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Cette année l'idée était de partir découvrir notre département, le Finistère (29).  Sur une semaine et à 3 cette fois-ci : Ludo, Ronan et Pierre-Yves qui decouvrait pour la première fois l'itinérance à vélo. - Nous avons rattrapé la véloroute littorale Nord qui mène à Roscoff par le pays Léonard = petites routes tres calmes. - Puis nous avons suivi la voie verte (partie du vélodyssée) qui traverse le département par Morlaix jusqu'à Concarneau à Travers le Parc d'Armorique = ancienne voie de chemin de fer en pleine campagne. - Dans le Sud du département nous avons parcouru la Baie d'Audierne et le Pays Bigouden par la Littorale qui est une voie partagée. Entre Concarneau et Loctudy certaines portions avec beaucoup de véhicules. - la suite du parcours nous fit traverser le Cap Sizun jusqu'à Douarnenez et la Presqu'ile de Crozon = magnifiques vues et routes tres valonnées. - Nous avons fini par prendre une navette bateau jusqu'à Brest... Bilan : - Les vélos ont peu soufferts (2 crevaisons à 3), mais restent limités pour un itinéraire si varié. C'est décidé je change de vélo avec plus de potentiel pour les côtes :-) et plus costaud. - Les hommes ont un peu grincés au départ comme d'habitude. Par la suite le rythme est pris et l'organisation de chacun aussi. - Le Finistère ; Camping sauvage tres tres facile. On connait notre département et on savait à l'avance qu'il est possible de camper partout. On le savait, mais les paysages et les dénivelés sont toujours aussi beaux et variés. Nous avons eu du soleil tout le temps. Capital sympathie +++ de voyager en convoi chargés à 3.
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2016 - Autour du Finistere
2016 - Autour du Finistere
8 jours
443 km
par ronan
2
Retour d'expérience d'un choix de vie basique et itinérant, sans durée de temps. Il est question de vivre le plus librement possible. Vaste affaire. Plus je cherche à l'être, et plus je me rend compte que je ne le suis pas ! Pourtant, je ne possède plus qu'un vélo, et du matériel de bivouac. Mais, j'ai un compte en banque avec quelques milliers d'euros dedans. En voila une piste : l'argent ! Et si on comprennait vraiment  son réel rapport à l'argent ? Sans se mentir. Nous rend t-il libre, ou bien esclave ? Pourquoi ressentir le besoin d'en gagner tous les mois ? D'ou sort cette boulimie, cette peur ? ... Alternative aux charges mensuelle ? ... Deusieme piste : l'ego. C'est lui qui aime le train-train quotidien. Qui veut être rassurer. Mais à quel prix ? Faut t'il faire péter le compteur de l'âge en vivant une vie asceptisé, sans réellement vivre (au cas ou, on sait jamais... puis t'as vu, le monde il est dangereux...) ou réelement vivre en s'adaptant puis on verra. Qui peut se venter de connaître le futur ? Pourquoi faire des plans précis sur x années ? L'autre partie de l'ego : "la vision que j'ai de moi" et "la vision que je crois que les autres ont de moi" est aussi passionnante. Ce qui nous amène à la... Troisième piste : on entre dans les "pressions sociales". Les croyances, normalité, notion manichéenne, ...humm... là il y a du "lourd" aussi. Ça vient de partout, vraiment partout... Même de nous après coup. On reprend le flambeau sans même y réfléchir... Quatrième et dernière piste pour le moment : l'écoute et la connaissance de soi. Ça commence à mon sens tout bêtement en s'analysant. Pourquoi cette émotion, que veut elle me signaler ? Puis en faisant des expériences hors norme, pour se découvrir. Quand on a plus aucune contrainte de temps, il y a plus que nous avec nous même. A savoir : je me pose, j'avance... Je reste avec ces gens, je vais en rencontrer d'autres.... Plus aucune excuse de temps ou autre. Juste écouter son envie. Et bien pour ma part, c'est pas toujours clair. D'autant plus quand la notion d'ego et de normes / pressions sociales diminuent petit à petit... Bref, il y a de quoi faire... voilà rapido sur quoi je veux /vais échanger avec vous. Ça vous branche ? ---------- Dans les grandes lignes, je suis parti CAP vers l'EST. Sans autre plan pour ne pas m'auto parasiter. (Je me donne quelques années histoire de rassuer mon ego, mais j'en sais rien...). Je suis sans compteur (EXIT le culte de la perf) pour ne pas nourrir mon cher et tendre encore fragile. Avec une auto contrainte financière pour ne pas m'abrutir avec la carte bleue et faire place à l'adaptation, l'alternative (j'avou, accessoirement aussi car je ne suis pas libre du point de vu financier, et oui, j'ai besoin d'en avoir de côté encore à l'heure actuelle). A savoir que l'expérience de l'alternative me met un pied sur le bon chemin je pense. Je suis parti de Bordeaux le 15 octobre 2017 et je suis actuellement en Croatie, à Biograd. Encore pour quelques jours, semaine... enfin, on verra quoi ;-) Au plaisir. (Je compte aussi communiquer via Facebook ici : https://www.facebook.com/apressedman/ mais il y a pas le feu hein... Puis j'apprends le montage vidéo doucement...)
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A pressed man - CAP  vers l'EST - Sans retour prévu
A pressed man - CAP vers l'EST - Sans retour prévu
1001 jours
1708 km
par ima
7
Partir? Pour quel endroit, pour qu’elle raison, dans quel but, quel moyen de locomotion, seul ou pas? Quand partir, pour combien de temps? Toute ces questions et plusieurs autres, je me les pose encore alors que je suis a deux mois du départ. Y répondre me donnera du recul alors que j’ai le trouillomètre a zéro. Trois choses sont sures: j’ai mon billet pour le 3 mars en poche, ce sera direction Agadir et que mon voyage ce passera a vélo. A la retraite, je ne me sens pas vieux mais mon entourage me met en garde. Le plus grand risque que je prendrais en partant seul et a vélo est de ne plus pouvoir  m’en passer! Voici comment parle les magasines spécialisés dans le voyage, de nous les Seniors:   « Partir pour un grand voyage nature en itinérance sans moteur avec bivouac, les seniors ont adopté leur pratique, ils ont abandonné le VTT, l’escalade, … pour des activités plus douces tel que le vélo. Ils recherchent le plaisir avant tout. A 62  ans et une bonne santé, grâce a la retraite, une seconde vie commence ». Je suis d’accord avec cela. Mais faut il donner une raison pour partir? Je  pars pour mon plaisir, pour me retrouver seul après toutes ses années passées à s’occuper des autres. Partir vers les contrées ensoleillées du sud du Maroc est mon projet. Partir au début de ma retraite pour faire une coupure avec les 47 passées à travailler et partir seul. Partir à vélo est un bon moyen de regarder le paysage, de faire des rencontres et enfin de voyager lentement. Le coté sportif ne m’intéresse plus, faire 50 ou 150 km par jour n’est pas la même chose, ce sera la première distance que je choisirais. Le seul défi sera mental, tenir bon contre vents et marées.   Partir 4 mois me parait un bon compromis entre mes moyens financiers et le temps qu’il me faut pour parcourir les 3600 km prévus pour m’adapter à ma nouvelle vie.
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Cap au sud roquespine, Agadir Pau en solo et en vélo de randonnée
Cap au sud roquespine, Agadir Pau en solo et en vélo de randonnée
120 jours
3171 km
12
Jeunes mariés, nous prévoyions un voyage d'un an (ou plus) pour traverser l'Amérique du Sud à vélo. Les démissions de nos jobs respectifs sont envoyés, pas de date de retour prévue! Nous partons de Chambéry (Savoie) et allons en vélo jusqu'à Bayonne. Cela va nous permettre de tester notre matos en France. C'est aussi un bon test bagages : nous pourrons nous débarrasser du superflux ou alors parfaire notre équipement (à vouloir trop optimiser le poids, il va peut-être manquer des choses). Petite pause chez des amis puis train jusqu'à Madrid.  Le décollage est prévu pour le 30 octobre.  Arrivée à Buenos Aires en Argentine. Nous prévoyions de descendre un peu sur la côte est pour aller voir les baleines. Ensuite, il s'agit de mettre le vélo dans un bus direction Ushuaïa. C'est alors que l'aventure vélo vélo vélo commence. L'itinéraire n'est pas très bien défini. Nous voulons monter jusqu'en Colombie pour arriver dans les caraibes. Nous avons quelques endroits incontournables par lesquels passer, notamment le désert d'attacama, le sud lipiez et le salar de Uyuni. Nous ne souhaitons pas nous fixer un itinéraire trop précis. Nous avons envie que ce voyage se nourrisse des rencontres, que nos chemins se définissent en fonction des conseils des personnes croisées sur la route. Bien évidemment, nous avons quand même des points de repères. L'excitation commence à nous gagner. Il nous reste un mois pour finioler les derniers préparatifs : se pencher un peu plus sur l'itinéraire, acheter les derniers équipements, lire des livres sur l'histoire politique et économique des pays que nous allons traverser, améliorer notre espagnol... La création du blog est aussi en route. La petite originalité de notre voyage se trouve dans nos sacoches : nous emmenons avec nous une slackline comme médiateur de rencontre (en plus des vélos). Avant le départ, nous fêtons nos 30 ans, une belle façon de dire au revoir à famille et amis. Et que vive le voyage !! Nous sommes preneurs de toute info, conseils ou autre. La suite au prochain épisode. Eline et David
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Traversée de l'Amérique du Sud à vélo
365 jours
par eline
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