La Vézère en KG - Juillet 2015
Rallier Uzerche à Trémolat au fil d'une rivière surprenante.
S'y rendre en TER, flotter en KG*, et se laisser porter au travers de ce que la nature a fait de mieux, croiser des humains sympathiques et des curiosités géologiques impressionnantes, jusqu'à la prochaine gare.
S'y rendre en TER, flotter en KG*, et se laisser porter au travers de ce que la nature a fait de mieux, croiser des humains sympathiques et des curiosités géologiques impressionnantes, jusqu'à la prochaine gare.
randonnée/trek
kayak gonflable
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Carnet publié par plume37
le 17 juil. 2015
modifié le 08 avr. 2016
modifié le 08 avr. 2016
Mobilité douce
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Vue d'ensemble
Le topo : Introduction (mise à jour : 04 nov. 2015)
Milieu traversé :
Environnement : [rivière]
Biotope : [forêt]
Le compte-rendu : Introduction (mise à jour : 04 nov. 2015)
S'y rendre en TER, flotter en KG*, et se laisser porter au travers de ce que la nature a fait de mieux, croiser des humains sympathiques et des curiosités géologiques impressionnantes, jusqu'à la prochaine gare.
La Vézère est une rivière française prenant sa source dans la forêt de Longéroux, en Corrèze et embrasse la Dordogne 211 kilomètres plus loin.
Depuis Uzerche jusqu'à Limeuil,
la rivière rencontre forêts, villages,
barrages et déversoirs, plaines,
ainsi que ses deux vallées.
Connaissant principalement la Loire que je n'ai jamais descendu en intégralité, j'étais à la recherche d'un parcours "nature" qui puisse être accessible sans être trop urbanisé. Quelque chose d'humain, mais pas trop, en quelques sortes.
Sur la carte, c'est large comme un spagghetti au 1:25k, et comme un cheveu d'ange au 1:100k.
Je ne souhaitais pas trop savoir ce que j'allais rencontrer avant la descente, je l'observais principalement sur carte et sattelite, donc.
La veille s'est déroulé par intermitence les mois précédents, la refaisant au "clic" sur mytrip une infinité de fois, pour calculer toujours au plus juste, zoomer sur des photos aerienne de qualité moyenne.
Etant de nature discrète, mon périple devait se faire à mon image.
Je suis donc parti dans l'idée de bivouacs permanents, d'une autonomie alimentaire complète mais seulement 6 Litres d'eau potable, car j'apprecie débarquer sur la terre ferme avec cette mission "originale" de trouver un moyen de se ravitailler.
L'autre "avantage" que j'ai cherché à réaliser est de pouvoir me déplacer le plus aisément possible. Le poids et l'encombrement du kayak gonflable m'a permis de me déplacer sans soucis en train, et l'ensemble devait tenir sur chariot (dit "diable", et il porte bien son nom, le malin !).
J'ai donc 3 sacs étanches: celui du kayak (70L mais inutilisable en déplacement sur terre, vu que le canoë y dort déjà), un 60L pour le matériel de sommeil (hamac, tarp, duvet -qui prends beaucoup de place, un peu de change et deux trois bricoles, et en dernier lieu le 40L (pas rempli à fond, bien sur) pour la nourriture.
Voilà, j'ai 11 jours de vacances en Juillet, et elles commencent sur la page suivante !
Ah, oui, aussi, le carnet est issu de celui que j'ai emmené avec moi, j'ai tronqué quelques passages, mais ne soit pas trop dur en me lisant, il n'avait pas spécialement vocation à être recopié ni partagé, au départ.
Ce périple n'a rien de sportif,
il s'est fait les yeux ,
mais surtout les oreilles
grandes ouvertes !