Pour un bisous de Mamie Nénette, une boucle à vélo autour des Écrins (et un même peu plus loin)
Une première itinérance en solo, au départ de la maison, à Chorges pour rejoindre les terres paternelles Mauriennaises et embrasser ma grand-mère.
Un joli prétexte pour du vélo de voyage par les petites routes et les grands cols à la découverte de paysages inconnus en terrains connus.
Un joli prétexte pour du vélo de voyage par les petites routes et les grands cols à la découverte de paysages inconnus en terrains connus.
Quand : 27/06/24
Durée : 8 jours
Durée : 8 jours
Distance globale :
359km
Dénivelées :
+9856m /
-9853m
Alti min/max : 493m/2637m
Carnet publié par Marinette05
le 20 juil.
modifié le 20 juil.
modifié le 20 juil.
Mobilité douce
du pas de la porte au pas de la porte
C'est possible (ou réalisé) en
train
Coup de coeur !
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Vue d'ensemble
Le topo : Section 7 (mise à jour : 20 juil.)
Distance section :
51.8km
Dénivelées section :
+750m /
-1338m
Section Alti min/max : 897m/1485m
Le compte-rendu : Section 7 (mise à jour : 20 juil.)
Jolie descente de la Guisane par les pistes, chemins et sentiers du canal au petit matin. Quel plaisir de rouler avec un copain
Objectif : Briançon, pour un test comparatif de croissants et autres viennoiseries accompagné d'un vrai et bon café.
Il est possible de descendre la Guisane quasi intégralement hors de la route nationale, et vue la circulation sur cette dernière et la beauté de sentiers, cela serait dommage de s'en priver.
La pause croissants est réalisée dans les règles de l'art. Et c'est par les petites routes et pistes de traverses que nous rejoignons ensuite l'Argentière-la-Béssée.
La brise de face nous saoule autant qu'elle nous sèche. Ah, elle me semble loin l'humidité Mauriennaise.
Nous aurons la mauvaise surprise de constater que la Durance a grignoté les berges emportant une partie de la piste avec elles, nous imposant un bref mais désagréable passage par la nationale.
Nos chemins se quittent aux environs de Saint-Crépin, ou je rebascule rive droite de la Durance, à la recherche de mon ultime lieu de bivouac. Que je trouverais non loin du torrent de Saint Thomas.
Bouquets de lavandes, de thym et de résine rôtie au soleil.
Objectif : Briançon, pour un test comparatif de croissants et autres viennoiseries accompagné d'un vrai et bon café.
Il est possible de descendre la Guisane quasi intégralement hors de la route nationale, et vue la circulation sur cette dernière et la beauté de sentiers, cela serait dommage de s'en priver.
La pause croissants est réalisée dans les règles de l'art. Et c'est par les petites routes et pistes de traverses que nous rejoignons ensuite l'Argentière-la-Béssée.
La brise de face nous saoule autant qu'elle nous sèche. Ah, elle me semble loin l'humidité Mauriennaise.
Nous aurons la mauvaise surprise de constater que la Durance a grignoté les berges emportant une partie de la piste avec elles, nous imposant un bref mais désagréable passage par la nationale.
Nos chemins se quittent aux environs de Saint-Crépin, ou je rebascule rive droite de la Durance, à la recherche de mon ultime lieu de bivouac. Que je trouverais non loin du torrent de Saint Thomas.
Bouquets de lavandes, de thym et de résine rôtie au soleil.