L'Italie à vélo, du sud au nord
L’Italie ! Encore un pays d’Europe, si proche, que je connais mal. Avec six semaines devant moi, je décide d’aller le parcourir à vélo, en partant de la Sicile au sud, pour remonter cette botte jusqu’au nord à Gênes, en traversant quelques-unes de ses régions.
J’aime cette idée de prendre un point de départ loin de chez moi, et d’inventer à partir de là un itinéraire qui me rapproche et me ramène à la maison. Et comme je préfère toujours voyager le soleil dans le dos, remonter l’Italie du sud au nord, devient alors une évidence.
J’aime cette idée de prendre un point de départ loin de chez moi, et d’inventer à partir de là un itinéraire qui me rapproche et me ramène à la maison. Et comme je préfère toujours voyager le soleil dans le dos, remonter l’Italie du sud au nord, devient alors une évidence.
Carnet publié par Stine
le 10 juin
modifié le 10 juin
modifié le 10 juin
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
bus
ferry
Précisions :
Aller : Flixbus direct de Grenoble à Gênes, et ferry de Gênes à Palerme en début de nuit . Arrivée le lendemain à Palerme dans la soirée.
Retour : Flixbus direct de Gênes à Grenoble.
Dans les Flixbus, le vélo est démonté dans une housse, et est...
Aller : Flixbus direct de Grenoble à Gênes, et ferry de Gênes à Palerme en début de nuit . Arrivée le lendemain à Palerme dans la soirée.
Retour : Flixbus direct de Gênes à Grenoble.
Dans les Flixbus, le vélo est démonté dans une housse, et est déclaré comme bagage spécial, objet d'un petit supplément.
57 lecteur(s)
-
Vue d'ensemble
Le topo : La Campanie (mise à jour : 10 juin)
Distance section :
407km
Dénivelées section :
+6068m /
-6683m
Section Alti min/max : 2m/865m
Description :
De Castellucio Inferiore à Formia
Du 17 avril au 23 avril 2025
Long de la côte pour l'essentiel
330kms
Du 17 avril au 23 avril 2025
Long de la côte pour l'essentiel
330kms
Le compte-rendu : La Campanie (mise à jour : 10 juin)
Ma route et celle de Christophe vont désormais se séparer. Je poursuis seule vers le Nord, tandis que Christophe, qui avait planifié d’aller découvrir la région des Pouilles, bifurque vers l’Est.
Fatiguée par ces étapes de montagne, je change un peu mes plans de départ, et décide de rejoindre temporairement la côte méditerranéenne pour profiter d’un relief plus aplani.
Si la météo dans le sud nous avait réservé de belles journées froides mais ensoleillées, je vais devoir composer maintenant, au pire avec les orages ou averses, mais surtout avec un ciel souvent bâché, déclinant toutes les nuances du gris au noir.
Je rejoins le bord de mer à Sapri, pour suivre ensuite tous les méandres de la côte jusqu’à Salerne. Il y eu de belles portions de routes en bord de mer, et où les kms défilent enfin plus vite, cela fait du bien au moral. Mais malheureusement, à l’approche des grandes villes, les routes perdent leur charme, les sacs poubelles éventrés refont leur apparition sur les bas-côtés.
L’ambiance est changeante, le tourisme commercial, sans être encore agressif, prend doucement le relais. Les relations avec les italiens sont moins spontanées.
Petite entorse à mon projet initial, trop en retard sur mon planning, je prends un train à Salerne, pour relier à temps les 50 kms qui me séparent de Naples, où j’ai réservé une auberge de jeunesse. Avant de reprendre la route, je fais un petit break pour la visite de Naples.
Fatiguée par ces étapes de montagne, je change un peu mes plans de départ, et décide de rejoindre temporairement la côte méditerranéenne pour profiter d’un relief plus aplani.
Si la météo dans le sud nous avait réservé de belles journées froides mais ensoleillées, je vais devoir composer maintenant, au pire avec les orages ou averses, mais surtout avec un ciel souvent bâché, déclinant toutes les nuances du gris au noir.
Je rejoins le bord de mer à Sapri, pour suivre ensuite tous les méandres de la côte jusqu’à Salerne. Il y eu de belles portions de routes en bord de mer, et où les kms défilent enfin plus vite, cela fait du bien au moral. Mais malheureusement, à l’approche des grandes villes, les routes perdent leur charme, les sacs poubelles éventrés refont leur apparition sur les bas-côtés.
L’ambiance est changeante, le tourisme commercial, sans être encore agressif, prend doucement le relais. Les relations avec les italiens sont moins spontanées.
Petite entorse à mon projet initial, trop en retard sur mon planning, je prends un train à Salerne, pour relier à temps les 50 kms qui me séparent de Naples, où j’ai réservé une auberge de jeunesse. Avant de reprendre la route, je fais un petit break pour la visite de Naples.