Elle l'a fait, elle a réussi. Elle ne savait pas que c'était impossible.
Tour d'Europe seule en vélo
Quoi ? Mais tu vas pas partir ?
Quoi mais tu vas pas faire ça ?
Quoi, seule ? Mais tu es folle !!
Qui a dit qu'une femme seule ne pouvait pas voyager ?
A ce qu'il parait quand on est une femme on ne peut pas réussir ? Surtout quand on est un gabarit d' 1,55m moins de 50 kg ?
Je vais vous montrer que si vous avez un rêve, n'hésitez jamais, tout est possible.
Mon rêve à moi était de vivre une aventure humaine et sportive et de découvrir le monde.
Sans grande préparation d'étapes, seule en prenant le minimum pour survivre.
Quoi ? Mais tu vas pas partir ?
Quoi mais tu vas pas faire ça ?
Quoi, seule ? Mais tu es folle !!
Qui a dit qu'une femme seule ne pouvait pas voyager ?
A ce qu'il parait quand on est une femme on ne peut pas réussir ? Surtout quand on est un gabarit d' 1,55m moins de 50 kg ?
Je vais vous montrer que si vous avez un rêve, n'hésitez jamais, tout est possible.
Mon rêve à moi était de vivre une aventure humaine et sportive et de découvrir le monde.
Sans grande préparation d'étapes, seule en prenant le minimum pour survivre.
Quand : 30/04/2018
Durée : 27 jours
Durée : 27 jours
Carnet publié par Elle l a fait
le 20 août 2018
modifié le 27 nov. 2018
modifié le 27 nov. 2018
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
train
Précisions :
Pour aller jusqu'au point de départ j'ai emprunté le train. TGV de Montpellier à Lyon puis de Lyon à Mulhouse, puis TER de Mulhouse à Bâle.
Il a fallu démonter les deux roues de mon vélo pour le mettre dans un sac assez grand pour y mettre le vél...
Pour aller jusqu'au point de départ j'ai emprunté le train. TGV de Montpellier à Lyon puis de Lyon à Mulhouse, puis TER de Mulhouse à Bâle.
Il a fallu démonter les deux roues de mon vélo pour le mettre dans un sac assez grand pour y mettre le vélo.
Merci à V&V de m'avoir aidée pour le montage / démontage et de m'avoir appris à le faire seule.
J'avais également une remorque.
Cet équipement était assez lourd à porter pour un gabarit comme le mien ( 1,54m pour 48kg).
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Vue d'ensemble
Le topo : Jour 22_Serbie (mise à jour : 07 oct. 2018)
Le compte-rendu : Jour 22_Serbie (mise à jour : 07 oct. 2018)
Jour 22: Belgrade_Serbie
Arrivée à Belgrade à 6h du matin, la nuit dans le bus fut rude : contrôle à la douane pendant la nuit, arrêts plusieurs fois pour déposer et récupérer des passagers.
Le décor serbe est dépaysant, d'abord par l'écriture puis la ville, détruite une trentaine de fois.
Je bois un chocolat chaud avec un monténégrin qui me raconte son histoire en attendant l'heure de mon rendez vous chez Katarina mon hôte.
Pour prendre le bus et me rendre chez elle, un homme avec un diable se propose de m'aider à acheminer mon équipement jusqu'au bus. Une fois montée dans le bus, sur le trajet, je m'aperçois que je prenais le chemin dans le mauvais sens. J ai dû descendre l'équipement en plusieurs fois car très lourd et encombrant et essayer de me rendre à l'arrêt en face qui était à plusieurs centaine de mètres ! Me voyant porter mon chargement avec grand peine, j'ai pu compter sur la gentillesse d'un serbe pour porter tout ça et m'amener jusqu'à un taxi car les prix sont peu excessif .
Arrivée chez Katarina, nous nous sommes très rapidement aperçues que nous exercions la même profession ce qui a crée un bon feeling entre nous tout de suite.
J'ai ensuite visité la ville, en essayant de me repérer comme je pouvais, ce qui n'était pas toujours simple.
Puis nous avons passé la soirée avec Katarina a discuter.
Arrivée à Belgrade à 6h du matin, la nuit dans le bus fut rude : contrôle à la douane pendant la nuit, arrêts plusieurs fois pour déposer et récupérer des passagers.
Le décor serbe est dépaysant, d'abord par l'écriture puis la ville, détruite une trentaine de fois.
Je bois un chocolat chaud avec un monténégrin qui me raconte son histoire en attendant l'heure de mon rendez vous chez Katarina mon hôte.
Pour prendre le bus et me rendre chez elle, un homme avec un diable se propose de m'aider à acheminer mon équipement jusqu'au bus. Une fois montée dans le bus, sur le trajet, je m'aperçois que je prenais le chemin dans le mauvais sens. J ai dû descendre l'équipement en plusieurs fois car très lourd et encombrant et essayer de me rendre à l'arrêt en face qui était à plusieurs centaine de mètres ! Me voyant porter mon chargement avec grand peine, j'ai pu compter sur la gentillesse d'un serbe pour porter tout ça et m'amener jusqu'à un taxi car les prix sont peu excessif .
Arrivée chez Katarina, nous nous sommes très rapidement aperçues que nous exercions la même profession ce qui a crée un bon feeling entre nous tout de suite.
J'ai ensuite visité la ville, en essayant de me repérer comme je pouvais, ce qui n'était pas toujours simple.
Puis nous avons passé la soirée avec Katarina a discuter.