2 membres et 11 invités en ligne

Bike&Fly : cyclo-report'air dans les Alpes et les Pyrénées

(réalisé)
Simplement rouler, voler, et rencontrer des personnes passionnées qui fabriquent du matériel outdoor dans l'Hexagone.
vélo de randonnée / parapente vol-rando
Quand : 24/06/19
Durée : 35 jours
Carnet publié par Anthony le 21 mars 2019
modifié le 05 sept. 2021
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en train
Coup de coeur ! 608 lecteur(s) -
Vue d'ensemble

Le compte-rendu : Mise en route difficile (mise à jour : 14 juil. 2021)

Gare de Chorges, c'est le coup d'envoi.
Gare de Chorges, c'est le coup d'envoi.
Un ticket pour le paradis ?
Un ticket pour le paradis ?
Ou pour l'enfer ?
Ou pour l'enfer ?
À Lyon, problème de train, on reste à quai de longues minutes. La rame est bondée, la chaleur suffocante, tandis que par le haut-parleur un agent de la SNCF nous répète régulièrement que le problème est à durée indéterminée. On apprend soudainement qu'un autre train part dans moins d'une minute pour Roanne, mon terminus. Heureusement, quelques passagers m'aident pour trimballer mon barda sur l'autre quai !
8 heures et 3 changements plus tard, me voilà arrivé.
8 heures et 3 changements plus tard, me voilà arrivé.
À Roanne, il est déjà presque 19h et pourtant la chaleur est encore bien pesante. Comme les journées sont longues (nous sommes à quelques jours du solstice), je prends la route en direction de chez STOOTS, que je rencontre le lendemain.

La veille, les préparatifs se sont terminés dans la précipitation, je n’ai même pas eu l’occasion de rouler avec le vélo chargé avant de me jeter dans le train. Je tente de me rassurer tant bien que mal, en martelant ma conscience que, pour ce genre de projet, on ne se sent jamais vraiment prêt. Je cogite, partagé entre mes doutes et la joie d’être enfin lancé dans ce projet. De surcroît, chaque montée qui se dresse devant moi est un calvaire. Aurais-je oublié mes jambes à la maison ?
Lumières du soir au bivouac.
Lumières du soir au bivouac.
Au bivouac, malgré les belles lumières, ce n'est pas la panacée : moustiques, tiques, chaleur. La nuit n'est pas vraiment réparatrice... 
Le lendemain, il fait déjà si chaud que je peux rouler en t-shirt dès l'aube. Je suis à quelques kilomètres des ateliers de STOOTS. Je retrouve leur équipe au complet dans la matinée, et passe une bonne partie de la journée à discuter autour de leurs projets. 
Commentaires