Voyage à vélo de Porto à Faro (Portugal)
15 days
958km
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Deux hommes, deux femmes avec une envie de découvrir les côtes portugaises au rythme du vélo, de nos rencontres et de nos visites de lieux remarquables.
Activité :
travel bike
Statut :
done
Distance :
958km
DATE :
9/20/16
Durée :
15 days
Voyage à vélo de Porto à Faro (Portugal)
Les étapes :
1
updated : 23 Oct 2016
Nous sommes 4, 2 hommes et 2 femmes, avec 3 VTC et 1 VTT. Notre objectif : suivre les côtes au plus près, en empruntant de petites routes peu fréquentées, voire des pistes. Comme c’est notre premier séjour au Portugal, nous avons aussi envie de visiter quelques lieux touristiques et surtout Porto et Lisbonne. L’accès à Porto en avion nous semble facile depuis Lyon, de même que le retour en avion depuis Faro.
La précision des cartes Michelin au 1/300 000 n’étant pas suffisante, nous chargeons des cartes OSM sur nos GPS et nous recherchons sur internet les « bons tuyaux » notamment pour arriver et repartir de Lisbonne sans galère et d’éventuelles traces GPS. Celles d’un cyclo- randonneur nantais, « Offshore 44 » (nom d'utilisteur sur openrunner), nous seront particulièrement utiles.
La précision des cartes Michelin au 1/300 000 n’étant pas suffisante, nous chargeons des cartes OSM sur nos GPS et nous recherchons sur internet les « bons tuyaux » notamment pour arriver et repartir de Lisbonne sans galère et d’éventuelles traces GPS. Celles d’un cyclo- randonneur nantais, « Offshore 44 » (nom d'utilisteur sur openrunner), nous seront particulièrement utiles.
2
updated : 24 Oct 2016
Mardi 20 septembre : Lyon -Porto
Départ matinal de Lyon St-Exupéry. Nos quatre vélos sont soigneusement emballés dans des cartons. Ce vol direct Lyon-Porto se fait avec Transavia et nous payons un supplément de 40 € pour nos vélos.
Arrivés en début de matinée à Porto, nous partons à la recherche de 2 taxis susceptibles de nous prendre avec nos bagages et nos vélos. Direction : le centre de Porto où nous avons réservé une nuit dans une auberge de jeunesse, « Hostal Andarinho ». L’accueil est sympathique. Nous n’avons pas accès aux chambres mais nous pouvons tranquillement déballer nos vélos dans le jardin.
En fin de matinée, départ pour visiter la ville à pied et nous restaurer. Nous voulons aussi acheter du gaz pour nos réchauds (système international à vis). Nous explorons d’abord les magasins de sport. Mauvaise piste, mais après avoir interrogé des passants, nous trouverons du gaz dans un magasin spécialisé dans la vente d’appareils de cuisson et de gaz.
A l’occasion de la visite de la Ville Haute, nous faisons un petit repérage de la gare Sao Bento afin de prendre les horaires de train pour Aveiro, départ de notre circuit à vélo. Le hall de la gare avec ses céramiques peintes est spectaculaire.
L’après-midi, nous succombons au charme des bords du Douro et de la Ribeira. Passage incontournable par le pont Luis, et par une dégustation de Porto, un « Imperial » de la maison Sande...
Départ matinal de Lyon St-Exupéry. Nos quatre vélos sont soigneusement emballés dans des cartons. Ce vol direct Lyon-Porto se fait avec Transavia et nous payons un supplément de 40 € pour nos vélos.
Arrivés en début de matinée à Porto, nous partons à la recherche de 2 taxis susceptibles de nous prendre avec nos bagages et nos vélos. Direction : le centre de Porto où nous avons réservé une nuit dans une auberge de jeunesse, « Hostal Andarinho ». L’accueil est sympathique. Nous n’avons pas accès aux chambres mais nous pouvons tranquillement déballer nos vélos dans le jardin.
En fin de matinée, départ pour visiter la ville à pied et nous restaurer. Nous voulons aussi acheter du gaz pour nos réchauds (système international à vis). Nous explorons d’abord les magasins de sport. Mauvaise piste, mais après avoir interrogé des passants, nous trouverons du gaz dans un magasin spécialisé dans la vente d’appareils de cuisson et de gaz.
A l’occasion de la visite de la Ville Haute, nous faisons un petit repérage de la gare Sao Bento afin de prendre les horaires de train pour Aveiro, départ de notre circuit à vélo. Le hall de la gare avec ses céramiques peintes est spectaculaire.
L’après-midi, nous succombons au charme des bords du Douro et de la Ribeira. Passage incontournable par le pont Luis, et par une dégustation de Porto, un « Imperial » de la maison Sande...
3
47.6km
updated : 05 Nov 2016
Mercredi 21 septembre : de Porto à Luso
Départ à vélo pour la gare. Slalom sur les trottoirs pour éviter de remonter les files de voitures. Pas facile non plus de rouler sur les pavés. Grâce à notre repérage de la veille, nous arrivons assez facilement à la gare de Sao Bento. Pas d’escaliers, les quais sont au niveau du hall d’entrée. Nous prendrons 3 fois le train avec nos vélos au cours de notre voyage et chaque fois nous avons apprécié la facilité d’accès et l’espace important réservé aux vélos. En plus, nous avons eu droit à demi-tarif pour les 3 qui ont dépassé 65 ans !.
Arrivée à Aveiro, à l’embouchure de la Vouga, en fin de matinée. Encore une charmante petite gare bien décorée. Balade sympathique dans le centre de la ville aux façades très colorées et sur les bords des canaux. Nous ne repartirons pas de cette « Venise portugaise » sans avoir goûté les « ovos molos », spécialité sucrée d’Aveiro. On commence aussi à apprécier la bière pression locale et on adopte le format « caneca » (50 cl).
Départ pour Luso, en début d’après-midi. Nous traversons des zones de vergers et de vignobles, puis nous sommes assez rapidement sur une petite route de montagne. Malheureusement une partie de la forêt a été ravagée par le feu au cours de l’été. Les pins ont été épargnés mais ce sont surtout les eucalyptus qui ont brûlé. Les environs de Luso, charmante petite ville thermale, ont été protégés des flammes et surtout la très bel...
Départ à vélo pour la gare. Slalom sur les trottoirs pour éviter de remonter les files de voitures. Pas facile non plus de rouler sur les pavés. Grâce à notre repérage de la veille, nous arrivons assez facilement à la gare de Sao Bento. Pas d’escaliers, les quais sont au niveau du hall d’entrée. Nous prendrons 3 fois le train avec nos vélos au cours de notre voyage et chaque fois nous avons apprécié la facilité d’accès et l’espace important réservé aux vélos. En plus, nous avons eu droit à demi-tarif pour les 3 qui ont dépassé 65 ans !.
Arrivée à Aveiro, à l’embouchure de la Vouga, en fin de matinée. Encore une charmante petite gare bien décorée. Balade sympathique dans le centre de la ville aux façades très colorées et sur les bords des canaux. Nous ne repartirons pas de cette « Venise portugaise » sans avoir goûté les « ovos molos », spécialité sucrée d’Aveiro. On commence aussi à apprécier la bière pression locale et on adopte le format « caneca » (50 cl).
Départ pour Luso, en début d’après-midi. Nous traversons des zones de vergers et de vignobles, puis nous sommes assez rapidement sur une petite route de montagne. Malheureusement une partie de la forêt a été ravagée par le feu au cours de l’été. Les pins ont été épargnés mais ce sont surtout les eucalyptus qui ont brûlé. Les environs de Luso, charmante petite ville thermale, ont été protégés des flammes et surtout la très bel...
4
43.6km
updated : 05 Nov 2016
Jeudi 22 septembre : de Luso à Coimbra
Il y a un peu de rosée, mais le temps est très agréable et nous n’aurons d’ailleurs aucun souci de météo tout au long de notre voyage. Cela grimpe beaucoup, mais la route est superbe et nous sommes tout de suite dans la fameuse forêt de Buçaco. Le coin a du succès car nous sommes doublés par plusieurs cars de touristes. Visite du monastère, coup d’œil au palais type « facteur cheval » et départ à pied pour une bouffée d’oxygène sur la « voie sacrée » jusqu’aux ermitages qui offrent de superbes points de vue sur la forêt, le château et la vallée.
Nous reprenons nos vélos pour emprunter une belle piste en direction de la « porte de Coimbra ». La piste se transforme rapidement en chemins un peu accidentés mais en descente, cela passe bien. Nous sommes tout de même contents de retrouver la petite route de Palheiros. Petit détour pour aller voir les « moinhos » de Penacova, juste au-dessus du « Portela da Figueiras ». Un autre détour sur un chemin pour ajouter un col à la collection de Josiane notre « cent-coliste », le Portela de Càcemes, altitude 266 code PT-0160266. Une petite route de montagne bien accidentée mais sans circulation nous conduit à Coimbra.
Installation au camping de Coimbra, puis nous prenons un taxi pour une visite nocturne de la ville : ses vieux quartiers, sa cathédrale, la vieille université, ses ruelles étroites où déambulent les étudiants drapés de noir. Cette ...
Il y a un peu de rosée, mais le temps est très agréable et nous n’aurons d’ailleurs aucun souci de météo tout au long de notre voyage. Cela grimpe beaucoup, mais la route est superbe et nous sommes tout de suite dans la fameuse forêt de Buçaco. Le coin a du succès car nous sommes doublés par plusieurs cars de touristes. Visite du monastère, coup d’œil au palais type « facteur cheval » et départ à pied pour une bouffée d’oxygène sur la « voie sacrée » jusqu’aux ermitages qui offrent de superbes points de vue sur la forêt, le château et la vallée.
Nous reprenons nos vélos pour emprunter une belle piste en direction de la « porte de Coimbra ». La piste se transforme rapidement en chemins un peu accidentés mais en descente, cela passe bien. Nous sommes tout de même contents de retrouver la petite route de Palheiros. Petit détour pour aller voir les « moinhos » de Penacova, juste au-dessus du « Portela da Figueiras ». Un autre détour sur un chemin pour ajouter un col à la collection de Josiane notre « cent-coliste », le Portela de Càcemes, altitude 266 code PT-0160266. Une petite route de montagne bien accidentée mais sans circulation nous conduit à Coimbra.
Installation au camping de Coimbra, puis nous prenons un taxi pour une visite nocturne de la ville : ses vieux quartiers, sa cathédrale, la vieille université, ses ruelles étroites où déambulent les étudiants drapés de noir. Cette ...
5
82.4km
updated : 05 Nov 2016
Vendredi 23 septembre : de Coimbra à Pedrogao
On repasse à vélo par Coimbra. Heureusement, nous suivons la trace GPS d’« Offshore 44 » et nous ne sommes pas gênés par la circulation. Nous suivons les rives du Rio Mondego, nous traversons un parc et nous voilà sur des pistes agricoles, le long d’un canal. C’est tout plat et nous ne prenons de l’altitude que pour la visite du village fortifié de Montemor O Velho.
Il faut accélérer l’allure si nous voulons arriver avant la nuit. On roule sur des pistes cyclables en bordure de forêts de pins. C’est un peu monotone et cela fait penser aux Landes. La rencontre avec Charlie, un jeune cyclo voyageur anglais et néanmoins franco-phile et –phone, nous réveille un peu. Après de longues journées de grande solitude, Charlie va rouler plusieurs jours en appréciant notre compagnie et vice-versa.
Installation au camping de Pedrogao. Courses au village. Nous arrivons juste à temps pour profiter du coucher de soleil sur l’océan.
Etape de 85 km, D+ 499 m
On repasse à vélo par Coimbra. Heureusement, nous suivons la trace GPS d’« Offshore 44 » et nous ne sommes pas gênés par la circulation. Nous suivons les rives du Rio Mondego, nous traversons un parc et nous voilà sur des pistes agricoles, le long d’un canal. C’est tout plat et nous ne prenons de l’altitude que pour la visite du village fortifié de Montemor O Velho.
Il faut accélérer l’allure si nous voulons arriver avant la nuit. On roule sur des pistes cyclables en bordure de forêts de pins. C’est un peu monotone et cela fait penser aux Landes. La rencontre avec Charlie, un jeune cyclo voyageur anglais et néanmoins franco-phile et –phone, nous réveille un peu. Après de longues journées de grande solitude, Charlie va rouler plusieurs jours en appréciant notre compagnie et vice-versa.
Installation au camping de Pedrogao. Courses au village. Nous arrivons juste à temps pour profiter du coucher de soleil sur l’océan.
Etape de 85 km, D+ 499 m
6
82.4km
updated : 05 Nov 2016
Samedi 24 septembre : de Pedrogao à Foz de Arelho
Nous suivons la côte en empruntant des pistes cyclables et de petites routes. L’étape s’annonce plus cabossée. Visite de Nazaré, ancien village de pécheurs qui a gardé ses traditions. On déambule sur la place centrale pavée, on admire les falaises et le village niché juste en dessous. Après le pique-nique sur les marches de la cathédrale, on descend vers le front de mer et la magnifique plage de Nazaré en empruntant les petites ruelles bien rectilignes. Ce village a su garder son caractère malgré l’afflux des touristes et des surfeurs.
Arrivée en fin d’après-midi à Foz de Arelho. Très beaux coups d’œil sur l’océan, à l’occasion d’une belle descente avant de partir à la recherche du camping et d’une épicerie pour faire les courses. Charlie et Pedro, alias « JPA » guidés par un cycliste portugais, Claudio, n’hésiteront pas à faire un détour d’au moins 5 km pour aller dans un supermarché !
Etape de 85 km, D +900 m
Nous suivons la côte en empruntant des pistes cyclables et de petites routes. L’étape s’annonce plus cabossée. Visite de Nazaré, ancien village de pécheurs qui a gardé ses traditions. On déambule sur la place centrale pavée, on admire les falaises et le village niché juste en dessous. Après le pique-nique sur les marches de la cathédrale, on descend vers le front de mer et la magnifique plage de Nazaré en empruntant les petites ruelles bien rectilignes. Ce village a su garder son caractère malgré l’afflux des touristes et des surfeurs.
Arrivée en fin d’après-midi à Foz de Arelho. Très beaux coups d’œil sur l’océan, à l’occasion d’une belle descente avant de partir à la recherche du camping et d’une épicerie pour faire les courses. Charlie et Pedro, alias « JPA » guidés par un cycliste portugais, Claudio, n’hésiteront pas à faire un détour d’au moins 5 km pour aller dans un supermarché !
Etape de 85 km, D +900 m
7
68.6km
updated : 05 Nov 2016
Dimanche 25 septembre : de Foz de Arelho à Praia de Areia Branca
On quitte Charlie qui veut rouler en direction de l’est et de l’Espagne. Notre premier objectif est de rejoindre Obidos par de petites routes. Parcours très accidenté mais agréable au milieu de vergers. On aperçoit de loin la ville fortifiée et ses remparts crénelés. Visite d’Obidos et de ses ruelles étroites au milieu d’un flot de touristes mais cette petite ville vaut le détour.
Nous retournons près de l’océan en essayant de contourner la lagune de Foz de Arelho. Encore de belles montées. On évite la circulation en empruntant des pistes. Pique-nique très agréable, à la terrasse d’un bar, face à l’océan. Nous sommes à Baleal et le coin est très fréquenté par les surfeurs.
On longe la côte en direction de Peniche jusqu’au Cabo Carvoeiro et ses plages sauvages. Passage en ville pour faire des courses. Arrêt au local du PCP où on fait la causette et on repart avec un drapeau rouge orné de la faucille et du marteau. Les problèmes économiques et sociaux ne manquent pas non plus au Portugal. A la sortie de Péniche, c’est un groupe de femmes qui nous interpellent. Certaines ont vécu en France et parlent français. Notre manière de voyager les étonnent. Elles nous recommandent un petit détour par la plage la plus iodée du Portugal. Les gens ne se baignent pas mais ils restent allongés sur des rochers en aspirant le maximum d’iode!
On rejoint Pr...
On quitte Charlie qui veut rouler en direction de l’est et de l’Espagne. Notre premier objectif est de rejoindre Obidos par de petites routes. Parcours très accidenté mais agréable au milieu de vergers. On aperçoit de loin la ville fortifiée et ses remparts crénelés. Visite d’Obidos et de ses ruelles étroites au milieu d’un flot de touristes mais cette petite ville vaut le détour.
Nous retournons près de l’océan en essayant de contourner la lagune de Foz de Arelho. Encore de belles montées. On évite la circulation en empruntant des pistes. Pique-nique très agréable, à la terrasse d’un bar, face à l’océan. Nous sommes à Baleal et le coin est très fréquenté par les surfeurs.
On longe la côte en direction de Peniche jusqu’au Cabo Carvoeiro et ses plages sauvages. Passage en ville pour faire des courses. Arrêt au local du PCP où on fait la causette et on repart avec un drapeau rouge orné de la faucille et du marteau. Les problèmes économiques et sociaux ne manquent pas non plus au Portugal. A la sortie de Péniche, c’est un groupe de femmes qui nous interpellent. Certaines ont vécu en France et parlent français. Notre manière de voyager les étonnent. Elles nous recommandent un petit détour par la plage la plus iodée du Portugal. Les gens ne se baignent pas mais ils restent allongés sur des rochers en aspirant le maximum d’iode!
On rejoint Pr...
8
99.2km
updated : 05 Nov 2016
Lundi 26 septembre : de Praia de Areia Branca à Lisbonne
Notre objectif est de rejoindre Sintra, puis de prendre le train pour Lisbonne. On envisage aussi de passer une nuit à Sintra selon notre heure d’arrivée.
On emprunte une route pittoresque qui traverse de petits villages et des zones agricoles. Là, on récolte les patates douces et Pedro accepte d’en transporter dans ses sacoches ! Encore de beaux moulins bien restaurés, mais toujours hauts perchés.
Nous longeons ensuite la côte jusqu’à Ericeira. Encore un beau paradis pour les surfeurs. On profite du coin pour pique-niquer au bord de l’océan. Cela remonte dur jusqu’au village d’Ericeira qui ne manque pas de charme avec ses maisons blanches et bleues. Retour à l’intérieur des terres par de petites routes bien accidentées. Ce sera notre étape avec le plus fort dénivelé. Arrivée à Sintra vers 18h00. La ville est haut perchée ! On part à la recherche d’un camping que personne ne semble connaître. Comme la nuit approche, on cherche la gare et un train qui nous conduira à Lisbonne située à 30 km de Sintra.
Arrivée de nuit à Lisbonne. Nous ne sommes pas trop inquiets car nous avons une trace GPS pour rejoindre le camping. Une traversée de passerelle immense au-dessus des voies puis nous arrivons sur une piste qui deviendra bientôt un chemin cabossé à travers bois. Heureusement, nous sommes 3 à avoir de l’éclairage sur nos vélos. Après cette traversée ...
Notre objectif est de rejoindre Sintra, puis de prendre le train pour Lisbonne. On envisage aussi de passer une nuit à Sintra selon notre heure d’arrivée.
On emprunte une route pittoresque qui traverse de petits villages et des zones agricoles. Là, on récolte les patates douces et Pedro accepte d’en transporter dans ses sacoches ! Encore de beaux moulins bien restaurés, mais toujours hauts perchés.
Nous longeons ensuite la côte jusqu’à Ericeira. Encore un beau paradis pour les surfeurs. On profite du coin pour pique-niquer au bord de l’océan. Cela remonte dur jusqu’au village d’Ericeira qui ne manque pas de charme avec ses maisons blanches et bleues. Retour à l’intérieur des terres par de petites routes bien accidentées. Ce sera notre étape avec le plus fort dénivelé. Arrivée à Sintra vers 18h00. La ville est haut perchée ! On part à la recherche d’un camping que personne ne semble connaître. Comme la nuit approche, on cherche la gare et un train qui nous conduira à Lisbonne située à 30 km de Sintra.
Arrivée de nuit à Lisbonne. Nous ne sommes pas trop inquiets car nous avons une trace GPS pour rejoindre le camping. Une traversée de passerelle immense au-dessus des voies puis nous arrivons sur une piste qui deviendra bientôt un chemin cabossé à travers bois. Heureusement, nous sommes 3 à avoir de l’éclairage sur nos vélos. Après cette traversée ...
9
updated : 23 Oct 2016
Mardi 27 septembre : visite de Lisbonne
Pas de vélo au programme du jour. Départ pour Lisbonne en taxi ; à 4 ce n’est pas plus cher que le bus. Cette journée ne va pas être de tout repos car lorsqu’on veut visiter Lisbonne, ville des sept collines, à pied, cela monte, cela descend, cela dépend des escaliers qu’il faut souvent emprunter. Mais cette ville est attachante et ne manque pas de charme et si les pieds sont endoloris, il reste les terrasses d’Alfama avec une superbe vue pour se reposer un peu. Nous jouons donc aux touristes de Bairro Alto à Alfama en passant par Graça et son château, … Quelques rencontres sympathiques avec des étudiants en « commandos » de bizutage ou intégration qui déambulent en petites troupes dans les rues, un vélo-rémouleur, un gardien de site touristique… Soirée au restaurant avec sardines grillées, calamars, dessert maison, le tout en musique, très agréable, avec trois chanteuses qui passent à tour de rôle et avec brio de la cuisine au fado puis au service. Retour au camping en taxi.
Pas de vélo au programme du jour. Départ pour Lisbonne en taxi ; à 4 ce n’est pas plus cher que le bus. Cette journée ne va pas être de tout repos car lorsqu’on veut visiter Lisbonne, ville des sept collines, à pied, cela monte, cela descend, cela dépend des escaliers qu’il faut souvent emprunter. Mais cette ville est attachante et ne manque pas de charme et si les pieds sont endoloris, il reste les terrasses d’Alfama avec une superbe vue pour se reposer un peu. Nous jouons donc aux touristes de Bairro Alto à Alfama en passant par Graça et son château, … Quelques rencontres sympathiques avec des étudiants en « commandos » de bizutage ou intégration qui déambulent en petites troupes dans les rues, un vélo-rémouleur, un gardien de site touristique… Soirée au restaurant avec sardines grillées, calamars, dessert maison, le tout en musique, très agréable, avec trois chanteuses qui passent à tour de rôle et avec brio de la cuisine au fado puis au service. Retour au camping en taxi.
10
51.9km
updated : 05 Nov 2016
Mercredi 28 septembre : de Lisbonne à Sesimbra
Départ du camping pour rejoindre le port de Belem et prendre un ferry. Nous suivons la trace GPS d’Offshore 44 : une traversée de parc bien agréable, de petites routes sans circulation et nous voici sur le port de Belem. Le seul point noir du parcours : un passage souterrain avec des escaliers bien raides qui nous obligeront à « désacocher » pour traverser une « 4 voies ».
Nous embarquons sur le premier ferry qui se présente sans trop nous poser de questions. Nous débarquons à Trafaria. Ce n’était pas ce qui était prévu. Peu importe, nous partons en direction de Costa da Caparica. On quitte la petite route et c’est par des pistes que nous arrivons à Fonte da Telha pour la pause pique-nique. Le coin n’est pas très fréquenté et plutôt sympathique, avec des airs de Far-West.
L’après- midi sera plus rude car après une remontée sur la route, nous empruntons des pistes bien sableuses pour rejoindre Apostiça. C’est le seul moyen d’éviter les 2 autoroutes et la N 10. Il faut aussi éviter les chemins qui conduisent vers la lagune d’Albufeira. Finalement, on s’en sort pas trop mal même s’il faut parfois pousser les vélos dans le sable. Nous retrouvons le goudron vers Apostiça. Pause dans une ferme pour nous approvisionner en eau fraîche. Nous empruntons la N 377, pour rejoindre Alfarim puis Sesimbra. Dernière surprise du jour : après une belle descente vers le port de Sesimbra, ...
Départ du camping pour rejoindre le port de Belem et prendre un ferry. Nous suivons la trace GPS d’Offshore 44 : une traversée de parc bien agréable, de petites routes sans circulation et nous voici sur le port de Belem. Le seul point noir du parcours : un passage souterrain avec des escaliers bien raides qui nous obligeront à « désacocher » pour traverser une « 4 voies ».
Nous embarquons sur le premier ferry qui se présente sans trop nous poser de questions. Nous débarquons à Trafaria. Ce n’était pas ce qui était prévu. Peu importe, nous partons en direction de Costa da Caparica. On quitte la petite route et c’est par des pistes que nous arrivons à Fonte da Telha pour la pause pique-nique. Le coin n’est pas très fréquenté et plutôt sympathique, avec des airs de Far-West.
L’après- midi sera plus rude car après une remontée sur la route, nous empruntons des pistes bien sableuses pour rejoindre Apostiça. C’est le seul moyen d’éviter les 2 autoroutes et la N 10. Il faut aussi éviter les chemins qui conduisent vers la lagune d’Albufeira. Finalement, on s’en sort pas trop mal même s’il faut parfois pousser les vélos dans le sable. Nous retrouvons le goudron vers Apostiça. Pause dans une ferme pour nous approvisionner en eau fraîche. Nous empruntons la N 377, pour rejoindre Alfarim puis Sesimbra. Dernière surprise du jour : après une belle descente vers le port de Sesimbra, ...
11
79.9km
updated : 05 Nov 2016
Jeudi 29 septembre : de Sesimbra à Fontainhas
Aujourd’hui, nous devons emprunter un second ferry à Setubal pour rejoindre la péninsule de Troia. Après la traversée de Sesimbra, plusieurs itinéraires sont possibles. On se laisse convaincre par Josiane et on prend la route la plus haute qui passe par les crêtes de la Sierra d’Arràbida à plus de 400 m d’altitude. On croise beaucoup de cyclistes locaux qui nous encouragent car on les impressionne avec nos grosses sacoches. Arrivée à Setubal vers 13h00. Pause au frais dans un restaurant en bord d’Océan.
Départ en ferry vers 14h00, puis, direction plein sud par la N 353-1. Arrêt à Comporta pour faire des courses. Juste après, nous avons la surprise de retrouver Charlie qui vient à notre rencontre : sans le savoir, nous venions de passer la nuit dans le même camping.!
On décide de s’arrêter au camping de Fontainhas. Il est indiqué depuis la N 351-1, mais il faut encore rouler 4,5 km sur une route bien accidentée pour l’atteindre. C’est un camping haut perché au- dessus de falaises et fréquenté par les surfeurs. Seuls Pedro et Charlie auront encore l’envie d’aller se baigner et profiter du coucher de soleil sur l’océan.
Etape de 82 km, D+ 946 m
Aujourd’hui, nous devons emprunter un second ferry à Setubal pour rejoindre la péninsule de Troia. Après la traversée de Sesimbra, plusieurs itinéraires sont possibles. On se laisse convaincre par Josiane et on prend la route la plus haute qui passe par les crêtes de la Sierra d’Arràbida à plus de 400 m d’altitude. On croise beaucoup de cyclistes locaux qui nous encouragent car on les impressionne avec nos grosses sacoches. Arrivée à Setubal vers 13h00. Pause au frais dans un restaurant en bord d’Océan.
Départ en ferry vers 14h00, puis, direction plein sud par la N 353-1. Arrêt à Comporta pour faire des courses. Juste après, nous avons la surprise de retrouver Charlie qui vient à notre rencontre : sans le savoir, nous venions de passer la nuit dans le même camping.!
On décide de s’arrêter au camping de Fontainhas. Il est indiqué depuis la N 351-1, mais il faut encore rouler 4,5 km sur une route bien accidentée pour l’atteindre. C’est un camping haut perché au- dessus de falaises et fréquenté par les surfeurs. Seuls Pedro et Charlie auront encore l’envie d’aller se baigner et profiter du coucher de soleil sur l’océan.
Etape de 82 km, D+ 946 m
12
80km
updated : 05 Nov 2016
Vendredi 30 septembre : de Fontainhas à Vila Nova de Milfontes
Nous roulons toujours plein sud avec l’objectif d’éviter le Cabo de Sines et ses routes à grande circulation. On part vers l’intérieur en direction de Santiago do Cacém. Le paysage est vallonné avec des forêts de chênes lièges exploitées. Rencontre sympathique avec un « ancien » qui nous conduit à la salle des fêtes de son village pour boire une boisson fraîche et nous faire connaître le lieu où les vieux du village se retrouvent pour des activités.
Arrêt à Santiago pour les courses et la pause pique-nique, dans un parc cette fois. Une belle piste nous permet d’éviter Sines et de rejoindre Boavista do Paiol. Nous longeons l’océan jusqu’à Porto Covo. La côte est très belle. On s’en éloigne un peu pour passer par Malpensado, Brunheiras et rejoindre Vila Nova de Milfontes.
Installation au camping de Milfontes. On visitera la ville en repartant demain matin.
Etape de 82km, D+ 822 m
Nous roulons toujours plein sud avec l’objectif d’éviter le Cabo de Sines et ses routes à grande circulation. On part vers l’intérieur en direction de Santiago do Cacém. Le paysage est vallonné avec des forêts de chênes lièges exploitées. Rencontre sympathique avec un « ancien » qui nous conduit à la salle des fêtes de son village pour boire une boisson fraîche et nous faire connaître le lieu où les vieux du village se retrouvent pour des activités.
Arrêt à Santiago pour les courses et la pause pique-nique, dans un parc cette fois. Une belle piste nous permet d’éviter Sines et de rejoindre Boavista do Paiol. Nous longeons l’océan jusqu’à Porto Covo. La côte est très belle. On s’en éloigne un peu pour passer par Malpensado, Brunheiras et rejoindre Vila Nova de Milfontes.
Installation au camping de Milfontes. On visitera la ville en repartant demain matin.
Etape de 82km, D+ 822 m
13
109km
updated : 05 Nov 2016
Samedi 01 octobre : de Vila Nova de Milfontes à Sagres
Visite matinale de Vila Nova de MF, station balnéaire à l’embouchure du Rio Mira, qui ne manque pas de charme avec ses maisons blanches décorées de céramiques peintes. Nous traversons le pont au-dessus de l’embouchure du Rio Mira, très belle vue, et nous filons vers le sud par la N 393. A l’intersection pour Cavaleiro, nous quittons Charlie qui part vers Séville, puis Barcelone…. On se donne rendez-vous en France pour l’été prochain. Bonne route l’ami !
On traverse des zones agricoles sur de petites routes : São Teotónio, Odeceixe. Pique-nique à Odeceixe et visite du village, au caractère bien conservé. On grimpe vers l’église et le moulin à vent, en empruntant les ruelles étroites pavées. Il faudra redescendre et remonter pour rejoindre la route, mais nous sommes dans une belle nature et il n’y a pas de circulation. Nous partons plein sud : Rogil, Aljezur par la N120 puis la N 268. Arrêt à Carrapateira pour faire les courses et nous désaltérer.
A partir de Vila do Bispo, nous empruntons une « écopista », en fait l’ancienne route, qui nous conduira à Sagres en évitant la circulation. A l’entrée de Sagres, une piste nous mène directement au camping sans passer par la ville. Pari réussi : nous sommes au sud du Portugal !
Etape de 111 km, D+ 951 m
Visite matinale de Vila Nova de MF, station balnéaire à l’embouchure du Rio Mira, qui ne manque pas de charme avec ses maisons blanches décorées de céramiques peintes. Nous traversons le pont au-dessus de l’embouchure du Rio Mira, très belle vue, et nous filons vers le sud par la N 393. A l’intersection pour Cavaleiro, nous quittons Charlie qui part vers Séville, puis Barcelone…. On se donne rendez-vous en France pour l’été prochain. Bonne route l’ami !
On traverse des zones agricoles sur de petites routes : São Teotónio, Odeceixe. Pique-nique à Odeceixe et visite du village, au caractère bien conservé. On grimpe vers l’église et le moulin à vent, en empruntant les ruelles étroites pavées. Il faudra redescendre et remonter pour rejoindre la route, mais nous sommes dans une belle nature et il n’y a pas de circulation. Nous partons plein sud : Rogil, Aljezur par la N120 puis la N 268. Arrêt à Carrapateira pour faire les courses et nous désaltérer.
A partir de Vila do Bispo, nous empruntons une « écopista », en fait l’ancienne route, qui nous conduira à Sagres en évitant la circulation. A l’entrée de Sagres, une piste nous mène directement au camping sans passer par la ville. Pari réussi : nous sommes au sud du Portugal !
Etape de 111 km, D+ 951 m
14
70.3km
updated : 05 Nov 2016
Dimanche 02 octobre : de Sagres à Alvor en passant par le Cabo de Sao Vicente
Notre camping est du bon côté pour rejoindre le Cabo de Sao Vicente sans passer par Sagres. On rejoint la N 268 qui nous conduit au « bout du bout ». Il ne reste plus que le phare et la forteresse d’Henri le Navigateur qui a ouvert la voie aux grandes découvertes. L’endroit est touristique car c’est une manière d’être au bout de l’Europe, et même au bout du monde au temps d’avant la découverte de l’Amérique
On repasse près du camping et on reprend l’écopista en direction de Vila do Bispo. C’est plus difficile que la veille car la route monte légèrement et nous avons le vent de face. Courses à Vila do Bispo. On suit l’écopista pour rejoindre Lagos. Les pistes caillouteuses alternent avec les petites routes bien escarpées où nous rencontrons même un panneau « pente de 20% ». Pique-nique à l’ombre d’un figuier, juste avant Figueira. Les petites routes alternent avec les pistes jusqu’à Lagos. On passe par Salema, Burgau, Luz pour rejoindre Lagos par le bord de l’océan. Le coin est superbe. Courses et balade en bord de mer mais on ne peut pas trop traîner car les jours sont courts. On poursuit en direction de Portimao. Une crevaison de Pedro et une erreur d’aiguillage nous incitent à reprendre la route.
Installation au camping d’Alvor près de Portimao pour 2 nuits. Le camping est sympa et le bar a de la « Super Bock » grand format !
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Notre camping est du bon côté pour rejoindre le Cabo de Sao Vicente sans passer par Sagres. On rejoint la N 268 qui nous conduit au « bout du bout ». Il ne reste plus que le phare et la forteresse d’Henri le Navigateur qui a ouvert la voie aux grandes découvertes. L’endroit est touristique car c’est une manière d’être au bout de l’Europe, et même au bout du monde au temps d’avant la découverte de l’Amérique
On repasse près du camping et on reprend l’écopista en direction de Vila do Bispo. C’est plus difficile que la veille car la route monte légèrement et nous avons le vent de face. Courses à Vila do Bispo. On suit l’écopista pour rejoindre Lagos. Les pistes caillouteuses alternent avec les petites routes bien escarpées où nous rencontrons même un panneau « pente de 20% ». Pique-nique à l’ombre d’un figuier, juste avant Figueira. Les petites routes alternent avec les pistes jusqu’à Lagos. On passe par Salema, Burgau, Luz pour rejoindre Lagos par le bord de l’océan. Le coin est superbe. Courses et balade en bord de mer mais on ne peut pas trop traîner car les jours sont courts. On poursuit en direction de Portimao. Une crevaison de Pedro et une erreur d’aiguillage nous incitent à reprendre la route.
Installation au camping d’Alvor près de Portimao pour 2 nuits. Le camping est sympa et le bar a de la « Super Bock » grand format !
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71.4km
updated : 05 Nov 2016
Lundi 03 octobre : direction la Serra de Monchique
Josiane a un col à faire après le village de Monchique et nous sommes bien contents de l’accompagner. Les montagnes nous attirent plus que les bords d’océan trop bétonnés près de Portimao. Nous roulons sans les sacoches et ça change tout !
Nous retournons en direction de Portimao. Pas facile d’échapper à l’A 22 qui conduit à Portimao. Le GPS est bien utile et on se retrouve rapidement sur une petite route qui monte en direction de Montes de Cima, Casais. Malheureusement le feu est passé par là début septembre et toute la forêt versant ouest a brûlé. Quelques maisons ont été protégées, mais d’autres ont brûlé.
On retrouve une forêt intacte avec de nombreux chênes lièges un peu avant Monchique. On poursuit jusqu’au Portela de la Serenada altitude 427 code PT 08-0427 (Monchique) par une belle petite route en lacets qui monte et qui descend.
Retour à Monchique pour la pause pique-nique et balade dans la ville. Nous redescendons à Alvor par Caldas de Monchique, station thermale, au milieu des eucalyptus, des pins, des châtaigniers et des palmiers. Arrêt dans une station-service pour nous désaltérer et pour laver nos vélos. Arrêt également dans un magasin de céramiques, il faut penser aux cadeaux !.
Soirée très agréable avec au programme une balade à pied dans le quartier de la marina d’Alvor, zone très touristique qui longe les rives de...
Josiane a un col à faire après le village de Monchique et nous sommes bien contents de l’accompagner. Les montagnes nous attirent plus que les bords d’océan trop bétonnés près de Portimao. Nous roulons sans les sacoches et ça change tout !
Nous retournons en direction de Portimao. Pas facile d’échapper à l’A 22 qui conduit à Portimao. Le GPS est bien utile et on se retrouve rapidement sur une petite route qui monte en direction de Montes de Cima, Casais. Malheureusement le feu est passé par là début septembre et toute la forêt versant ouest a brûlé. Quelques maisons ont été protégées, mais d’autres ont brûlé.
On retrouve une forêt intacte avec de nombreux chênes lièges un peu avant Monchique. On poursuit jusqu’au Portela de la Serenada altitude 427 code PT 08-0427 (Monchique) par une belle petite route en lacets qui monte et qui descend.
Retour à Monchique pour la pause pique-nique et balade dans la ville. Nous redescendons à Alvor par Caldas de Monchique, station thermale, au milieu des eucalyptus, des pins, des châtaigniers et des palmiers. Arrêt dans une station-service pour nous désaltérer et pour laver nos vélos. Arrêt également dans un magasin de céramiques, il faut penser aux cadeaux !.
Soirée très agréable avec au programme une balade à pied dans le quartier de la marina d’Alvor, zone très touristique qui longe les rives de...
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72km
updated : 05 Nov 2016
Mardi 04 octobre : d’Alvor à Faro
Notre voyage se termine et nous avons décidé de prendre le train à Portimao pour rejoindre Faro. Cela nous permettra d’éviter la circulation et d’avoir du temps pour visiter Faro. La traversée de Portimao n’est pas facile et une fois de plus nous apprécions le GPS qui nous permet de rejoindre la gare sans trop de difficultés. Nous avons le temps de boire un café en face de la gare et de déguster un dernier pasteis de nata. La discussion s’engage avec un cyclo portugais très intéressé par notre voyage.
Nos vélos sont installés dans un fourgon « spécial vélos ». Tout serait parfait si la marche d’accès au fourgon n’était pas aussi haute ! Le trajet dure plus d’une heure, ce qui nous donne l’occasion de voir un peu l’arrière- pays avec ses oliviers, ses orangers et ses terrains de golf démesurés.
Déjeuner dans un bar près du port. Balade dans la vieille ville « adentro », à l’intérieur des remparts. C’est très touristique et on rencontre beaucoup de français et d’allemands, souvent installés ici pour la retraite. Là encore nos vélos suscitent la curiosité. Ils sont étonnés lorsqu’on leur explique ce que nous avons fait.
Vers 16h00 nous partons pour l’aéroport par une piste cyclable qui longe l’océan. L’accès est facile et nous allons repérer les lieux avant de ressortir pour dîner dans un petit restaurant, « le Terminus », situé juste à côté de l’aéroport.
[ju...
Notre voyage se termine et nous avons décidé de prendre le train à Portimao pour rejoindre Faro. Cela nous permettra d’éviter la circulation et d’avoir du temps pour visiter Faro. La traversée de Portimao n’est pas facile et une fois de plus nous apprécions le GPS qui nous permet de rejoindre la gare sans trop de difficultés. Nous avons le temps de boire un café en face de la gare et de déguster un dernier pasteis de nata. La discussion s’engage avec un cyclo portugais très intéressé par notre voyage.
Nos vélos sont installés dans un fourgon « spécial vélos ». Tout serait parfait si la marche d’accès au fourgon n’était pas aussi haute ! Le trajet dure plus d’une heure, ce qui nous donne l’occasion de voir un peu l’arrière- pays avec ses oliviers, ses orangers et ses terrains de golf démesurés.
Déjeuner dans un bar près du port. Balade dans la vieille ville « adentro », à l’intérieur des remparts. C’est très touristique et on rencontre beaucoup de français et d’allemands, souvent installés ici pour la retraite. Là encore nos vélos suscitent la curiosité. Ils sont étonnés lorsqu’on leur explique ce que nous avons fait.
Vers 16h00 nous partons pour l’aéroport par une piste cyclable qui longe l’océan. L’accès est facile et nous allons repérer les lieux avant de ressortir pour dîner dans un petit restaurant, « le Terminus », situé juste à côté de l’aéroport.
[ju...
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updated : 24 Oct 2016
Mercredi 05 octobre : Faro-Lyon en avion avec escale à Lisbonne
Pour le retour, nous voyageons avec la compagnie régulière portugaise TAP. Le tarif est un peu plus cher pour le transport des vélos (50 €).
Réveil à 03h30 pour enregistrer nos bagages. Nos vélos sont plutôt bien accueillis. Ceux qui sont moins emballés, voyageront avec les objets fragiles et nous n’aurons aucun dégât à déplorer. Notre aventure portugaise se termine à Lyon-St Exupéry vers 12h30.
Pour conclure : voyage à vélo très agréable. Nous avons particulièrement apprécié l’accueil des portugais, la variété des paysages et des routes, pistes et chemins empruntés, la beauté sauvage de la côte Ouest ainsi que la sympathique compagnie de Charlie sur un tiers de notre périple. Nous n’avons qu’un petit aperçu du Portugal, mais peut-être reviendrons-nous pour d’autres aventures à vélo.
Si notre trace vous intéresse, vous pouvez la retrouver sur openrunner, n° 6699356. Vous pouvez faire un export sur Google earth KLM qui vous permettra de suivre avec précision notre voyage.
Pour le retour, nous voyageons avec la compagnie régulière portugaise TAP. Le tarif est un peu plus cher pour le transport des vélos (50 €).
Réveil à 03h30 pour enregistrer nos bagages. Nos vélos sont plutôt bien accueillis. Ceux qui sont moins emballés, voyageront avec les objets fragiles et nous n’aurons aucun dégât à déplorer. Notre aventure portugaise se termine à Lyon-St Exupéry vers 12h30.
Pour conclure : voyage à vélo très agréable. Nous avons particulièrement apprécié l’accueil des portugais, la variété des paysages et des routes, pistes et chemins empruntés, la beauté sauvage de la côte Ouest ainsi que la sympathique compagnie de Charlie sur un tiers de notre périple. Nous n’avons qu’un petit aperçu du Portugal, mais peut-être reviendrons-nous pour d’autres aventures à vélo.
Si notre trace vous intéresse, vous pouvez la retrouver sur openrunner, n° 6699356. Vous pouvez faire un export sur Google earth KLM qui vous permettra de suivre avec précision notre voyage.
