Au Portugal, à grands coups de pédales...
10 jours de vacances, une grosse envie de dépaysement, des vélos qui sortent d'hibernation, pleins idées en vrac...
C'est finalement au Portugal que nous sommes allés faire notre trace.
Avec une arrivée en avion à Lisbonne et un retour de Faro, l'objectif est de rallier les deux aéroports dans le temps imparti !
C'est finalement au Portugal que nous sommes allés faire notre trace.
Avec une arrivée en avion à Lisbonne et un retour de Faro, l'objectif est de rallier les deux aéroports dans le temps imparti !
Quand : 14/04/2019
Durée : 10 jours
Durée : 10 jours
Carnet publié par Mag
le 24 juin 2019
modifié le 02 mai 2020
modifié le 02 mai 2020
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Vue d'ensemble
Le compte-rendu : Section 4 (mise à jour : 02 mai 2020)
16 avril 2019
Praía de Creica - Aldeia de Bescos
63 km - 465 m D+
7h. Une douce chaleur envahi la tente. J'entre-ouvre la porte et... surprise... la vue est magnifique. On profite du levé de soleil sur l'océan. Personne à l'horizon. Juste la plage les pins et le grand bleu. Pour un bivouac de fortune, il se révèle paradisiaque. Nous en profitons pour prendre le petit déjeuner, les yeux rivés sur l'azur bleuté.
Sitôt sur les vélos nous retrouvons nos démons de la veille. Mais le panorama de la route côtière nous fait vite oublier la difficulté.
Quelques kms plus loin, Sétubal. Petit tour par le centre ville historique et son marché couvert. Encore une jolie découverte. Partout des étales de fruits et légumes colorés, pâtisseries, fromages et charcuteries locales. Nos papilles s'éveillent... Le repas de midi sera récolté ici.
Direction l'embarquement pour une nouvelle traversée en ferry. Destination Troia.
Les paysages changent à nouveau. La piste longe les dunes des sable. Nous faisons halte à Praía de Comporta. Une belle et grande plage de sable fin. Le vent s'est levé, les vagues ont gonflé. Le repas est pris les pieds dans le sable. Les mets locaux sont un vrai délice.
30 km nous séparent de Melides. Une grande et longue route quasi rectiligne. Heureusement à cette période de l'année elle n'est pas trop fréquentée. Une partie sans intérêt. Mais sans itinéraire alternatif possible.
Nous dînerons au restaurant O Falista ce soir. Pour les avis positifs trouvés sur la toile. Sopa do dia, Bacalhau et Espada. Une cuisine traditionnelle excellente. Et des plats plus que copieux. Impossible de terminer les assiettes. Nous roulons encore quelques kms à la nuit tombante pour dénicher un lieu de bivouac approprié. Heureusement un petit coin tranquille entre les sapins semble n'attendre que nous.
Praía de Creica - Aldeia de Bescos
63 km - 465 m D+
7h. Une douce chaleur envahi la tente. J'entre-ouvre la porte et... surprise... la vue est magnifique. On profite du levé de soleil sur l'océan. Personne à l'horizon. Juste la plage les pins et le grand bleu. Pour un bivouac de fortune, il se révèle paradisiaque. Nous en profitons pour prendre le petit déjeuner, les yeux rivés sur l'azur bleuté.
Sitôt sur les vélos nous retrouvons nos démons de la veille. Mais le panorama de la route côtière nous fait vite oublier la difficulté.
Quelques kms plus loin, Sétubal. Petit tour par le centre ville historique et son marché couvert. Encore une jolie découverte. Partout des étales de fruits et légumes colorés, pâtisseries, fromages et charcuteries locales. Nos papilles s'éveillent... Le repas de midi sera récolté ici.
Direction l'embarquement pour une nouvelle traversée en ferry. Destination Troia.
Les paysages changent à nouveau. La piste longe les dunes des sable. Nous faisons halte à Praía de Comporta. Une belle et grande plage de sable fin. Le vent s'est levé, les vagues ont gonflé. Le repas est pris les pieds dans le sable. Les mets locaux sont un vrai délice.
30 km nous séparent de Melides. Une grande et longue route quasi rectiligne. Heureusement à cette période de l'année elle n'est pas trop fréquentée. Une partie sans intérêt. Mais sans itinéraire alternatif possible.
Nous dînerons au restaurant O Falista ce soir. Pour les avis positifs trouvés sur la toile. Sopa do dia, Bacalhau et Espada. Une cuisine traditionnelle excellente. Et des plats plus que copieux. Impossible de terminer les assiettes. Nous roulons encore quelques kms à la nuit tombante pour dénicher un lieu de bivouac approprié. Heureusement un petit coin tranquille entre les sapins semble n'attendre que nous.