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Le but était de faire la " tournée des potes" puis des vacances entre amis à Lacanau, dans le sud ouest. Au départ du Jura, plusieurs options s'offrent à moi: l'avion ? Revenant de Nouvelle-Zélande, mon bilan carbone est déjà très (trop) mauvais cette année. En voiture? bof bof. En train? pas des plus pratique. Allez, j'ai mon vélo de route dans le garage...allons-y pour un tour de France et un bout de Suisse à coup de pédale. Comme je n'ai pas de vélo de rando, ni de sacoche, je décide de partir sur de l'ultra-light...et du fait-maison. La bécane donc, c'est mon vélo de route, ni plus ni moins. J'ai quand même investi il y a quelques temps dans une "super-selle-adaptée-à-ton-fessier" et un nouveau cycliste. En espérant que ça suffise pour que je n'hurle pas chaque matin en me remettant sur la selle. Sinon au niveau des affaires, on va à l'essentiel: - 3 paires de chaussettes / sous-vêtements - un maillot de bain (je vais à la Méditerranée et à l'océan Atlantique) - une robe - un jolie paire de sandales - un short, un T shirt de rechange - un coupe-vent - une mini serviette microfibres - ma trousse de toilette, inclus les lunettes de vue dont l'étui prend beaucoup de place - ma chemise de nuit préférée - sur moi: casque, gants, t shirt, cycliste, chaussures de vtt avec inserts automatiques, lunettes de soleil, camel back avec barres de céréales et eau. Les fameuses " sacoches": à l'avant, un sac de type Sea to Summit , léger et étanche, fixé avec 3 joints en caoutchouc des conserves Le Parfait, et une sacoche de cadre faite maison, à partir d'un vieux pantalon K-Way. Cheers :-)
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Du Jura à Lacanau en vélo ultra light
Du Jura à Lacanau en vélo ultra light
23 jours
1173 km
par NZ6839
15
Pédaler sous un beau soleil méditerranéen, à mi-chemin entre l’Europe et l’Afrique, humant les douces odeurs d’eucalyptus et d’olivier tout en profitant de magnifiques panoramas sur des côtes rocheuses et montagneuses … Tel est le projet 2019 de Didier, cyclovoyageur landais. Petite particularité pour cette nouvelle aventure : son fils aîné, Loïc, va l’accompagner pour son premier biketrip. Loïc, c’est moi, jeune ingénieur de 25 ans qui s’apprête à découvrir le monde de la randonnée à vélo. Année après année, j’ai toujours suivi les voyages de mon père par conversations familiales WhatsApp pendant que je terminais mes études et que lui parcourait le littoral atlantique le long de la Vélodyssée,  le Lot et le Tarn ou encore la Dordogne. Aussitôt installé en région parisienne avec un poste d’ingénieur débutant, je me lance ! Je commence à préparer mes premières vacances d’été en tant que jeune travailleur : ce sera deux semaines à arpenter le littoral sarde. Et en mai 2019, malgré un accident avec une voiture alors que je circulais à vélo trois mois avant le voyage, c’est bien sur le ferry à Toulon que j’embarque avec mon père (avec un vélo tout juste réparé !). Direction Porto Torres, au Nord-Ouest de la Sardaigne ! Parce que c'est une opportunité trop rarement donnée de se retrouver avec soi-même, le voyage à vélo est une magnifique façon de découvrir de nouveaux paysages. Le relief sarde bien plus escarpé que je ne le croyais m'a permis de réaliser que la véritable beauté de la nature reposait dans la façon que l'on avait de l'aborder. C'est de ce cheminement de pensée et de sentiment le long des côtes de la Sardaigne dont parle notre récit. 
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Après une côte coriace sous un soleil de plomb, nous admirons la baie de Buggerru coincée entre mer et montagnes
La Sardaigne à vélo entre père & fils
14 jours
1084 km
4
Descente du Rhin en kayak de mer Escapade en solitaire depuis la gare de Valendas-Sagogn, en Suisse, jusqu'au Harvinglievt, aux Pays-Bas, aux portes de la mer du Nord. Périple effectué du 05 au 25 mai 2019. Cette expédition d'un peu moins 1 200 km, m'a conduit à la frontière de 6 pays : Suisse, Liechtenstein, Autriche, Allemagne, France, Pays-Bas. La navigation s'est déroulée dans les gorges du Rhin antérieur, jusqu'à la confluence avec le Rhin postérieur, entre Bonaduz et Tamins. Le Rhin alpin ainsi formé dévale jusqu'au lac de Constance que j'ai traversé par la rive sud, pour rejoindre ensuite les fameuse chutes du Rhin, en aval de Schaffhouse. Le voyage se poursuit au rythme des barrages,  des portages et des bivouacs jusqu'après Strasbourg. Le dernier barrage franchit, la navigation se prolonge jusqu'à Pannerden au nord (Pays-Bas) et Milligen aan de Rijn au sud (Pays-Bas), là où le fleuve se scinde en deux. Vers l'ouest c'est le Waal, que j'ai suivi, et au nord ouest c'est le canal de Pannerden. Puis le Waal devient la Boven-Merwede (Merwede supérieure), à Woudrichem, puis la Nieuwe Merwede (Nouvelle Merwede) et enfin la Hollands Diep, à peu près au niveau de la confluence avec l'Amer, avant les ponts de Moerdijk, pour enfin devenir le Haringvliet. A partir de Bâles, et ce jusqu'à la séparation entre la Beneden Merwede et la Nieuwe Merwede, j'ai fait face à un trafic intense et incessant, jour et nuit. Les transporteurs de plus de 100 mètres, voire plus de 200 mètres, étaient légion, transportant sable, béton, charbon, minerais divers, gaz, voitures, tracteurs, camionnettes, containers par centaines. Je me suis ainsi rendu compte que le Rhin n'a pas usurpé sa réputation et qu'il est bien l'une des voies navigables les plus fréquentées au monde.
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Valendas - Sagogn (CH). En aval après la gare.
Descente du Rhin en kayak de mer
21 jours
1188 km
par Rikou
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