Lolo en vélo vers Lola (Tr de Fr/GB)
Tour de France en VTT de Chazey (01) à Paimpol (22)par la via rhôna, passa pais, canal du midi et vélodyssée. Après une croisière sur Lola of Skagen, retour à la maison par le sud de l'Angleterre de Plymouth à Dover en passant par Stonehenge puis par l'Est de la France par la via Francigéna, chemin de Compostelle,(via Campaniensis) canal de Bourgogne, eurovélo 6.( Ne pas tenir compte des dénivelés qui sont faux et des distances car tout n'est pas enregistré)
voilier
VTT BUL
/
Quand : 10/07/2019
Durée : 80 jours
Durée : 80 jours
Distance globale :
3274km
Dénivelées :
+25191m /
-25200m
Alti min/max : -94m/750m
Carnet publié par Cozondsa
le 06 juil. 2019
modifié le 03 août 2023
modifié le 03 août 2023
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Vue d'ensemble
Le topo : Section 41 (mise à jour : 01 sept. 2019)
Distance section :
87.8km
Dénivelées section :
+344m /
-256m
Section Alti min/max : 79m/177m
Le compte-rendu : Section 41 (mise à jour : 01 sept. 2019)
Dimanche 1/9 de Ervy le Châtel à Montbard 94kms : jour des rencontres.
Ce matin,je plie tranquillement mon matos sachant que l'accueil du camping n'ouvre qu'à 8:30. Une fois ma nuit payée, je fais faire la bise à la jeune Hollandaise encore couchée dans sa ⛺. Je passe en ville acheter mon petit déj et mon casse croute du midi puis fais route vers le sud sous un petit crachin. Je gagne ensuite le canal de Bourgogne que je suis vers l'Est. À Tonnerre, c'est la galère. Je crève encore du pneu arrière que je venais de regonfler chez un agriculteur. Je répare sous un abri puis me rends à la station essence du Leclerc pour mettre mon pneu à 4 bars. C'est trop cette fois pour ma chambre qui éclate. J'installe donc ma dernière chambre qui fuit encore de precedantes crevaisons. Je change et rajoute des rustines mais rien n'y fait. Ça fait bien une heure que je galère quand Dominique arrête pour contrôler la pression de ses pneus auto. Je lui demande s'il pourrait me trouver une chambre à air et il me propose aussitôt d'aller en chercher une chez un copain vététiste. Je veux lui payer mais il me l'offre admirant mon périple conté. Du coup, il prend mes coordonnées pour une future réunion conférence sur le thème de l'itinérance en vélo. Quel bonheur ces rencontres éphémères, fortuites mais heureuses. Une fois le vélo réparé, je reprends la piste du canal. Dans après midi, je rattrape des cyclos multi génération avec qui je bavarde. Ils veulent faire une pause vers un restaurant pour prendre un café et je les devance pour commander le mien. Scandalesement, ils me servent mon café mais refusent de les servir parce qu'ils veulent fermer. J'insiste un petit peu mais rien n'y fait. Je reste à bavarder avec l'homme qui sert de voiture balai à propos de navigation étant constructeur de son bateau et admiratif des vieux gréements. Je repars puis le retrouve quelques écluses plus loin, toujours en assistant technique. Puis je rencontre deux Sud Africaines installées en Savoie roulant vers l'ouest. Elles me confirment qu'aucune buvette n'est ouverte devant moi. Bref, je re re redouble le précédent groupe à mon alure entre 25 et 30km/h. Ayant laché le guidon pour reposer un peu le dos tout en maintenant mon alure, je me fais rattrapé par un vetétiste du coin. J'embraye sa vitesse aux alentours des 30km/h et entamé la conversation. C'est apparemment un plaisir partagé car il n'a pas vu les kms passer. Nous roulons ensemble une grosse demi-heure et il m'indique que je peux me restaurer à la foire de Montbard. Effectivement, arrivé en ville, je suis les panneaux indicant la foire, attache mon VTT et mon sac à l'entrée à côté des vigiles puis me trouve une buvette. Le gymnase trouve aussi son utilité pour écrire mon blog tout en rechargeant mon mobile. Je repasse à ma buvette pour remercier le forain Christophe qui m'offre une C'est🍺. Je bavarde un peu avec lui puis me recommande un panini chèvre et offre ma tournée de 🍺. Le ventre plein, je peux quitter la foire vers 20h30 à la recherche d'un bivouac au crépuscule. Quelle belle journée de rencontres qui m'ont fait oublier la pluie et mes déboires avec les crevaisons.
Ce matin,je plie tranquillement mon matos sachant que l'accueil du camping n'ouvre qu'à 8:30. Une fois ma nuit payée, je fais faire la bise à la jeune Hollandaise encore couchée dans sa ⛺. Je passe en ville acheter mon petit déj et mon casse croute du midi puis fais route vers le sud sous un petit crachin. Je gagne ensuite le canal de Bourgogne que je suis vers l'Est. À Tonnerre, c'est la galère. Je crève encore du pneu arrière que je venais de regonfler chez un agriculteur. Je répare sous un abri puis me rends à la station essence du Leclerc pour mettre mon pneu à 4 bars. C'est trop cette fois pour ma chambre qui éclate. J'installe donc ma dernière chambre qui fuit encore de precedantes crevaisons. Je change et rajoute des rustines mais rien n'y fait. Ça fait bien une heure que je galère quand Dominique arrête pour contrôler la pression de ses pneus auto. Je lui demande s'il pourrait me trouver une chambre à air et il me propose aussitôt d'aller en chercher une chez un copain vététiste. Je veux lui payer mais il me l'offre admirant mon périple conté. Du coup, il prend mes coordonnées pour une future réunion conférence sur le thème de l'itinérance en vélo. Quel bonheur ces rencontres éphémères, fortuites mais heureuses. Une fois le vélo réparé, je reprends la piste du canal. Dans après midi, je rattrape des cyclos multi génération avec qui je bavarde. Ils veulent faire une pause vers un restaurant pour prendre un café et je les devance pour commander le mien. Scandalesement, ils me servent mon café mais refusent de les servir parce qu'ils veulent fermer. J'insiste un petit peu mais rien n'y fait. Je reste à bavarder avec l'homme qui sert de voiture balai à propos de navigation étant constructeur de son bateau et admiratif des vieux gréements. Je repars puis le retrouve quelques écluses plus loin, toujours en assistant technique. Puis je rencontre deux Sud Africaines installées en Savoie roulant vers l'ouest. Elles me confirment qu'aucune buvette n'est ouverte devant moi. Bref, je re re redouble le précédent groupe à mon alure entre 25 et 30km/h. Ayant laché le guidon pour reposer un peu le dos tout en maintenant mon alure, je me fais rattrapé par un vetétiste du coin. J'embraye sa vitesse aux alentours des 30km/h et entamé la conversation. C'est apparemment un plaisir partagé car il n'a pas vu les kms passer. Nous roulons ensemble une grosse demi-heure et il m'indique que je peux me restaurer à la foire de Montbard. Effectivement, arrivé en ville, je suis les panneaux indicant la foire, attache mon VTT et mon sac à l'entrée à côté des vigiles puis me trouve une buvette. Le gymnase trouve aussi son utilité pour écrire mon blog tout en rechargeant mon mobile. Je repasse à ma buvette pour remercier le forain Christophe qui m'offre une C'est🍺. Je bavarde un peu avec lui puis me recommande un panini chèvre et offre ma tournée de 🍺. Le ventre plein, je peux quitter la foire vers 20h30 à la recherche d'un bivouac au crépuscule. Quelle belle journée de rencontres qui m'ont fait oublier la pluie et mes déboires avec les crevaisons.