Ni course, ni défi, ni extrême, Mais changer mon mode de vie… dans le respect de la nature et des hommes.Monture et Embarcation: Wheelie IV Traveller + remorque Cyclone, Canoë Nautiraid rando 450 et Windrider 17 :) En route pour Cap Nord, au départ
Je ne résiste pas à l’envie de partager avec vous l’immense plaisir que j’ai éprouvé à la lecture du dernier livre de Sylvain TESSON
Voici la quatrième de couverture…
Assez tôt, j’ai compris que je n’allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m’installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie. J’ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal. Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j’ai tâché d’être heureux. Deux chiens, un poêle à bois, une fenêtre ouverte sur un lac suffisent à la vie. Et si la liberté consistait à posséder le temps ? Et si le bonheur revenait à disposer de solitude, d’espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ? Tant qu’il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu. Sylvain Tesson, Dans les forêts de Sibérie. Ed Gallimard
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@ Nomade en mer : Mon plaisir se conjugue au présent. C'est le livre en cours. Je le déguste page par page, essayant de ne pas aller trop vite pour faire durer le bien-être, comme tu dis, que Sylvain Tesson, écrivain de talent et voyageur atypique, sait distiller aussi bien que les meilleurs bouilleurs de grains vodkaïques.
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Assez tôt, j’ai compris que je n’allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m’installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie.
J’ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal.
Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j’ai tâché d’être heureux.
Deux chiens, un poêle à bois, une fenêtre ouverte sur un lac suffisent à la vie.
Et si la liberté consistait à posséder le temps ?
Et si le bonheur revenait à disposer de solitude, d’espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ?
Tant qu’il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu.
Sylvain Tesson,
Dans les forêts de Sibérie.
Ed Gallimard
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