La KiiminkiJoki en Canoë - Expé entre père et fils
10 jours
129km
+60m
/ -155m



Découvrir notre expédition en canoë gonflable entre père et fils. Près de 135 km de canoë-bivouac et 50 rapides franchis sur la rivière Kiiminkijoki, aux portes de la Laponie finlandaise.
Activité :
canoë
Statut :
réalisé
Distance :
129km
DATE :
03/07/2018
Durée :
10 jours
Dénivelées :
+60m
/ -155m
Alti min/max :
43m/133m
Mobilité douce
Précisions :
On a choisi de se rendre à Helsinki en avion par manque de temps, même si ce n'est pas le plus écolo. Une fois sur place, on a utilisé les transports en communs locaux, très efficaces.
La KiiminkiJoki en Canoë - Expé entre père et fils
Les étapes :
1
mise à jour : 31 juil. 2019
La Kiiminkijoki : Une rivière de près de 170 km de longueur qui prend naissance au lac de Kivarinjärvi, près du village de Puolanka. Elle quitte le lac pour rejoindre la mer (138 m de dénivelé), en maintenant le cap vers l’ouest-nord-ouest. Pas moins de 70 rapides à franchir … et de belles parties de pêche en perspective. Pour nous ce sera 130 km de canoë-camping et près de 50 rapides franchis.
Coté météo, le soleil était bien présent , les journées proches du 24h/24h, peu de vent et quelques petits épisodes pluvieux sur le début de l’aventure. La navigation a été quand à elle un peu plus compliquée que prévue avec un niveau d’eau très faible dans la rivière. Il a fallu pagayer et ce sera l’occasion de tester in situ les pagaies modulables que nous développons avec Select depuis 1 an. Au final, on restera sur le bateau près de 9h00 par jour. Pour Thomas ce sera une alternance de coups de pagaie, sieste et pêche.
Cette expedition était une reconnaissance de parcours pour emmener des groupes les années suivantes. L’occasion aussi de joindre le boulot avec les vacances, de tester les expeditions avec des enfants en emmenant mon fils Thomas 10 ans. Une seule chose à retenir … une aventure extraordinaire.
Arrivée à Oulu
C’est parti pour 10 jours en Finlande. Il est 4h00 du matin, Aéroport de Lyon … check-in pour nos 80 kgs de bagages. Après quelques heures de vol nous arrivons à Helsinki en Suède. Temperature ici ? 14 degrés. Petite transition dif...
Coté météo, le soleil était bien présent , les journées proches du 24h/24h, peu de vent et quelques petits épisodes pluvieux sur le début de l’aventure. La navigation a été quand à elle un peu plus compliquée que prévue avec un niveau d’eau très faible dans la rivière. Il a fallu pagayer et ce sera l’occasion de tester in situ les pagaies modulables que nous développons avec Select depuis 1 an. Au final, on restera sur le bateau près de 9h00 par jour. Pour Thomas ce sera une alternance de coups de pagaie, sieste et pêche.
Cette expedition était une reconnaissance de parcours pour emmener des groupes les années suivantes. L’occasion aussi de joindre le boulot avec les vacances, de tester les expeditions avec des enfants en emmenant mon fils Thomas 10 ans. Une seule chose à retenir … une aventure extraordinaire.
Arrivée à Oulu
C’est parti pour 10 jours en Finlande. Il est 4h00 du matin, Aéroport de Lyon … check-in pour nos 80 kgs de bagages. Après quelques heures de vol nous arrivons à Helsinki en Suède. Temperature ici ? 14 degrés. Petite transition dif...
2
8.7km
-6m
mise à jour : 01 août 2019
Départ de Oulu
La nuit sous la pluie ne nous empêche pas de dormir et nous nous réveillons à 10h du mat. On fait sécher la tente comme on peut et on refait les sacs. Une dernière douche , un petit dej au chaud et il va être temps de prendre le bus pour Puolanka à près de 130 km. Le chauffeur de bus nous pose comme promis au bord de la rivière, entre deux arrêts de bus. Au top. On a eu juste 100m de portage de matériel.
Premiers coups de pagaie à Puolanka – 10 Km :
Après le gonflage du bateau au milieu des moustiques, on embarque enfin. On navigue jusqu’à 21h30 heure locale au milieu des lacs et sur la Kiiminkijoki avec peu d’eau. On a presque rattrapé notre retard. Le plus long a été de trouver un lieu accessible au milieu des marécages pour débarquer. Le campement est monté, Thomas a pêché sans succès et il est maintenant en train de préparer le feu pour les chamalow pour le dessert. , on va manger à 23h. Le plus rigolo est quand tu oublies d’enlever la moustiquaire de tête pour manger
.
Et apres dodo pour échapper aux Milliers de moustiques.
La nuit sous la pluie ne nous empêche pas de dormir et nous nous réveillons à 10h du mat. On fait sécher la tente comme on peut et on refait les sacs. Une dernière douche , un petit dej au chaud et il va être temps de prendre le bus pour Puolanka à près de 130 km. Le chauffeur de bus nous pose comme promis au bord de la rivière, entre deux arrêts de bus. Au top. On a eu juste 100m de portage de matériel.
Premiers coups de pagaie à Puolanka – 10 Km :
Après le gonflage du bateau au milieu des moustiques, on embarque enfin. On navigue jusqu’à 21h30 heure locale au milieu des lacs et sur la Kiiminkijoki avec peu d’eau. On a presque rattrapé notre retard. Le plus long a été de trouver un lieu accessible au milieu des marécages pour débarquer. Le campement est monté, Thomas a pêché sans succès et il est maintenant en train de préparer le feu pour les chamalow pour le dessert. , on va manger à 23h. Le plus rigolo est quand tu oublies d’enlever la moustiquaire de tête pour manger

Et apres dodo pour échapper aux Milliers de moustiques.
3
19.3km
+1m /
-9m
mise à jour : 01 août 2019
Deuxième journée de navigation – 20 Km
Aujourd’hui, c’est un super bout de rivière avec de jolis rapides mais aussi de longs plats dans un cadre fantastique qui nous attend. On avance bien et on va essayer de reprendre le retard de la veille : ça sera fonction du vent sur les lacs de fin. Soit le vent est dans le dos, soit on prendra encore plus de retard. Pas grave, on n’est pas pressés. La pause de midi sera à deux pas de la Kiiminkijoki pour aller pêcher sur un petit lac. Première prise au lancer avec une cuillère numéro 2 : un brochet d’ 1,20m. Non je plaisante, un poisson blanc genre gardon de 10cm qui est venu se suicider sur un leurre destiné aux carnassiers. Thomas est tout de même bien content.
Une belle après midi pêche pour thomas avec une jolie surprise qui nous servira de repas du soir : un joli brochet et quelques perches communes. Mais il faudra continuer à avancer. Après avoir subi un joli vent de travers pour traverser notre premier lac de 3km on finira par un vent dans le dos qui permettra de se laisser dériver (pendant que thomas pêche depuis le bateau).
Direction vers un petit coin de paradis qui nous servira de campement. Un méga feu préparé par Thomas pour faire cuire le repas et quelques chamalows …la vraie vie.
Un peu fatigué le soir de ces premiers jours d’expé, les photos de la journée n’arriveront que le lendemain matin sur les réseaux sociaux car je me suis endormi sur le tel pendant le transfert. Pour la journée suivante, on ...
Aujourd’hui, c’est un super bout de rivière avec de jolis rapides mais aussi de longs plats dans un cadre fantastique qui nous attend. On avance bien et on va essayer de reprendre le retard de la veille : ça sera fonction du vent sur les lacs de fin. Soit le vent est dans le dos, soit on prendra encore plus de retard. Pas grave, on n’est pas pressés. La pause de midi sera à deux pas de la Kiiminkijoki pour aller pêcher sur un petit lac. Première prise au lancer avec une cuillère numéro 2 : un brochet d’ 1,20m. Non je plaisante, un poisson blanc genre gardon de 10cm qui est venu se suicider sur un leurre destiné aux carnassiers. Thomas est tout de même bien content.
Une belle après midi pêche pour thomas avec une jolie surprise qui nous servira de repas du soir : un joli brochet et quelques perches communes. Mais il faudra continuer à avancer. Après avoir subi un joli vent de travers pour traverser notre premier lac de 3km on finira par un vent dans le dos qui permettra de se laisser dériver (pendant que thomas pêche depuis le bateau).
Direction vers un petit coin de paradis qui nous servira de campement. Un méga feu préparé par Thomas pour faire cuire le repas et quelques chamalows …la vraie vie.
Un peu fatigué le soir de ces premiers jours d’expé, les photos de la journée n’arriveront que le lendemain matin sur les réseaux sociaux car je me suis endormi sur le tel pendant le transfert. Pour la journée suivante, on ...
4
19.6km
+8m /
-25m
mise à jour : 01 août 2019
Etape 3 – La traversée des lacs – 20 Km
Il va falloir se lever et sortir de la tente : pas facile ! Je suis en train de chercher LA solution pour passer le No Man’s Land entre la chambre intérieure de la tente et Le double toit où il y a plusieurs centaines de moustiques qui m’attendent. L’aventure à la porte de chez soi à ce qu’il parait. Après avoir réussi la mission avec juste quelques piqures de moustique sans gravité, on passe en mode petit déjeuner et rangement du campement. On prend la météo, le vent souffle un peu en Est / Nord-Est, ce qui est plutôt encouragent pour cette troisième journée. La plus grande traversée de lacs de la semaine nous attend avec un peu plus de 10 km. On se bricole donc une voile avec les pagaies de secours et le footprint de la tente MSR. On ira pas beaucoup plus vite mais en tout cas ce sera sans effort.
Après cette traversée magnifique, on est de retour sur la Kiiminkijoki et on fera une pause repas sur … une hutte de castors. Seul endroit accessible. Impressionnante : près de 15m de diamètre pour près de 3-4m de haut. On en croisera d’ailleurs d’autres mais pas aussi imposantes. On poursuit ensuite avec quelques rapides et des paysages à couper le souffle.
Aller il est presque 20h il faut que l’on trouve un endroit pour dormir et manger. Au menu ce soir : perches communes fraîchement pêchées par thomas. …
Un bivouac compliqué à trouver. Premier essai au bord de l’eau et 10min plus tard, abandon et rembarquement. Les qu...
Il va falloir se lever et sortir de la tente : pas facile ! Je suis en train de chercher LA solution pour passer le No Man’s Land entre la chambre intérieure de la tente et Le double toit où il y a plusieurs centaines de moustiques qui m’attendent. L’aventure à la porte de chez soi à ce qu’il parait. Après avoir réussi la mission avec juste quelques piqures de moustique sans gravité, on passe en mode petit déjeuner et rangement du campement. On prend la météo, le vent souffle un peu en Est / Nord-Est, ce qui est plutôt encouragent pour cette troisième journée. La plus grande traversée de lacs de la semaine nous attend avec un peu plus de 10 km. On se bricole donc une voile avec les pagaies de secours et le footprint de la tente MSR. On ira pas beaucoup plus vite mais en tout cas ce sera sans effort.
Après cette traversée magnifique, on est de retour sur la Kiiminkijoki et on fera une pause repas sur … une hutte de castors. Seul endroit accessible. Impressionnante : près de 15m de diamètre pour près de 3-4m de haut. On en croisera d’ailleurs d’autres mais pas aussi imposantes. On poursuit ensuite avec quelques rapides et des paysages à couper le souffle.
Aller il est presque 20h il faut que l’on trouve un endroit pour dormir et manger. Au menu ce soir : perches communes fraîchement pêchées par thomas. …
Un bivouac compliqué à trouver. Premier essai au bord de l’eau et 10min plus tard, abandon et rembarquement. Les qu...
5
1.5km
+7m /
mise à jour : 01 août 2019
Etape 4 – Un petit air de Grand Nord
Encore une belle journée de navigation de prévue. Apres un réveil au bord de la rivière, nous voilà repartis en mode pêche en Canoe. Le premier brochet ne met pas longtemps à être pêché et on remettra à l’eau les perches que l’on prendra : Une bonne dizaine de près de 20cm. On croisera deux élans au bord de l’eau : beaux, gigantesques et peu farouches. Une chance exceptionnelle pour thomas.
On fera comme à notre habitude une petite pause repas au bord de l’eau. Thomas en profites pour pêcher et s’essaye à la filtration de l’eau avec le filtre MSR. Efficace mais fatiguant pour ses petits Bras.
On enchaînera ensuite les nombreux rapides alternés de plats puis on mettra près d’une heure pour trouver un lieu de bivouac accessible.
En 20 min tout était monté : je m’occupe du campement tandis que thomas s’occupe du feu et de préparer la pâte à pain. Au menu : brochet du jour et pain banique.
Un régal. Aller, hop au lit. On est qu’à la moitié du parcours.
Encore une belle journée de navigation de prévue. Apres un réveil au bord de la rivière, nous voilà repartis en mode pêche en Canoe. Le premier brochet ne met pas longtemps à être pêché et on remettra à l’eau les perches que l’on prendra : Une bonne dizaine de près de 20cm. On croisera deux élans au bord de l’eau : beaux, gigantesques et peu farouches. Une chance exceptionnelle pour thomas.
On fera comme à notre habitude une petite pause repas au bord de l’eau. Thomas en profites pour pêcher et s’essaye à la filtration de l’eau avec le filtre MSR. Efficace mais fatiguant pour ses petits Bras.
On enchaînera ensuite les nombreux rapides alternés de plats puis on mettra près d’une heure pour trouver un lieu de bivouac accessible.
En 20 min tout était monté : je m’occupe du campement tandis que thomas s’occupe du feu et de préparer la pâte à pain. Au menu : brochet du jour et pain banique.
Un régal. Aller, hop au lit. On est qu’à la moitié du parcours.
6
17.7km
+8m /
-24m
mise à jour : 01 août 2019
Etape 5 - Première journée sans moustiquaire 🙂
Cinquième journée d’expédition. Un départ super tardif le temps de gérer quelques problèmes logistiques pour thomas … et faire un peu de lessive
. Départ effectif à 14h et on se fera tout de même une bonne journée de navigation & pêche dans des coins toujours aussi sympas.
La première journée où l’on navigue sans moustiquaire de tête et sans la goretex. On va y prendre goût jusqu’au bivouac où il faudra reprendre les bonnes vieilles habitudes. Thomas pêchera une quantité impressionnante de perches communes d’une vingtaine de cm que l’on relâchera : trop compliqué à manger pour lui en bivouac avec les arrêtes. Même si il aime bien
.
Un peu de sieste dans le bateau, pas mal de coup de pagaie … et le tour est joué. On mettra tout de même 2h00 à trouver un lieu de bivouac. On terminera dans un champs avec l’accord du proprio très sympa.
Cinquième journée d’expédition. Un départ super tardif le temps de gérer quelques problèmes logistiques pour thomas … et faire un peu de lessive

La première journée où l’on navigue sans moustiquaire de tête et sans la goretex. On va y prendre goût jusqu’au bivouac où il faudra reprendre les bonnes vieilles habitudes. Thomas pêchera une quantité impressionnante de perches communes d’une vingtaine de cm que l’on relâchera : trop compliqué à manger pour lui en bivouac avec les arrêtes. Même si il aime bien

Un peu de sieste dans le bateau, pas mal de coup de pagaie … et le tour est joué. On mettra tout de même 2h00 à trouver un lieu de bivouac. On terminera dans un champs avec l’accord du proprio très sympa.
7
19.1km
+4m /
-30m
mise à jour : 01 août 2019
Etape 6 – Into The Wild
Après avoir démonté le camp installé dans notre champs, nous voici repartis sur la Kiiminkijoki Toujours aussi belle. Entre les pauses pêches où Thomas prendra de nombreuses perches que nous remettons à l’eau et la navigation parfois un peu technique dans des rapides en manque d’eau, la journée semble bien remplie. On croisera même un cygne chanteur (Google est ton amis, les photos sont floues 🙂 ).
On débarquera au bout de près de 20km pour notre bivouac au milieu de nulle part. En effet nous avons pris l’option de quitter la Kiiminkijoki pour un petit bras de cette rivière sur 10km. Fabuleux, on se croirait au fin fond du Canada, sans personne, seulement nous, les animaux et les moustiques (que l’on ne classe pas dans la catégorie animaux).
Le bivouac sera vite installé vers 20h30 puis nous mangerons notre repas de midi 🙂 que nous n’avons pas pu prendre avant : Heureusement nous avons pu grignoter pendant la journée.
Et puis nous avons rencontré Reino et sa famille au bord de l’eau… toute une histoire ... Il nous a mis dans le rouge au niveau timing … mais il y a des rencontres inoubliables qui ne se refusent pas : Finlande et culture… petit voyage chez les finnois.
Au détour d’un virage, une voix nous interpelle en finnois. Un petit « hei » suivi d’un « hello » nous amène à nous rapprocher de la berge. Reino, est là et se demande ce que nous faisons, d’où nous venons et où nous allons. En quelques minutes il nous propose un petit c...
Après avoir démonté le camp installé dans notre champs, nous voici repartis sur la Kiiminkijoki Toujours aussi belle. Entre les pauses pêches où Thomas prendra de nombreuses perches que nous remettons à l’eau et la navigation parfois un peu technique dans des rapides en manque d’eau, la journée semble bien remplie. On croisera même un cygne chanteur (Google est ton amis, les photos sont floues 🙂 ).
On débarquera au bout de près de 20km pour notre bivouac au milieu de nulle part. En effet nous avons pris l’option de quitter la Kiiminkijoki pour un petit bras de cette rivière sur 10km. Fabuleux, on se croirait au fin fond du Canada, sans personne, seulement nous, les animaux et les moustiques (que l’on ne classe pas dans la catégorie animaux).
Le bivouac sera vite installé vers 20h30 puis nous mangerons notre repas de midi 🙂 que nous n’avons pas pu prendre avant : Heureusement nous avons pu grignoter pendant la journée.
Et puis nous avons rencontré Reino et sa famille au bord de l’eau… toute une histoire ... Il nous a mis dans le rouge au niveau timing … mais il y a des rencontres inoubliables qui ne se refusent pas : Finlande et culture… petit voyage chez les finnois.
Au détour d’un virage, une voix nous interpelle en finnois. Un petit « hei » suivi d’un « hello » nous amène à nous rapprocher de la berge. Reino, est là et se demande ce que nous faisons, d’où nous venons et où nous allons. En quelques minutes il nous propose un petit c...
8
38.6km
+31m /
-52m
mise à jour : 01 août 2019
Etape 7 – Go to Koitelin – 20 Km
Avant dernier jour d’expédition. On rajoute 20km au compteur. Une belle journée de navigation sur notre petite rivière au milieu de nulle part. On ne va pas tarder à rejoindre le bras principal de la Kiiminkijoki qui devient de plus en plus Large mais avec de vrais rapides. Cool.
On se trouve un coin pour le petit déjeuner et plus tard le repas lyo de chez Voyager que Thomas prépare. Et enfin arrive le rapide de Koitelin. Un des plus gros de la rivière. Avec ce niveau d’eau ça ne va pas être facile de trouver son chemin. Mais on y parviendra et passerons sans doute pour des fous pour les touristes sur les passerelles : haut lieu touristique. On finira à la pointe aval du rapide en mode bivouac, bain et pain banique au feu de bois. L’art de bivouaquer dans une zone interdite, sur une plage, à 500m de la maison du parc, avec une tente d’expédition MSR orange fluo.
Avant dernier jour d’expédition. On rajoute 20km au compteur. Une belle journée de navigation sur notre petite rivière au milieu de nulle part. On ne va pas tarder à rejoindre le bras principal de la Kiiminkijoki qui devient de plus en plus Large mais avec de vrais rapides. Cool.
On se trouve un coin pour le petit déjeuner et plus tard le repas lyo de chez Voyager que Thomas prépare. Et enfin arrive le rapide de Koitelin. Un des plus gros de la rivière. Avec ce niveau d’eau ça ne va pas être facile de trouver son chemin. Mais on y parviendra et passerons sans doute pour des fous pour les touristes sur les passerelles : haut lieu touristique. On finira à la pointe aval du rapide en mode bivouac, bain et pain banique au feu de bois. L’art de bivouaquer dans une zone interdite, sur une plage, à 500m de la maison du parc, avec une tente d’expédition MSR orange fluo.
9
4.4km
+1m /
-9m
mise à jour : 01 août 2019
Etape 8 : Koitelin … Derniers km avant le retour à la civilisation – 5 Km
Bon, il est 7h50 heure locale et on ne s’est Toujours pas fait virer
. Aller, on plie et on se fait les derniers km pour boucler la descente de la Kiiminkijoki… il ne reste que 5 km, Cela va aller vite. Après un petit tour en mode touriste autours des rapides de Koitelin, c’est parti. On se rapproche de la civilisation. Des zones plus habitées mais une rivière Toujours aussi sympa malgré le peu d’eau.
On arrive enfin au pont de Kiiminki. On débarquera peu après et devrons porter notre matériel sur quelques centaines de mètres jusqu’à une piste cyclable. Après avoir tout reconditionné dans les sacs, on regagnera l’arrêt de bus le plus proche. On en profitera pour acheter quelques produits locaux pour manger dans la supérette à coté de l’arrêt ( probablement de l’import mais en tous cas les emballages sont en finnois … donc on mange local
.
Ie bus nous emmènera ensuite visiter la ville car nous raterons l’arrêt et le chauffeur nous fera patienter pour nous poser dans le centre ville (à l’endroit voulu) lors de son trajet suivant. Arrivés sur place on prendra le taxi jusqu’au camping.
Le soir vers 22h Thomas et moi sommes invités à aller voir les castors : et il a hâte d’y aller. En attendant le camp est monté et on va tenter la plage et la baignade. Ça ne doit pas être plus froid que la rivière.
. L’affut castor est à une quinzaine de km de Oulu. On rentrera bredouilles au milieu ...
Bon, il est 7h50 heure locale et on ne s’est Toujours pas fait virer

On arrive enfin au pont de Kiiminki. On débarquera peu après et devrons porter notre matériel sur quelques centaines de mètres jusqu’à une piste cyclable. Après avoir tout reconditionné dans les sacs, on regagnera l’arrêt de bus le plus proche. On en profitera pour acheter quelques produits locaux pour manger dans la supérette à coté de l’arrêt ( probablement de l’import mais en tous cas les emballages sont en finnois … donc on mange local

Ie bus nous emmènera ensuite visiter la ville car nous raterons l’arrêt et le chauffeur nous fera patienter pour nous poser dans le centre ville (à l’endroit voulu) lors de son trajet suivant. Arrivés sur place on prendra le taxi jusqu’au camping.
Le soir vers 22h Thomas et moi sommes invités à aller voir les castors : et il a hâte d’y aller. En attendant le camp est monté et on va tenter la plage et la baignade. Ça ne doit pas être plus froid que la rivière.
