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Avant le voyage, nous consultons les blogs des cyclos voyageurs, nous construisons un itinéraire à l’aide du logiciel basecamp et nous vérifions le dénivelé avec openrunner. Notre choix va se porter sur les Highlands, en privilégiant la côte ouest pour son côté sauvage et sa grande variété de paysages. Nous utilisons deux GPS garmin et nous avons reporté notre circuit sur une carte OSM, téléchargée gratuitement. Nous suivrons une bonne partie de la mythique North Coast 500 à partir de l’île de Skye et jusqu’à Scourie, dans le sens des aiguilles d’une montre, ce qui nous permettra d’avoir globalement des vents favorables (sud Ouest). Cette route est classée parmi les six plus belles routes côtières du monde ! Nous serons 4 (2 femmes et 2 hommes). Ne pas être plus nombreux s’avèrera un bon choix car sur les « single tracks » écossais, nos 4 vélos vont déjà créer des embouteillages. Nos montures : 2 VTC et 2 VTT, équipés de sacoches, car nous voyageons en autonomie. Les 2 VTC, de marque Farrad sont équipés de dynamos dans le moyeu de la roue avant et d’un équipement permettant de recharger des batteries en roulant et notamment, les piles des GPS. Lors de la préparation, la première belle découverte, c’est que nous pouvons prendre l’avion pour Inverness. Notre circuit va donc débuter et se terminer à Inverness, ce qui nous évite de devoir prendre le train et nous laisse plus de temps pour pédaler. Distance totale parcourue : 1 009 km Dénivelé : 13 200 m
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Sourire au sommet
Voyage à vélo dans les Highlands (Ecosse)
15 jours
40
Le but était de faire la " tournée des potes" puis des vacances entre amis à Lacanau, dans le sud ouest. Au départ du Jura, plusieurs options s'offrent à moi: l'avion ? Revenant de Nouvelle-Zélande, mon bilan carbone est déjà très (trop) mauvais cette année. En voiture? bof bof. En train? pas des plus pratique. Allez, j'ai mon vélo de route dans le garage...allons-y pour un tour de France et un bout de Suisse à coup de pédale. Comme je n'ai pas de vélo de rando, ni de sacoche, je décide de partir sur de l'ultra-light...et du fait-maison. La bécane donc, c'est mon vélo de route, ni plus ni moins. J'ai quand même investi il y a quelques temps dans une "super-selle-adaptée-à-ton-fessier" et un nouveau cycliste. En espérant que ça suffise pour que je n'hurle pas chaque matin en me remettant sur la selle. Sinon au niveau des affaires, on va à l'essentiel: - 3 paires de chaussettes / sous-vêtements - un maillot de bain (je vais à la Méditerranée et à l'océan Atlantique) - une robe - un jolie paire de sandales - un short, un T shirt de rechange - un coupe-vent - une mini serviette microfibres - ma trousse de toilette, inclus les lunettes de vue dont l'étui prend beaucoup de place - ma chemise de nuit préférée - sur moi: casque, gants, t shirt, cycliste, chaussures de vtt avec inserts automatiques, lunettes de soleil, camel back avec barres de céréales et eau. Les fameuses " sacoches": à l'avant, un sac de type Sea to Summit , léger et étanche, fixé avec 3 joints en caoutchouc des conserves Le Parfait, et une sacoche de cadre faite maison, à partir d'un vieux pantalon K-Way. Cheers :-)
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Du Jura à Lacanau en vélo ultra light
Du Jura à Lacanau en vélo ultra light
23 jours
1173 km
par NZ6839
15
France -> İtalie -> Grèce -> Turquie -> İran  > (en car) > Belgique -> France... Allez cette année on fait un break, une pause, pour refaire le plein de rencontres, de paysages et d'idées toutes fraiches !! ... Pour tout dire, c'est surtout d'un gros gros break que j'avais besoin, de ceux dont on revient différent, dans un univers devenu trop souvent incompréhensible, et pour lequel je n'avais plus les bonnes clés. La maladie, puis le décès subit de mon père début mars 2020, à seulement 69 ans (a peu près a l'âge de ma possible retraite), ont été déclencheurs.  L'envie de changer d'air est devenue prioritaire, la decision d'un break a été prise lors du solitaire deuxieme confinement, en novembre 2020, apres une énieme journée de teletravail, confortable mais tellement anesthésiante.   Alors un vieux rêve d'ado a trouvé l’opportunité trop belle pour revenir sur le devant de la scène, tout simplement "Aller en Mongolie a vélo". Il a pris toute sa place, les planètes se sont alignées, et mon chef de service a accepte un congé sabbatique de 11mois jusqu'au 2 janvier 2023. Donc l'idée de départ est assez simple : partir en vélo de chez moi, fermer la porte et aller en Mongolie. Par voie terrestre uniquement, y compris le retour. De façon plus détaillée, atteindre la vallée d'Orkhon, où je suis déjà allé en 2016, une dizaine de jours en itinérance à cheval.  Pour le retour, prendre le train Transsibérien au lac Baïkal, et rentrer via Moscou et Bruxelles. Compte tenu de la situation géopolitique et surtout des fortes tensions avec la Russie, et bien que les frontières mongoles se soient ouvertes, je n'ai pas osé dépasser la mer Caspienne. Aussi j'ai pris trop de retard en route et n'étais pas prêt a affronter l'hıver dans ces contrées. J'ai donc engagé le retour a partir de Téhéran  ;) Un coup de pédale après l'autre, les paysages ont défilé, et ces 8 mois passés sont pour moi une superbe aventure :) .
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Vraiment touchant, merci Khazar !!! (la jeune fille)
Ensemble en 2022, on pédale plus loin !
265 jours
10431 km
75
Quand on habite en bord de mer, qui plus est en Normandie, le chemin à parcourir pour gagner les cimes enneigées peut paraître contraignant. Mais quand on y regarde de plus près, c’est aussi un terrain très propice à l’aventure. L’aventure à portée de main, épique et raisonnable. “Ben Nevis, the South route” tire ses racines de principes simples : abandonner les idées fixes, croire aux alternatives, et si elles ne sont pas, les imaginer et surtout les mettre en œuvre. C’est une autre approche des terrains de jeux que la nature nous offre par la pratique de la mobilité douce, un autre rapport au temps et à l'espace qui nous entoure, l’aventure sitôt la porte de mon domicile franchie, pour s'immerger, ressentir, rencontrer, découvrir et partager. En 2014, j’ai réalisé une première approche basée sur la mobilité douce : « Camp de base LH* : Objectif Mont-Blanc » ou comment gagner le sommet du mont-Blanc depuis la mer. Ce premier acte réussi m’a permis d’appréhender la distance qui me sépare des massifs montagneux français ou européens de manière différente. Pour ce deuxième volet, la destination du Ben Nevis fut très vite choisie. Point culminant des Iles Britanniques avec 1 344 mètres d'altitude, situé près de Fort William en Écosse, il fait partie des Monts Grampians dans les Highlands. Outre ses nombreuses voies d’ascensions aux difficultés multiples, l’approche du sommet offre un terrain de jeu varié et sans concession : de la traversée de la Mer de la Manche, à la mythique West Highland Way, qui relie Milngavie (près de Glasgow) à Fort William. Un parcours de 1 200 km, une immersion au cœur d’Albion… La montagne, comme une quête longuement préparée, patiente, l’effort pour remonter à la source de son acte, un changement d’approche qui redonne du sens à ce qui nous entoure, le partage. Vous trouverez tout cela dans « Ben Nevis, the South route » qui, je l’espère, pourra être une source d’inspiration pour votre prochaine aventure... Date : Du vendredi 22 mai au samedi 06 juin 2015   Lieu : Départ : Le Havre / Haute-Normandie / France  è Arrivée : Fort William / Highlands / Ecosse Plus coutumière des traversées en solitaire vers le Brésil, point de départ de la Transat Jacques Vabre, la ville du Havre semble bien loin des voies « normales » qui mènent vers les sommets. Qu’importe les apparences ! Pour ce deuxième volet de Camp de Base LH, j’ai décidé de rejoindre le Ben Nevis, sommet emblématique de la Grande Bretagne. Si son altitude n’est pas comparable aux sommets alpins, le Ben Nevis n’en reste pas moins un sommet à ne pas prendre à la légère. Son approche depuis Le Havre offre un terrain de jeu varié, entre mer et terre. Un périple de près de 1 100km, d’abord en ferry, puis à vélo. Comme lors du premier épisode de Camp de Base LH, la progression se fera en solo et en semi-autonomie. Bivouacs improvisés, nuits en refuge ou chez l’habitant, cheminement loin des grands axes encombrés restent les principes de base. Pour cela, je pars avec le nécessaire de couchage (tente, duvet), une réserve alimentaire de 7 jours, mon équipement d’alpinisme, d’escalade, de vélo, le matériel vidéo, photo, informatique… Bref, un package de près de 45 kg.
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Ben Nevis, the South route
Ben Nevis, the South route
15 jours
1206 km
par Armel
9