Du Triglav à la mer : 3500 bornes sans carbone, ni nucléaire.
55 jours
3549km
55 jours d'itinérance en vélo solaire le long de l'arc alpin pour pouvoir marcher et voler en montagne aussi souvent que possible.
Activité :
parapente vol-rando
randonnée/trek
kayak gonflable
vélo de randonnée
alpinsime
Statut :
réalisé
Distance :
3549km
DATE :
05/07/2015
Durée :
55 jours
Mobilité douce
du pas de la porte au pas de la porte
Mise à jour section : 27 oct. 2015
59.7km
07/08
Après la jolie balade du matin, la suite en vélo est des plus agréables : agréable descente jusqu'à Brusson, remontée tranquille au Col de Joux où je pic nique au bord du canal qui amenait l'eau des glaciers du Mont Rose vers les secs adrets de Saint Vincent, puis longue et agréable redescente jusqu'au fond de la vallée. A 17h à Chambave (le nom me fera rigoler toute la montée...) je repère un joli lac 1000m plus haut où je pense pouvoir me baigner, ainsi qu'un joli sommet juste au dessus pour une balade volée le lendemain ; feu ! Il n'y a plus qu'à remonter là haut avec l'espoir de se rafraichir à l'arrivée, mais à 20h45 quand j'arrive enfin après une rude bagarre contre la l'énorme brise de vallée, qui un lacet sur deux me clouait sur place, je découvre que le lac tant espéré n'est qu'un immense marais sans une parcelle d'eau libre accessible... Baste, le coin est joli, la fontaine à proximité me fournit l'eau pour la douche et un doux mélézin m'accueille pour une bonne nuit bien méritée.
Après la jolie balade du matin, la suite en vélo est des plus agréables : agréable descente jusqu'à Brusson, remontée tranquille au Col de Joux où je pic nique au bord du canal qui amenait l'eau des glaciers du Mont Rose vers les secs adrets de Saint Vincent, puis longue et agréable redescente jusqu'au fond de la vallée. A 17h à Chambave (le nom me fera rigoler toute la montée...) je repère un joli lac 1000m plus haut où je pense pouvoir me baigner, ainsi qu'un joli sommet juste au dessus pour une balade volée le lendemain ; feu ! Il n'y a plus qu'à remonter là haut avec l'espoir de se rafraichir à l'arrivée, mais à 20h45 quand j'arrive enfin après une rude bagarre contre la l'énorme brise de vallée, qui un lacet sur deux me clouait sur place, je découvre que le lac tant espéré n'est qu'un immense marais sans une parcelle d'eau libre accessible... Baste, le coin est joli, la fontaine à proximité me fournit l'eau pour la douche et un doux mélézin m'accueille pour une bonne nuit bien méritée.

L15