Le choix d'une destination de voyage est toujours lié à une émotion. Pour nous, c’est notre amour pour l’Europe du Nord, les circuits qui longent les côtes, les paysages que l’on retrouve au Nord du Cotentin et au Nord de la Bretagne. Et puis il y a l’accessibilité par une mobilité douce. Au programme : une tranche de la Wild Atlantic West, de Cork à Galway. Cela va nous changer des rives du Danube qui faisait partie de notre objectif l’an dernier. Depuis notre Normandie, l’Irlande nous attirait depuis un moment, surtout grâce à la liaison en ferry depuis Cherbourg. Nous savons que nous serons statistiquement plus confrontés au vent et à la pluie, qu’aux températures extrêmes comme nous les avons subies l’été dernier en Allemagne.
Autre nouveauté qui nous attend : les dénivelés. Pour cela, un petit tour de quelques jours entre les falaises du Pays de Caux. On est conscient que l'on risque quand même de souffrir un peu 🥵. Le parcours suit majoritairement l'EV1, avec des incontournables, et nous avons ajouté une étape aux Iles d'Aran. Est-ce que nous aurons de la place pour des magnifiques pulls irlandais ???
Autre nouveauté qui nous attend : les dénivelés. Pour cela, un petit tour de quelques jours entre les falaises du Pays de Caux. On est conscient que l'on risque quand même de souffrir un peu 🥵. Le parcours suit majoritairement l'EV1, avec des incontournables, et nous avons ajouté une étape aux Iles d'Aran. Est-ce que nous aurons de la place pour des magnifiques pulls irlandais ???
Activité :
vélo de randonnée
randonnée/trek
Statut :
réalisé
Distance :
2492km
DATE :
03/08/2025
Durée :
26 jours
Dénivelées :
+9332m
/ -9326m
Alti min/max :
-1m/400m
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
train
ferry
Précisions :
Le train et le ferry de Cherbourg à Dublin. Puis le train jusqu'à Cork. Puis retour de Galway à Dublin également en train.
mise à jour : hier
Au réveil, surprise, Magali retrouve au fond de son duvet, après 2 jours d’inquiétude, ses chaussettes qu’elle croyait avoir perdu en route.
Nous suivons le chemin tracé la veille, et passons par une plaine où nous observons des tas de blocs de tourbe. Je me demande comment elle pourrait être ramassée mécaniquement.
Sur mon influence, nous faisons un détour pour une route plus roulante. Il y a toujours un choix entre temps et km. C’est ce qui nous guide parfois à suivre une route fréquentée plutôt que des voies secondaires. Au final je pense que seul le temps passé à pédaler compte.
Dans un hameau des enfants vendent des jus sur bord de route, ils seraient mieux placés en haut de côte…
À Doonbeg, on fait quelques courses pour le déjeuner, une journée de graine et barres de céréales c’est suffisant ! Nous nous arrêtons à la plage des espagnols pour déjeuner. Des surfeurs s’essayent sur des petites vagues.
Le temps est de plus en plus gris et on se prend même quelques gouttes sous forme de crachin.
On s’aperçoit que les murs séparatifs des champs ont moins de crocosmias, et moins de barbelés et des pierres arrangées différemment.
Lehinch est une plage de surfeurs, et il y a du monde dans l’eau. La ville est très balnéaire et on observe plus d’efforts architecturaux pour les façades des pubs, que pour les établissements religieux.
Premier arrêt sur l’extrémité des falaises de Moher au sud : Hag's Head. Moins de monde, pas de parking, ça limite les touristes. Le chemin côtier est fermé pour cause de sécurité. On rejoint ensuite le site touristique des Cliffs of Moher. Ambiance parking géant, boutiques souvenirs, exposition… et voiturettes pour personnes handicapées ou pas.
Le temps se gâte, le niveau des nuages recouvre le paysage, et nous quittons le site sous une pluie fine, qui se transforme en brouillard humide. On arrive au camping mouillés sous une pluie fine persistante. On hésite mais on monte la tente, et dînons en commençant par une soupe bien agréable.
Nous suivons le chemin tracé la veille, et passons par une plaine où nous observons des tas de blocs de tourbe. Je me demande comment elle pourrait être ramassée mécaniquement.
Sur mon influence, nous faisons un détour pour une route plus roulante. Il y a toujours un choix entre temps et km. C’est ce qui nous guide parfois à suivre une route fréquentée plutôt que des voies secondaires. Au final je pense que seul le temps passé à pédaler compte.
Dans un hameau des enfants vendent des jus sur bord de route, ils seraient mieux placés en haut de côte…
À Doonbeg, on fait quelques courses pour le déjeuner, une journée de graine et barres de céréales c’est suffisant ! Nous nous arrêtons à la plage des espagnols pour déjeuner. Des surfeurs s’essayent sur des petites vagues.
Le temps est de plus en plus gris et on se prend même quelques gouttes sous forme de crachin.
On s’aperçoit que les murs séparatifs des champs ont moins de crocosmias, et moins de barbelés et des pierres arrangées différemment.
Lehinch est une plage de surfeurs, et il y a du monde dans l’eau. La ville est très balnéaire et on observe plus d’efforts architecturaux pour les façades des pubs, que pour les établissements religieux.
Premier arrêt sur l’extrémité des falaises de Moher au sud : Hag's Head. Moins de monde, pas de parking, ça limite les touristes. Le chemin côtier est fermé pour cause de sécurité. On rejoint ensuite le site touristique des Cliffs of Moher. Ambiance parking géant, boutiques souvenirs, exposition… et voiturettes pour personnes handicapées ou pas.
Le temps se gâte, le niveau des nuages recouvre le paysage, et nous quittons le site sous une pluie fine, qui se transforme en brouillard humide. On arrive au camping mouillés sous une pluie fine persistante. On hésite mais on monte la tente, et dînons en commençant par une soupe bien agréable.
LE TOPO : Section 18 Querrin Point - Doolin (mise à jour : hier)
85km
+554m
/ -557m
2m/166m
Départ de Pure Camping au lieu de Doonbeg Cela va nous faire une belle journée