Pour un bisous de Mamie Nénette, une boucle à vélo autour des Écrins (et un même peu plus loin)
Une première itinérance en solo, au départ de la maison, à Chorges pour rejoindre les terres paternelles Mauriennaises et embrasser ma grand-mère.
Un joli prétexte pour du vélo de voyage par les petites routes et les grands cols à la découverte de paysages inconnus en terrains connus.
Un joli prétexte pour du vélo de voyage par les petites routes et les grands cols à la découverte de paysages inconnus en terrains connus.
Quand : 27/06/24
Durée : 8 jours
Durée : 8 jours
Distance globale :
359km
Dénivelées :
+9856m /
-9853m
Alti min/max : 493m/2637m
Carnet publié par Marinette05
le 20 juil.
modifié le 20 juil.
modifié le 20 juil.
Mobilité douce
du pas de la porte au pas de la porte
C'est possible (ou réalisé) en
train
Coup de coeur !
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Vue d'ensemble
Le topo : Section 3 (mise à jour : 20 juil.)
Distance section :
51.2km
Dénivelées section :
+1745m /
-1429m
Section Alti min/max : 714m/2054m
Le compte-rendu : Section 3 (mise à jour : 20 juil.)
Le vent du sud s'est invité pendant la nuit et avec lui, le sable du Sahara et les orages annoncés pour le milieu d'après-midi.
De quoi me stresser un poil. L'étape prévue est longue (et dure) avec comme objectif de bivouaquer dans les alpages aux alentours du lac de Grand Maison, en altitude.
Ambiance de Mordor en Oisan : Romanche fumante et sommets pris dans les volutes sablonneuses.
Second test de boulangerie à Allemont, le temps de repérer, pour me rassurer, un camping juste sous la Croix de Fer, coté Saint-Sorlin et me voila partie tout émotionnée.
Alors oui, la montée pique fort, surtout avec mon vélo (définitivement) un peu trop chargé. Et si je doutais encore de mes capacités au croissant, j'avance pas trop mal en prenant mon temps (que je n'ai pas tant, à cause des orages annoncés). Pas facile de suivre l'évolution du ciel avec tout ce sable qui cache le développement nuageux. Doutes, joie, peur, tristesse, émerveillement, c'est la journée des émotions !
Arômes de forêts humides, de cascades fraiches, de terre et de cassissiers.
Quelques gouttes avant Grand-Maison, et dans l'ascension du barrage, de fortes rafales de vent dans le nez me font dire que la partie "plate" le long du lac ne sera sans doute pas la partie de plaisir tant attendue... En effet, de jolies rafales à 30/35km (de face évidemment) me cueillent pour finir cette montée, mais whaou, quelle beauté ! Au pied des Aiguilles de l'Argentière et autres sommets Mauriennais, j'ai la joie et le plaisir d'observer les vautours décoller à moins de 15 m de mes yeux émerveillés.
C'est accompagnée de réguliers coups de tonnerres et de pluie battante, que j'arrive au col de la Croix de Fer rincée.
Tarte aux myrtilles et bière fraiche amplement méritées.
J'apprécie le confort du camping pour une nuit d'orage au hameau de Turin, sur les hauteur de Saint-Sorlin.
De quoi me stresser un poil. L'étape prévue est longue (et dure) avec comme objectif de bivouaquer dans les alpages aux alentours du lac de Grand Maison, en altitude.
Ambiance de Mordor en Oisan : Romanche fumante et sommets pris dans les volutes sablonneuses.
Second test de boulangerie à Allemont, le temps de repérer, pour me rassurer, un camping juste sous la Croix de Fer, coté Saint-Sorlin et me voila partie tout émotionnée.
Alors oui, la montée pique fort, surtout avec mon vélo (définitivement) un peu trop chargé. Et si je doutais encore de mes capacités au croissant, j'avance pas trop mal en prenant mon temps (que je n'ai pas tant, à cause des orages annoncés). Pas facile de suivre l'évolution du ciel avec tout ce sable qui cache le développement nuageux. Doutes, joie, peur, tristesse, émerveillement, c'est la journée des émotions !
Arômes de forêts humides, de cascades fraiches, de terre et de cassissiers.
Quelques gouttes avant Grand-Maison, et dans l'ascension du barrage, de fortes rafales de vent dans le nez me font dire que la partie "plate" le long du lac ne sera sans doute pas la partie de plaisir tant attendue... En effet, de jolies rafales à 30/35km (de face évidemment) me cueillent pour finir cette montée, mais whaou, quelle beauté ! Au pied des Aiguilles de l'Argentière et autres sommets Mauriennais, j'ai la joie et le plaisir d'observer les vautours décoller à moins de 15 m de mes yeux émerveillés.
C'est accompagnée de réguliers coups de tonnerres et de pluie battante, que j'arrive au col de la Croix de Fer rincée.
Tarte aux myrtilles et bière fraiche amplement méritées.
J'apprécie le confort du camping pour une nuit d'orage au hameau de Turin, sur les hauteur de Saint-Sorlin.