Ski pulka dans le parc national du Sarek
21 jours
355km
+4962m
/ -4839m
On parle du parc national du Sarek comme étant l'un des plus grands espaces sauvages restant en Europe.
Qui dit sauvage, dit également absence de refuge et de connexion réseau... Quant aux cabanes (renvaktarstuga sur les cartes) elles sont, de par leur vétusté, quasi toutes fermées. Seul un petit abri, au centre du parc avec un poste de téléphone, permet, le cas échéant, d'appeler des secours.
Les conditions climatiques peuvent être très difficiles et une préparation sérieuse sur le plan matériel est indispensable.
C'est à la lecture d'un carnet que j'ai découvert le Sarek. Photos et vidéos glanées sur le net m'ont plus que motivé à découvrir ces paysages.
Après une première expérience d'itinérance en ski pulka entre copains dans le nord de la Norvège en 2018 , un départ avorté le 17 mars 2020 (St Patrick
) pour cause de virus, je suis parti le 19 mars, pour 21 jours d'itinérance et autant d'autonomie, visiter le Sarek avec une petite incursion dans le Padjelanta
Qui dit sauvage, dit également absence de refuge et de connexion réseau... Quant aux cabanes (renvaktarstuga sur les cartes) elles sont, de par leur vétusté, quasi toutes fermées. Seul un petit abri, au centre du parc avec un poste de téléphone, permet, le cas échéant, d'appeler des secours.
Les conditions climatiques peuvent être très difficiles et une préparation sérieuse sur le plan matériel est indispensable.
C'est à la lecture d'un carnet que j'ai découvert le Sarek. Photos et vidéos glanées sur le net m'ont plus que motivé à découvrir ces paysages.
Après une première expérience d'itinérance en ski pulka entre copains dans le nord de la Norvège en 2018 , un départ avorté le 17 mars 2020 (St Patrick
Activité :
ski nordique
Statut :
réalisé
Distance :
355km
DATE :
22/03/2023
Durée :
21 jours
Dénivelées :
+4962m
/ -4839m
Alti min/max :
1m/1653m
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
train
bus
Précisions :
Départ en train de Grenoble - Genève - Zurich - Hambourg - Copenague - Stockholm - Boden - Gällivare - 46h + 3h30 de bus de Gällivare à Ritsem
Retour Ritsem-Gällivare 3h30 de bus. Train de Gällivare - Boden - Umeaa - Goteborg - Copenague - Frede...
Départ en train de Grenoble - Genève - Zurich - Hambourg - Copenague - Stockholm - Boden - Gällivare - 46h + 3h30 de bus de Gällivare à Ritsem
Retour Ritsem-Gällivare 3h30 de bus. Train de Gällivare - Boden - Umeaa - Goteborg - Copenague - Fredericia - Hambourg - Basel - bern - Genève - Grenoble - Voiron terminus...
Mise à jour section : 11 juin 2023
La mobilité douce avec 55kg de matos et pour une telle distance, ça se passe en train.
Réduire son impact carbone demande un bonne dose de motivation : 8 correspondances à l'aller, 10 au retour.
46 heures de voyage où l'on ne s’ennuie pas :
Lecture, musique, contemplation du paysage, visite du train et des toilettes
, contrôle de police, policiers qui oublient de descendre et qui courent entre les sièges affolés et un passager qui lance : "votre titre de transport SVP" : rigolade des voyageurs...
Et puis ne rien faire... juste ne rien faire... quel bonheur de ne rien faire... n'est-ce pas un luxe de ne rien faire ???
Deux roulettes fixées sur l'arrière de la pulka et ça roule comme une valise. Ascenseur, escalator et même la montée d'un escalier ne lui résistent pas.
(l'escalator montant et l'ascenseur en panne en même temps
).
Au sol, le long des sièges ou dans l’espace vélo, verticale dans un casier ou suspendue au crochet vélo, je n'ai eu aucun problème pour la caser, même si dans les trains français l'espace vélo et parfois un peu virtuel...
J'ai le sentiment que ce type de bagage est entré dans les mœurs. Aucun contrôleur ne m'a fait le moindre commentaire sur son volume ou sa longueur et aucun supplément n'est demandé. ( je n'est pas pris de TGV : à vérifier dans ce cas)
De plus, voyager avec une pulka suscite la curiosité et souvent crée la rencontre.
Réduire son impact carbone demande un bonne dose de motivation : 8 correspondances à l'aller, 10 au retour.
46 heures de voyage où l'on ne s’ennuie pas :
Lecture, musique, contemplation du paysage, visite du train et des toilettes
Et puis ne rien faire... juste ne rien faire... quel bonheur de ne rien faire... n'est-ce pas un luxe de ne rien faire ???
Deux roulettes fixées sur l'arrière de la pulka et ça roule comme une valise. Ascenseur, escalator et même la montée d'un escalier ne lui résistent pas.
(l'escalator montant et l'ascenseur en panne en même temps
Au sol, le long des sièges ou dans l’espace vélo, verticale dans un casier ou suspendue au crochet vélo, je n'ai eu aucun problème pour la caser, même si dans les trains français l'espace vélo et parfois un peu virtuel...
J'ai le sentiment que ce type de bagage est entré dans les mœurs. Aucun contrôleur ne m'a fait le moindre commentaire sur son volume ou sa longueur et aucun supplément n'est demandé. ( je n'est pas pris de TGV : à vérifier dans ce cas)
De plus, voyager avec une pulka suscite la curiosité et souvent crée la rencontre.
le train : voyage dans le voyage :