De la France au Cap Nord (Norvège) en vélo et en autonomie
Rejoindre le cap Nord (Norvège) à vélo et en autonomie, depuis notre domicile de Morancé dans le Rhône. Nous partirons pour 3 mois et 6 mois d'aventures, selon que nous ferons l'aller ou l'aller et le retour. C'est aussi une parenthèse dans notre vie professionnelle de 6 mois qui arrive au bon moment.
Pour plus détails sur notre voyage et le matériel emporté : https://eddimo.wordpress.com/
Pour plus détails sur notre voyage et le matériel emporté : https://eddimo.wordpress.com/
Quand : 01/05/2019
Durée : 134 jours
Durée : 134 jours
Distance globale :
10174km
Dénivelées :
+27624m /
-27562m
Alti min/max : -27m/761m
Carnet publié par Crazyfrenchfamily
le 28 août 2019
modifié le 10 mai 2020
modifié le 10 mai 2020
Mobilité douce
10065 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : Section 2 (mise à jour : 22 avr. 2020)
Distance section :
752km
Dénivelées section :
+1603m /
-1719m
Section Alti min/max : 54m/462m
Description :
Premier bivouac: camping de Fleurville, suivra celui de Pagny la ville.
Ensuite bivouac à hauteur le l'écluse N°34 à Dampierre. Nuit à l'hôtel sur le plateau de Langres car nous avons eu de la neige et du grésil toute la journée du 4 mai.
Bivouacs successifs à Froncle et Orconte. Camping à Châlon en Champagne. Bivouac dans la banlieue nord de Reims, ancienne halte nautique désaffectée. Puis camping de Guignicourt , bivouac à l'étang de Milourd et enfin camping à Villers Sire Nicole
Ensuite bivouac à hauteur le l'écluse N°34 à Dampierre. Nuit à l'hôtel sur le plateau de Langres car nous avons eu de la neige et du grésil toute la journée du 4 mai.
Bivouacs successifs à Froncle et Orconte. Camping à Châlon en Champagne. Bivouac dans la banlieue nord de Reims, ancienne halte nautique désaffectée. Puis camping de Guignicourt , bivouac à l'étang de Milourd et enfin camping à Villers Sire Nicole
Milieu traversé :
Environnement : [rivière]
Le compte-rendu : Section 2 (mise à jour : 22 avr. 2020)
Premier tronçon: Morancé- Reims - Villers Sire Nicole
Pour cette première partie, nous avons remonté la Saône, les canaux de Bourgogne puis de la Marne. Très agréable, avec peu de dénivelé, les chemins de halage sont loin des routes et très tranquilles. Les haltes fluviales nous ont permis de faire du camping sauvage avec le confort d'une douche ou au moins d'un robinet et de toilettes. On y croise régulièrement des canards et des hérons, ils seront pratiquement les seuls, car en cette période peu avancée de l'année, le parcours est plutôt désert. Les nuits sont fraîches et l'on se réveille régulièrement avec du givre sur la tente (les duvets de qualité se font apprécier). Sur cette première semaine nous aurons aussi le droit a une bonne tempête de neige fondue sur le plateau de Langres pendant plus de 1H 30, nous obligeant à dormir à l'hôtel, pour réchauffer nos vieux os et faire sécher les vêtements.
Nous suivons ensuite des petites parties de l'Eurovélo 3 à partir de Reims, mais surtout dans la vallée de l'Aisne, qui était impraticable à cause de la pluie qui avait transformé les chemins en torrent de boue ou rivière. Nous l'avons quittée préférant les petites routes, avec peu de trafic routier. On s'est quand même égaré plusieurs fois sur cette portion de l'Eurovélo 3 très mal balisée. Les panneaux sont cachés dans les haies !
La mise en jambes se fait progressivement, passé l'euphorie des premiers jours, la fatigue se fait ressentir dans les jambes et l'organisme, le corps n'étant pas encore habitué à cet effort journalier.
Les commerces se font rares dans les campagnes Françaises et comme nous ne suivons pas les grands axes, il ne faut pas hésiter à s'arrêter pour se ravitailler dès que possible.
Pour plus détails sur notre voyage et le matériel emporté : https://eddimo.wordpress.com/
Pour cette première partie, nous avons remonté la Saône, les canaux de Bourgogne puis de la Marne. Très agréable, avec peu de dénivelé, les chemins de halage sont loin des routes et très tranquilles. Les haltes fluviales nous ont permis de faire du camping sauvage avec le confort d'une douche ou au moins d'un robinet et de toilettes. On y croise régulièrement des canards et des hérons, ils seront pratiquement les seuls, car en cette période peu avancée de l'année, le parcours est plutôt désert. Les nuits sont fraîches et l'on se réveille régulièrement avec du givre sur la tente (les duvets de qualité se font apprécier). Sur cette première semaine nous aurons aussi le droit a une bonne tempête de neige fondue sur le plateau de Langres pendant plus de 1H 30, nous obligeant à dormir à l'hôtel, pour réchauffer nos vieux os et faire sécher les vêtements.
Nous suivons ensuite des petites parties de l'Eurovélo 3 à partir de Reims, mais surtout dans la vallée de l'Aisne, qui était impraticable à cause de la pluie qui avait transformé les chemins en torrent de boue ou rivière. Nous l'avons quittée préférant les petites routes, avec peu de trafic routier. On s'est quand même égaré plusieurs fois sur cette portion de l'Eurovélo 3 très mal balisée. Les panneaux sont cachés dans les haies !
La mise en jambes se fait progressivement, passé l'euphorie des premiers jours, la fatigue se fait ressentir dans les jambes et l'organisme, le corps n'étant pas encore habitué à cet effort journalier.
Les commerces se font rares dans les campagnes Françaises et comme nous ne suivons pas les grands axes, il ne faut pas hésiter à s'arrêter pour se ravitailler dès que possible.
Pour plus détails sur notre voyage et le matériel emporté : https://eddimo.wordpress.com/