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Nous sommes partis en juillet 2022 en famille avec nos 3 enfants de 12, 10 et 7 ans pour une itinérance à vélo au Kirghizistan en Asie centrale. Quatre semaines d'aventure familiale à vélo à la rencontre d'une population accueillante, de la culture nomade et de paysages grandioses. Ce périple à vélo en famille se compose de plusieurs tronçons (cliquez sur "suite" en bas de la page pour passer au tronçon suivant) : 1. La descente des vallées de Suusamyr, de la Kokomeren, et de Jumgal : une itinérance au milieu de superbes paysages minéraux 2. La montée et le tour du lac Song Kul : une déambulation au cœur des troupeaux de chevaux et des steppes d'altitudes, à la rencontre de la culture nomade 3. L'escapade à cheval vers le lac d'altitude de Kul Ukök, un petit bijou perché dans les montagnes, pour vivre au plus près la tradition équestre du Kirghizistan 3. La descente de la vallée de la Tuura Suu depuis le col très sauvage de Semiz Bel jusqu'au lac d'Issyk Kul : immensité sauvage et accueil chaleureux de la population 4. Itinérance sur la rive sud du lac Issyk Kul : des paysages à couper le souffle et des eaux turquoises pour terminer en beauté notre périple familial Au bilan : 500 km avalés sur des pistes bien chaotiques, pas mal de jolies montées ;-) quelques pannes mécaniques (pneu éclaté, porte bagage mis à rude épreuve par des routes cassantes) de nombreuses familles accueillantes rencontrées de nombreux plats typiques et succulents avalés le tout dans un décor de rêve au milieu d'une nature sauvage et parfois bouillonnante ! Un périple mémorable qui laissera des souvenirs durables dans notre famille ! Merci aux Tsaga, à gtla, à Sofic et à La Tribu dont les récits nous ont tant inspirés et fait rêver ! Nos belles aventures n'auraient pas été les mêmes sans leurs conseils précieux :-)
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Aventure familiale à vélo au Kirghizistan
Aventure familiale à vélo au Kirghizistan
26 jours
518 km
par Elac
53
     A Caroline ma fille et à Gaël mon petits-fils,    De Besançon au Cap Nord… Chiche !   Partir en solitaire, un défi pour un si long voyage ! Ce sera mon plus long voyage. Si je cumule tous les kilomètres que j’aurai faits depuis mon premier coup de pédale il y a déjà quelques années, j’aurai bouclé environ 24 000 km soit 60% du tour de l’Equateur.  J’ai traversé dix pays de Saint-Nazaire à Constanta en Roumanie, j’ai suivi le Rhin d’Andermatt à Rotterdam, j’ai fait deux fois le tour de Bourgogne dont l’un avec mon petits-fils, au cours d'un tour de la France, j’ai rejoint la côte atlantique par la Camargue, le canal des Deux Mers puis remontée jusqu’à Saint-Nazaire et terminée par L’Eurovelo6 jusqu’à Besançon. Et début avril, en guise de reprise d’entraînement, j’ai aussi fait le tour d’Alsace, petite balade de 700 km… Enfin, pour ne pas perdre les bons réflexes et les muscles, petits moteurs qu’il faut indispensablement garder en forme, j’ai pris l’habitude de me rendre à vélo chez mes amis à Strasbourg, en Suisse… Et maintenant, quand Gaël m’accompagne, grand garçon de 5 ans, c’est dans sa remorque à vélo à pédales. Vertigineux ! Tous ces voyages ont été l’occasion de faire des rencontres magiques, découvrir des paysages magnifiques, avoir des surprises émouvantes. Quand je pédale, j’éprouve un grand sentiment de liberté. Je deviens philosophe, poète, artiste. Je partage mes réflexions et mes sentiments, mes efforts aussi, avec les cyclotouristes qui m’accompagnent quelquefois sur des dizaines de kilomètres. Quelques-uns me disent que croiser une dame de mon âge -j’ai 68 ans- seule, partant si loin, les aide et les motive. Moi aussi je suis très motivée et je continue, le nez au vent et les sourires dans mon baluchon. Quand je rejoins mon point de chute, je retrouve quelques-unes de ces rencontres et je découvre d’autres cyclotouristes avec qui nous échangeons sur nos expériences. Mais le plus amusant et un peu flatteur aussi je l’avoue, c’est de lire dans le regard de certains l’étonnement, l’admiration et le respect. Parfois même, on me perçoit comme une personne perchée à l’âme romantique. Mais tous font preuve d’humanité, ils sont accueillants, aimables, généreux et surtout admiratifs ! Certaines amies m’ont attribué le terme de jeunior. D’autres sont subjuguées, rares sont celles qui me regardent d’un air circonspect voire dubitatif. Ma fille Caroline, qui sait que je n’outrepasserai pas mes capacités physiques, me fait confiance et c’est important. De cette façon, je pars tranquille, l’esprit léger.  Quant à Gaël, mon petit-fils, adepte de cyclotourisme depuis nos échappées complices,  il sera penché sur les cartes à tracer mon parcours et à dessiner des campings et des restaurants ! Mais je sais qu’au fond de lui, il aimerait partir avec moi parce qu’il est sûr que je vais voir le Père Noël au cap Nord ! Enfin, pour mon retour, fin août 2022, je sais que quand je prendrai l’avion à Alta, mes sacoches, mon cœur, ma tête -mes jambes aussi, seront pleins de souvenirs de rencontres, de paysages, de saines fatigues qui me rendront heureuse et fière d’avoir fait ce que j’aurai fait en 3 mois ½.   
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L'improbable voyage à vélo de Besançon au cap Nord en 2022. Pérégrinations de Jacqueline
L'improbable voyage à vélo de Besançon au cap Nord en 2022. Pérégrinations de...
90 jours
66
Projet : Faire le tour des côtes bretonnes de Rennes à Nantes en 15 jours environ. En réalité, nous n’avons que 12 jours disponibles et nous reviendrons par le train à Rennes à partir de Lorient.   Organisation : -  Transport en TER -  Hébergement en camping ou CCI ou gites ou autres, au fil de l’eau sans réservation (nous sommes en septembre et les nombreux campings ouvrent pour la plupart au moins jusqu’à mi-septembre). - Nos vélos de voyage : Marino a un GITANE Verso Tour avec 4 sacoches et Jean Yves a un vélo en acier sur mesure de chez Olympiques Cycles avec 4 sacoches aussi. Conclusion Nous avons fait un très beau périple en vélo par beau temps, sauf un peu à la fin. C’est une bonne saison pour faire cet itinéraire car il y a peu de touristes et les campings et sites sont encore ouverts. L’amplitude du jour de 7h à 21h30 correspond bien à notre activité avec des nuits pas trop longues. Nous n’avions pas trop de temps et 80km par jour aurait permis de prendre plus de temps sur certains passages, dans certains lieux inspirants pour mieux s’imprégner de la Bretagne. Quatre ou cinq jours supplémentaires auraient permis aussi de visiter l’île d’Ouessant et d’aller jusqu’à Nantes pour un retour en train sur Lyon. Les passages en bateau vers des îles doivent être bien anticipés car ils imposent des contraintes horaires particulières. Les mollets des cyclistes moyens pourront trouver le relief de certaines étapes assez éprouvant malgré l’altitude modeste, avec beaucoup de côtes courtes, mais raides.  On peut aussi trouver le parcours des Eurovélos un peu cassant, car il enchaine des sections disparates aux multiples changements de direction. La côte bretonne est vraiment magnifique et variée, de ports en caps, de côtes sauvages en cités balnéaires, avec plein de sites intéressants à dénicher le long de l’itinéraire (chapelles innombrables, manoirs, menhirs gravés, châteaux, musées, ports …). Il suffit de consulter les documents touristiques mis à disposition dans les campings.
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Tour de la BRETAGNE en vélo du 27 aout au 7 septembre 2022
Tour de la BRETAGNE en vélo du 27 aout au 7 septembre 2022
11 jours
886 km
2
France -> İtalie -> Grèce -> Turquie -> İran  > (en car) > Belgique -> France... Allez cette année on fait un break, une pause, pour refaire le plein de rencontres, de paysages et d'idées toutes fraiches !! ... Pour tout dire, c'est surtout d'un gros gros break que j'avais besoin, de ceux dont on revient différent, dans un univers devenu trop souvent incompréhensible, et pour lequel je n'avais plus les bonnes clés. La maladie, puis le décès subit de mon père début mars 2020, à seulement 69 ans (a peu près a l'âge de ma possible retraite), ont été déclencheurs.  L'envie de changer d'air est devenue prioritaire, la decision d'un break a été prise lors du solitaire deuxieme confinement, en novembre 2020, apres une énieme journée de teletravail, confortable mais tellement anesthésiante.   Alors un vieux rêve d'ado a trouvé l’opportunité trop belle pour revenir sur le devant de la scène, tout simplement "Aller en Mongolie a vélo". Il a pris toute sa place, les planètes se sont alignées, et mon chef de service a accepte un congé sabbatique de 11mois jusqu'au 2 janvier 2023. Donc l'idée de départ est assez simple : partir en vélo de chez moi, fermer la porte et aller en Mongolie. Par voie terrestre uniquement, y compris le retour. De façon plus détaillée, atteindre la vallée d'Orkhon, où je suis déjà allé en 2016, une dizaine de jours en itinérance à cheval.  Pour le retour, prendre le train Transsibérien au lac Baïkal, et rentrer via Moscou et Bruxelles. Compte tenu de la situation géopolitique et surtout des fortes tensions avec la Russie, et bien que les frontières mongoles se soient ouvertes, je n'ai pas osé dépasser la mer Caspienne. Aussi j'ai pris trop de retard en route et n'étais pas prêt a affronter l'hıver dans ces contrées. J'ai donc engagé le retour a partir de Téhéran  ;) Un coup de pédale après l'autre, les paysages ont défilé, et ces 8 mois passés sont pour moi une superbe aventure :) .
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Vraiment touchant, merci Khazar !!! (la jeune fille)
Ensemble en 2022, on pédale plus loin !
265 jours
10431 km
75
13560km à travers l'Europe à vélo pour l'autisme 💙 🚴🏽‍♂️ ➡️ Quand je me suis lancé dans la préparation de cette aventure il y a un an, le genou blessé et pouvant à peine marcher, j'avais des doutes plein la tête. Est-ce que j'en suis capable ? Quel est le but profond, caché de cette aventure ? Pourquoi partir seul ? Il faut avoir le courage de vivre ses rêves et de donner le premier coup de pédale. Le reste de l'histoire s'écrit tout seul. Et quelle histoire 😍 Pour moi, ce premier coup de pédale a été donné le 2 Avril 2022, journée internationale de l'autisme, à Blois, avec mon frère et mon neveu Xavier. ➡️ Je ressentais le besoin de faire une pause professionnelle, de prendre du temps pour réaliser un projet sportif. Et d'y amener du sens. Assez naturellement j'ai proposé à mon frère de rouler pour l'association "Des rêves pour Xavier", qui a pour but d'aider Xavier, mon neveu autiste de 15 ans, et sa famille. Au travers d'une cagnotte participative, j'avais pour but de financer un vélo tandem adapté à ses besoins. Mais également de sensibiliser à l'autisme ✊🏼 ➡️ Samedi 15 octobre, j'ai bouclé la boucle à Blois rempli de larmes, de joie et de fierté. Quelques chiffres de cette folle épopée : - 13560km - 195 jours sur les routes dont 167 à rouler - 97400m de dénivelé positif - 673h de selle - 25 pays traversés 🇫🇷🇨🇭🇮🇹🇸🇮🇭🇷🇧🇦🇲🇪🇦🇱🇲🇰🇬🇷🇧🇬🇷🇴🇭🇺🇸🇰🇵🇱🇱🇹🇱🇻🇪🇪🇫🇮🇳🇴🇸🇪🇩🇰🇩🇪🇳🇱🇧🇪 - 3 associations pour l'autisme rencontrées en France, Grèce, Roumanie, pour échanger sur les solutions pour jeunes adultes autistes. ➡️ Il y a eu de nombreux moments de doute, quelques galères forcément, des rencontres incroyables et parfois inattendues 🐻, de la pluie et du vent de face à n'en plus finir. Mais surtout des moments magiques, un bonheur et une liberté de tous les instants, un objectif et un but à atteindre. La force de sortir tous les matins de mon sac de couchage et de ma tente pour aller atteindre ce rêve. ➡️ Comme un symbole, j'ai eu la joie de partager les derniers 45km avec Xavier et Grégoire sur le tandem financé par ce projet. Mes parents, qui m'ont accompagné au début et pendant quelques semaines en Norvège, étaient là aussi pour ces derniers tours de roues. Et ma famille et amis proches sur la ligne d'arrivée. L'objectif a été largement atteint puisque grâce à la générosité incroyable de dizaines de personnes, et des donations de deux Rotary clubs de la région, nous avons levé autour de 18000€ 🙏💙 ➡️ Et concernant le fait de partir seul, cette citation de Paulo Coelho vaut plus qu'une longue explication : " La solitude n'est pas l'absence de compagnie, mais le moment où notre âme est libre de converser avec nous et de nous aider à décider de nos vies "
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Cycling for Autism
Cycling for Autism
195 jours
14342 km
3
Le Kirghizistan était dans ma tête depuis plusieurs années. Très peu médiatisé en France, il a pourtant attiré mon attention lorsque je suis tombé sur le blog d’un cyclotouriste ayant passé 5 semaines là-bas. Ses photos sont MAGNIFIQUES !!! J’ai dû les regarder une vingtaine de fois en fantasmant qu’un jour je puisse y mettre mes roues. Lorsque j’ai commencé à préparer ce projet, je me suis inspiré de son itinéraire et lui-même s’était inspiré de la Silk Road Race (une course de fêlés en VTT/Gravel).   Je suis parti de Paris le 25 juin 2022 pour Bichkek, la capitale, avec un retour le 18 juillet. Je trouve que le vol A/R n’est pas trop cher (500e +180e de vélo) et surtout, nul besoin de visa. La période est favorable pour les raisons suivantes : les cols sont accessibles, les cours d’eau sont bien alimentés, la météo est bonne et les températures sont plus ou moins supportables avec toutefois des variations importantes dans une même journée (6°C/37°C).   L’attente de mes bagages à l’aéroport est toujours pour moi une situation un peu stressante. Heureusement, j’ai tout :). Je ne sais pas s’ils remplissent les avions avec une pelleteuse mais en sortant le vélo de la housse, j’ai les deux portes bagages tordus. Merci Turkish Airlines ! :((( Je pédale 30 km depuis l’aéroport jusqu’à Bichkek en plein cagnard. Cela ne présente aucun intérêt mais les jambes en avaient besoin. Je fais quelques courses et transforme 600 euros en 51000 SOM avec la baguette magique d’une Demir-Bank. Le pays n’est vraiment pas cher : j’ai dépensé le tiers de cette somme pour la totalité de mon séjour. Je passe ma première nuit à l’Astoria Garden, d’où la gérante me trouve pour le lendemain, un taxi pour Bokonbayvo, point de départ de mon parcours (https://ridewithgps.com/routes/40269912). Je prévois 16 jours sur ma selle et 2 de repos pour réaliser un total de 1200 kms.   Comme toute aventure qui se respecte, elle a bien évidemment son lot d’imprévus. J’ai dû faire une croix sur une partie de mon itinéraire car je m’approchais trop près de la frontière chinoise. Stoppé par une barrière et deux soldats kirghizes, je rentrais dans une zone militarisée. Sans permis, ni guide, c’est retour à l’envoyeur (4 zones réglementées au total dans le pays)   Le poids est l’ennemi des pistes et de l’effort en altitude. Néanmoins j’ai fait le choix de me lester de tous mes petit-déjeuners (céréales) et de tous mes dîners (18 plats lyophilisés REAL) afin de varier les apports nutritionnels et le plaisir d’un plat plus élaboré que je n’aurais pu préparer. Les midis se compléteront lors de mes passages dans les villages. Se réapprovisionner, même dans le plus petit bled est assez facile. Il y a bien souvent de la publicité sur la façade des épiceries, la porte est ouverte sinon il faut sonner. La diversité des produits vendus est assez bonne (meilleure qu’en Mongolie). Pains, tomates, concombres, œufs, fruits, gâteaux secs, soupes chinoises seront, la plupart du temps, l’essentiel de mes déjeuners. L’isolement de certaines parties de mon parcours m’ont contraint à rouler avec 5 jours d’autonomie alimentaire. Pour l’eau, je n’ai rencontré aucun problème, car il est assez simple d’en trouver. Attention toutefois à la filtrer car les troupeaux sont partout. J’avais deux litres sur le vélo chaque matin pour la journée et il m’est arrivé de remplir ma loutre de 10l si j’avais le doute d’en trouver en fin de journée. Un réchaud PRIMUS multi fuel avec de l’essence 95 m’a permis de faire bouillir mon eau pour la soupe et la ré-hydratation de mon plat lyophilisé le soir ainsi que le café, mes céréales du matin et les œufs durs pour le midi.   Mon délire pour ce voyage était de prendre un Fatboy (fauteuil gonflable de 700g). Les minimalistes appellent cela un doudou, lorsque l’objet transporté n’a aucune utilité pour la randonnée. J’ai ADORÉ contempler matin, midi et soir, cette nature si riche, vautré dans autant de confort. Il contrastait tellement avec ma selle que mes pauses étaient devenues des moments de totale plénitude. Je recommande GRAVE !!!!!   Généraliser l’état des pistes serait inutile. Elle va de très bonne à très cassante. A cela, j’ai essayé de rendre ma bicyclette le plus "Tout Terrain" possible avec une cassette 11/34 et un triple plateau 22/32/42, histoire de grimper aux arbres. J’ai ensuite monté ce qu’il y avait de plus gros pour un cadre Surly Disc Trucker, des pneus SCHWALBE MARATHON PLUS MTB de 26x2,25. Gonflés à 2 bars, ils me donnaient un certain amorti et je n’ai déploré aucune crevaison. Je recommande aussi !   L’autonomie en électricité de mes appareils électriques (GPS, smartphone, GOPRO, frontale) m’a été fournie par une batterie additionnelle, elle-même alimentée pendant que je pédalais par un moyeu Dynamo Son via un port USB C.   Les kirghizes sont accueillants, généreux, curieux sans être collants. Ils aiment qu’on les saluent et savoir d’où tu viens. Malheureusement nos conversations étaient très limitées car très peu parlent anglais. Ceci étant dit, il n’est pas surprenant de se retrouver invité à un pique-nique avec un verre de vodka à la main pour le midi.   J’ai été bluffé par la beauté de ce pays qui m’a rapidement mis en confiance. C’est un véritable coup de cœur. http://the-loco-motion.over-blog.com/2022/06/le-kirghizistan-etait-dans-ma-tete-depuis-plusieurs-annees-tres-peu-mediatise-en-france-il-a-pourtant-attire-mon-attention-lorsque-je-suis-tombe-sur-le-blog-d-un-cyclotouriste-ayant-passe-5-semaines-la-bas-ses-photos-sont-magnifiques-j-ai-du.html
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Le Kirghizistan en solo
Le Kirghizistan en solo
20 jours
par Nuage
5
Une boucle cyclo en Ardèche. 3 Jours en itinérances "pour voir" ce qu'il est possible de faire en distance, dénivelées, chargement, organisation dans la durée car il s'agit d'une première pour moi.... Il y a un mix entre Dolce Vita, Voie Douce de La Payre et Via Rhôna. Les étapes ont donc été plutôt conséquentes et il est tout à fait possible de rendre l’itinéraire plus familial en ajoutant des étapes intermédiaires aux Ollières-sur-Eyrieux et au Cheylard (Et éventuellement en évitant le passage par Privas si l’on souhaite faire 100 % de Voie Verte). Les voies vertes alternent sections goudronnées et en gravier. L’ensemble est bien roulant sans « nid de poules ». En automne, attention aux bogues de châtaignes ! La route qui monte au Col du Moulin à vent est une longue rampe large et régulière avec un revêtement bien roulant. Je n’ai pas vraiment eu de circulation sur cette portion : juste quelques voitures et motos. Dans la configuration actuelle (227 Km) : Jour 1 : 73,5 Km Jour 2 : 70 Km Jour 3 : 83,5 Km Au final, en ce qui me concerne, je pense que dans cette configuration de terrain avec le chargement et le type de revêtement, des étapes de 50-60 Km sont un bon compromis. Cela permet d'avancer tout en prenant le temps de s'arrêter pour visiter, se ravitailler Pour la logistique, je trouve qu'il m'a été préférable d'être autonome pour le repas du midi car entre 12h et 14h, je me suis rarement trouvé à proximité d'un restaurant ou d'une supérette. Par contre, le soir est plus propice à un bon repas dans le village étape !
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Voies Douces en Ardèche
Voies Douces en Ardèche
3 jours
224 km
2