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GTJ raquettes

(réalisé)
Grande Traversée du Jura en raquettes, hiver 2019, de Metabief à Giron.
randonnée/trek / raquettes
Quand : 22/02/19
Durée : 10 jours
Carnet publié par cirkapt le 02 févr. 2020
Mobilité douce
C'est possible (ou réalisé) en train bus stop
Précisions : TGV Paris Gare de Lyon Frasne puis bus jusqu'à Métabief. Retour Giron - Bellegarde en stop ou taxi, puis TGV Bellegarde - Paris gare de Lyon.
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Vue d'ensemble

Le topo : Le matériel (mise à jour : 02 févr. 2020)

Description :

Description du matériel utilisé pour ces dix jours de randonnée, avec nuitées en refuge ou à l'hôtel. Poids complet du sac : 5,5 kilogrammes.

Le compte-rendu : Le matériel (mise à jour : 02 févr. 2020)

Sur moi :

Mon pantalon de journée sur la GTJ était un vieux fuseau de ski alpin, en soft shell doublé polaire de marque Norway et je n’avais pas pris de guêtres (celles du fuseau suffisent). Pas de collant non plus, le fuseau est suffisamment chaud. Pour le haut du corps, un sweat synthétique léger de marque Duofold que je traine depuis vingt ans, un autre sweat en polaire très chaud, une polaire soft shell imperméable, tous les deux de marque Cimalp. Plus une doudoune ultra légère Uniqlo que je n’ai pas porté souvent. En accessoires : une casquette légère pour protéger mes lunettes de la pluie ou de la neige, un vieux cache oreille en polaire, des gants de ski alpin, un tour de cou en polaire décathlon. Sous-vêtements : un caleçon decathlon de running, ultra léger et qui sèche très vite, et des chaussettes de randonnée hiver de marque Monnet.

Mes raquettes sont des EVO 22, du fabricant MSR. Elles sont tout bonnement parfaites : légères et étroites, elles se font oublier et rendent la marche complètement naturelle, si ce n’est le bruit désagréable qu’elles font sur neige durcie – mais ce défaut est propre à toutes les raquettes. Leur accroche est exceptionnelle, particulièrement en descente un peu raide, et le système d’attache est manipulable avec les gants de ski.
Je les attache sur mon sac grâce à deux sangles larges en nylon, avec velcro, qui entouraient à l’origine un matelas Ikea et que j’ai raccourcies et données à recoudre à un cordonnier. Leur poids rajoute 2 kilos au total.

Mes bâtons ont vingt cinq ans, de marque Kohla. Ils ont vieilli et je compte les remplacer à l’occasion mais j’adore leur poignée ergonomique en espèce de liège synthétique. J’ai ôté les dragonnes, que je trouve inutiles et gênantes.

Mes chaussures de trek sont des Salomon GTX, Goretex : trempées au bout de trois jours, absolument pas imperméables dans ces conditions. Je les faisais sécher plus ou moins le soir. Cela étant, j'adore leur maintien, leur accroche et leur confort... au sec. Pour un autre trip raquette, j'irai voir du côté des bottes canadiennes.

Dans le sac :

Mon sac à dos est le Talon 44 de la marque Osprey. Léger, bien pensé, pas excessif en prix. Déjà plusieurs randos au compteur.

Pour l'eau, j'utilise une gourde souple de chez Platypus. 1 litre, bien suffisant.

Pour le soir, comme toujours quand je dors en refuges ou hôtels, je porte un jean, un tee-shirt de marque Outdoor Research (sèche incroyablement vite et remplace le sweat synthétique qui pue et que je lave tous les jours), un sweat en merinos Helly Hansen, un caleçon de rechange, une paire de chaussettes de rechange (caleçon et chaussettes du jour lavés le soir avec le sweat et séchés la nuit sur radiateur). L'été, quand je bivouaque, je m'encombre bien moins.

Aux pieds le soir, des chaussures de running minimalistes de chez Magical shoes.

Côté couchage, aucun besoin de prévoir un duvet : partout, on trouve des couvertures et des couettes. En revanche, le sac à viande est indispensable. Le mien, déjà ancien, sort du Vieux Campeur, c'est un modèle en soie et coton mélangés. Encombrement et poids ridicules.

Ma trousse de toilette est une Sea to Summit : j'en ai ôté le miroir inutile et j'y range les accessoires minimalistes dont j'ai besoin et ma petite pharmacie ainsi que quelques articles de réparation d'urgence. Le tout pour environ 500 grammes sur la GTJ (le poids et le contenu varient selon les destinations et la saison) incluant la plus petite serviette en micro-fibre de chez MSR.

Pas de nourriture spéciale : au gré des épiceries... Un cake aux fruits, un saucisson, me font trois jours. Mais je petit-déjeune et dîne très copieusement pour compenser.

Je m'oriente, prends des photos, alimente mon blog, etc, avec un iPhone 7. J'utilise également un petit trépied de chez Cullman et j'ai une batterie portable 20000 mAh de marque Anker. Pour les fonds de carte, je suis abonné au Géo Portail IGN (14,99 par an) et j'utilise l'application IphiGéNie.

D'ordinaire, je n'emporte pas les topos. Cette fois, exceptionnellement, j'ai pris celui de la GTJ car il est très léger et de petit format.

Enfin, j'ai une petite lampe frontale Petzl rechargeable, une mini-cuvette pliable Sea to Summit (pour la lessive, parce que la plupart des lavabos ne retiennent pas l'eau) et un vieil Opinel à tout faire. J'emporte aussi deux cordons d'alimentation (celui de l'Iphone et celui de la batterie, qui sert aussi pour la frontale) et une petit prise secteur. Ma carte d'identité, carte vitale, CB et argent liquide sont dans un Ziploc.


Et c'est tout.
Le sac complet pour dix jours
Le sac complet pour dix jours
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