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Conditionner et transporter sa nourriture

Johanna
par Johanna
31 mars 2023
319 lecteurs

Conditionner et transporter sa nourriture de voyage de manière adéquate est un challenge. La plupart du temps, il est nécessaire et rentable de reconditionner les aliments, parce qu’on les achète en vrac, parce que leur emballage n’est ni optimal ni pratique, pour mieux les regrouper ou au contraire les diviser… Il y a matière à effectuer quelques optimisations ainsi que du côté des contenants. Nous nous proposons de passer en revue différents contenants avec, pour chacun, ses spécificités et avantages.

Retrouvez notre grand dossier Porter moins, manger mieux, la nourriture de bivouac.

Quels contenants ?

  • Sachets plastiques alimentaires résistants, type sachets congélation, ziploc ; d’accord c’est du plastique, mais cela reste pratique, léger, hygiénique, peu onéreux et pas toujours aisé à substituer. L’encombrement est nul une fois vide, et si l’on est soigneux, on peut souvent réutiliser ses sachets (nous avons constaté une durabilité très variable entre les modèles, parfois vraiment médiocre même sur certaines marques réputées). Ils sont commodes pour stocker des rations déjà constituées et pesées (potentiellement avec des mélanges, par ex. du lait en poudre avec un muesli fait-maison mêlant flocons d’avoine, fruits secs, noix). Il est judicieux de regrouper plusieurs sachets – par thème (petit déj), par jour (3 sachets pour 3 repas) ou autre – dans un « plus grand sac » en nylon par exemple afin de les protéger des frottements inévitables (dans un sac à dos, une remorque, sacoche de vélo ou de cheval, une pulka, un compartiment de kayak) et d’éviter de retrouver sa nourriture éparpillée. Selon les besoins et les circonstances, ce « méta » sac peut être en nylon très léger, un peu plus costaud et étanche… Poids moyen d’un ziploc : petit 3 à 5 g, grand 7 à 10 g.
... et la suite ?