L’Amérique du Sud avec Gillou79
J’ai effectué ce voyage à vélo seul en autonomie totale en partant de Santiago-du-Chili, j’ai roulé en Argentine, Bolivie et Pérou jusqu’à Lima où j’ai terminé mon périple avec des souvenirs plein la tête.
Allez, c’est parti pour visionner mes photos et mes quelques vidéos, pour chaque jour passé sur mon vélo ou pas, c’est une page différente.
Allez, c’est parti pour visionner mes photos et mes quelques vidéos, pour chaque jour passé sur mon vélo ou pas, c’est une page différente.
vélo de randonnée
Carnet publié par Gillou79
le 04 sept.
modifié le 07 nov.
modifié le 07 nov.
Mobilité douce
Précisions :
Malheureusement trajet aller retour en Avion
3615 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : Lundi 20 Octobre (mise à jour : 21 oct.)
Distance section :
81.4km
Dénivelées section :
+50m /
-446m
Section Alti min/max : 3m/435m
Description :
Aujourd’hui, j’ai fait fort. Très fort.
Je suis parti de la lagune de Huacachina, ce petit coin de paradis au milieu du désert, un vrai oasis digne d’un mirage, sauf que celui-là, je l’ai mérité après mes routes infernales d’hier.
Direction Paracas (oui, pas Caracas — je n’ai pas encore traversé l’Amérique en une journée. Et là, grande innovation : j’ai testé pour vous l’autoroute péruvienne à vélo.
Une vraie expérience. Une bande d’arrêt d’urgence parfaite, bien lisse, avec juste le petit frisson de voir passer les camions à 120 km/h à côté de moi.
Franchement, je n’ai jamais roulé aussi vite… ni eu autant envie de vérifier mes freins toutes les deux minutes.
Après cette session “Tour de France, édition autoroute”, j’ai fait une pause déjeuner bien méritée, histoire de recharger les batteries (et calmer mes nerfs). Puis direction les îles Ballestas, un petit bijou naturel. 🐧🐬
Là-bas, j’ai découvert un monde parallèle : des otaries qui se dorent la pilule, des pingouins qui se prennent pour des stars, et des oiseaux qui font des acrobaties dignes du Cirque du Soleil (avec bonus “odeur marine garantie”).
Retour sur la terre ferme, le sel encore sur la peau et les yeux pleins d’images, pour finir ma journée à Pisco, où je dors ce soir.
Autant dire que le pisco sour du soir, je l’ai pas volé !
Bref : entre autoroute, aventure et animaux, une journée bien “pimentée” comme je les aime.👋👋
Je suis parti de la lagune de Huacachina, ce petit coin de paradis au milieu du désert, un vrai oasis digne d’un mirage, sauf que celui-là, je l’ai mérité après mes routes infernales d’hier.
Direction Paracas (oui, pas Caracas — je n’ai pas encore traversé l’Amérique en une journée. Et là, grande innovation : j’ai testé pour vous l’autoroute péruvienne à vélo.
Une vraie expérience. Une bande d’arrêt d’urgence parfaite, bien lisse, avec juste le petit frisson de voir passer les camions à 120 km/h à côté de moi.
Franchement, je n’ai jamais roulé aussi vite… ni eu autant envie de vérifier mes freins toutes les deux minutes.
Après cette session “Tour de France, édition autoroute”, j’ai fait une pause déjeuner bien méritée, histoire de recharger les batteries (et calmer mes nerfs). Puis direction les îles Ballestas, un petit bijou naturel. 🐧🐬
Là-bas, j’ai découvert un monde parallèle : des otaries qui se dorent la pilule, des pingouins qui se prennent pour des stars, et des oiseaux qui font des acrobaties dignes du Cirque du Soleil (avec bonus “odeur marine garantie”).
Retour sur la terre ferme, le sel encore sur la peau et les yeux pleins d’images, pour finir ma journée à Pisco, où je dors ce soir.
Autant dire que le pisco sour du soir, je l’ai pas volé !
Bref : entre autoroute, aventure et animaux, une journée bien “pimentée” comme je les aime.👋👋