Protocole Rigidité d'un bâton (PoleStiff)
Version 1.0 (15/09/2025)
Protocole utilisé pour :
Quels bâtons de randonnée légers et pliables choisir ?
L'idée est d'évaluer la rigidité d'un bâton (de randonnée, de trail, de ski...) comparativement entre plusieurs modèles.
Les bâtons n'étant pas tous de la même taille, nous exposons à la mesure une longueur de 1 mètre, sur la partie basse du bâton (la plus "exposée" au levier et à la flexion).
Nous plaçons 2 chaises identiques espacées dudit mètre (étiquettes placées au sol pour conserver l'alignement des chaises), chaque bâton est posé sur une des chaises au niveau de la rondelle, et sur la poignée (ou directement le brin supérieur du bâton selon la longueur de la poignée) sur la chaise opposée.
Afin de compenser les éventuelles différences de diamètres de tubes / format des poignées des bâtons (et donc avoir une mesure compensée), on ajoute des cales en haut et/ou en bas.
Ensuite, on place sur le bâton, au milieu du mètre, une sangle reliée à un dynamomètre lui-même relié à un mousqueton que l'on tire jusqu'au sol. Le dynamomètre mesure l'effort nécessaire pour amener le mousqueton à toucher le sol (marquage avec une étiquette), et donc faire ployer la bâton sur une amplitude données (ici 4cm), on évalue ainsi sa rigidité. Plus l'effort nécessaire est important, plus la bâton est rigide. On réalise bien sûr plusieurs mesures par bâton (la toute première étant souvent plus élevée que les suivantes).
La valeur - lue en kg sur le dynamomètre - ne peut être utile que comparativement entre plusieurs modèles.
Les bâtons n'étant pas tous de la même taille, nous exposons à la mesure une longueur de 1 mètre, sur la partie basse du bâton (la plus "exposée" au levier et à la flexion).
Nous plaçons 2 chaises identiques espacées dudit mètre (étiquettes placées au sol pour conserver l'alignement des chaises), chaque bâton est posé sur une des chaises au niveau de la rondelle, et sur la poignée (ou directement le brin supérieur du bâton selon la longueur de la poignée) sur la chaise opposée.
Afin de compenser les éventuelles différences de diamètres de tubes / format des poignées des bâtons (et donc avoir une mesure compensée), on ajoute des cales en haut et/ou en bas.
Ensuite, on place sur le bâton, au milieu du mètre, une sangle reliée à un dynamomètre lui-même relié à un mousqueton que l'on tire jusqu'au sol. Le dynamomètre mesure l'effort nécessaire pour amener le mousqueton à toucher le sol (marquage avec une étiquette), et donc faire ployer la bâton sur une amplitude données (ici 4cm), on évalue ainsi sa rigidité. Plus l'effort nécessaire est important, plus la bâton est rigide. On réalise bien sûr plusieurs mesures par bâton (la toute première étant souvent plus élevée que les suivantes).
La valeur - lue en kg sur le dynamomètre - ne peut être utile que comparativement entre plusieurs modèles.
Ajout de cales en haut et/ou en bas pour compenser les différences de diamètres de tubes / format des poignées des bâtons et avoir une mesure compensée.