby de Gex, Le Crêt de la Neige, le Reculet, le Crêt de la Goutte, le Crêt du Nû, le Grand Colombier…). J'ai effectué la première partie depuis Balsthal (en Suisse) jusqu’à Mijoux, en 10 jours : environ 250 kms avec un départ le mercredi 25 janvier et un retour le vendredi 3 février. . J’ai effectué la deuxième partie, de Mijoux Au Plan D’Hotonnes dans une seconde rando, en 5 jours : environ 100 kms avec un départ le vendredi 24 février et un retour le Mercredi 1er mars. Il me manque juste la toute petite dernière partie, des Plans d’Hotonnes à Culoz... J'y ai ajouté une petite "Rétro" avec quelques photos de cette rando effectuée en partie ...dans un autre siècle avec les camarades Didier, Jean-Marc, Milo et Martine et Beignet ou encore Jean-Luc et Pascal! :) Le lien s’actualise avec ma prose, il vous suffit de garder le message avec lequel je vous l’ai envoyé. Vous pouvez tester la partie « commentaires » ( mon pseudo est RegBesac), mais il s’avère que celle-ci ne fonctionne pas très bien! Aussi, vous pouvez me faire part de vos commentaires par sms ou Whatsapp. À bientôt, Régis :)  PS : n’hésitez pas à transmettre le lien à qui vous voulez…
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Les Crêtes du Jura en skis de rando nordique par Régis
Les Crêtes du Jura en skis de rando nordique par Régis
15 jours
788 km
9
Projet : Faire le tour des côtes bretonnes de Rennes à Nantes en 15 jours environ. En réalité, nous n’avons que 12 jours disponibles et nous reviendrons par le train à Rennes à partir de Lorient.   Organisation : -  Transport en TER -  Hébergement en camping ou CCI ou gites ou autres, au fil de l’eau sans réservation (nous sommes en septembre et les nombreux campings ouvrent pour la plupart au moins jusqu’à mi-septembre). - Nos vélos de voyage : Marino a un GITANE Verso Tour avec 4 sacoches et Jean Yves a un vélo en acier sur mesure de chez Olympiques Cycles avec 4 sacoches aussi. Conclusion Nous avons fait un très beau périple en vélo par beau temps, sauf un peu à la fin. C’est une bonne saison pour faire cet itinéraire car il y a peu de touristes et les campings et sites sont encore ouverts. L’amplitude du jour de 7h à 21h30 correspond bien à notre activité avec des nuits pas trop longues. Nous n’avions pas trop de temps et 80km par jour aurait permis de prendre plus de temps sur certains passages, dans certains lieux inspirants pour mieux s’imprégner de la Bretagne. Quatre ou cinq jours supplémentaires auraient permis aussi de visiter l’île d’Ouessant et d’aller jusqu’à Nantes pour un retour en train sur Lyon. Les passages en bateau vers des îles doivent être bien anticipés car ils imposent des contraintes horaires particulières. Les mollets des cyclistes moyens pourront trouver le relief de certaines étapes assez éprouvant malgré l’altitude modeste, avec beaucoup de côtes courtes, mais raides.  On peut aussi trouver le parcours des Eurovélos un peu cassant, car il enchaine des sections disparates aux multiples changements de direction. La côte bretonne est vraiment magnifique et variée, de ports en caps, de côtes sauvages en cités balnéaires, avec plein de sites intéressants à dénicher le long de l’itinéraire (chapelles innombrables, manoirs, menhirs gravés, châteaux, musées, ports …). Il suffit de consulter les documents touristiques mis à disposition dans les campings.
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Tour de la BRETAGNE en vélo du 27 aout au 7 septembre 2022
Tour de la BRETAGNE en vélo du 27 aout au 7 septembre 2022
11 jours
886 km
2
Voyage dans une vallée tout près de chez soi. Voyage à vélo, ou randonnées en montagne pour cet été ? La  situation sanitaire incongrue de cette année était peu propice à la préparation mentale du voyage à vélo en Espagne que je mûris depuis quelques temps ; et le besoin de passer du temps en montagne me titillait. Et bien cette année, je ne trancherai pas ; ce sera montagne avec approche vélo. Habitant dans la périphérie de Grenoble, partir en montagne non seulement n’a rien d’exceptionnel, mais est une habitude, un réflexe du week-end : on s’appelle quelques jours avant, on fixe un RV le samedi ou dimanche matin tôt, et on part en voiture pour revenir le soir après sa course. Et on recommence le lendemain ou la semaine suivante. C’est ainsi qu’on la pratique usuellement, lorsque l’on a de la chance d’habiter dans les zones montagneuses. J’avoue que je me lasse de cette pratique, même si c’est la plus simple ; un aller-retour dans la journée avec du temps passé en voiture n’est pas apaisant. J’ai besoin de m’immerger davantage, et le recours systématique à la voiture me pèse. Convaincue et adepte depuis longtemps de la mobilité douce, j’ai voulu essayer de franchir un cap de plus dans cette démarche, me dire que ce n’était pas une utopie. Cette fois je descendrai de la maison (en Chartreuse) avec mon vélo chargé d’un peu de matériel de montagne, et prendrai le train qui me déposera en Maurienne à Modane. A moi d’enchaîner les trajets en vélo pour passer d’une vallée à l’autre, poser ma tente, et tenter l’ascension de sommets ou randonnées repérés sur la carte. Il y aura donc des journées de vélo à part entière qui seront dédiées à la migration d’un site de bivouac à l’autre, et il y  aura des journées consacrées aux randonnées en montagne. Un rythme différent, loin de la consommation maximale de sa passion favorite en un minimum de temps. J’avoue avoir eu des doutes jusqu’au bout. Non seulement je n’avais pas réussi à convaincre un seul de mes proches dans cette démarche, mais en plus du matériel de voyage à vélo habituel, il faudrait prévoir un peu de matériel adapté à la montagne (petite paire de crampons, bâtons,….). Cela va-t-il passer ?? En fait très bien ! Mes deux sacoches arrières habituelles et un petit sac par-dessus ont largement suffi. Je n’ai jamais de sacoches avant. Il est vrai aussi, que j’avais fait une croix sur le matériel d’escalade, n’ayant pas réussi à embarquer d’autres grimpeurs dans cette aventure. En revanche, des randonneurs étaient prêts à me rejoindre ponctuellement sur site, ce qui m’a permis de partager avec d’autres, plusieurs ascensions de sommets.
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Je ne peux m'empêcher de grimper sur les moindres promontoires
Atteindre la Maurienne en train et vélo pour la parcourir à pied
14 jours
107 km
par Stine