Odyssée sur le Danube
Ma descente du Danube en kayak gonflable en solitaire à l'automne 2022.
randonnée/trek
kayak de mer
/
Quand : 03/09/2022
Durée : 90 jours
Durée : 90 jours
Distance globale :
2860km
Carnet publié par Tony Pana
le 12 juin
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
train
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Le topo (mise à jour : 12 juin)
Description :
Les méandres des 2860 km du Danube depuis sa source jusqu'à son delta.
Le compte-rendu (mise à jour : 12 juin)
Ma descente du Danube depuis sa source jusqu’à son delta, de la Forêt-Noire à la mer Noire, dans un kayak gonflable baptisé Néarque.
Un voyage dans l’esprit des aventures de Jules Verne, glissant d’une capitale historique à l’autre, m’émerveillant devant les fabuleux monuments et le relief millénaire, sur fond de passion pour l’Histoire, les mythes et les légendes, qui sont autant de prétextes à l’évasion et à la rêverie.
Trois mois, 2 860 km, la descente d’un fleuve, mais surtout une plongée en moi-même au fil de ce long défi solitaire plein d’introspection. C’est une quête de valeur et de sens, une recherche philosophique d’un équilibre parfait entre patience et acceptation d’une certaine monotonie, et redoubler d’efforts pour mériter le spectaculaire, confronté à la métaphore d’un fleuve et de ses caprices.
Défi pour le corps, mais davantage pour l’esprit, quoi qu’il arrive, le Danube me traînera jusqu’à son embouchure ; il s’agit d’y arriver dignement : le seul véritable combat...
Un voyage dans l’esprit des aventures de Jules Verne, glissant d’une capitale historique à l’autre, m’émerveillant devant les fabuleux monuments et le relief millénaire, sur fond de passion pour l’Histoire, les mythes et les légendes, qui sont autant de prétextes à l’évasion et à la rêverie.
Trois mois, 2 860 km, la descente d’un fleuve, mais surtout une plongée en moi-même au fil de ce long défi solitaire plein d’introspection. C’est une quête de valeur et de sens, une recherche philosophique d’un équilibre parfait entre patience et acceptation d’une certaine monotonie, et redoubler d’efforts pour mériter le spectaculaire, confronté à la métaphore d’un fleuve et de ses caprices.
Défi pour le corps, mais davantage pour l’esprit, quoi qu’il arrive, le Danube me traînera jusqu’à son embouchure ; il s’agit d’y arriver dignement : le seul véritable combat...