BOLIVIE : Camino del Choro
3 jours
44.9km
+1369m
/ -4797m


Un grand classique des treks faciles en autonomie. Nous étions 2 filles en vadrouille et ça s'est très bien passé ! Nous avions trouvé cette idée sur le guide Lonely Planet et avions juste un plan avec des explications. On ne peut pas se perdre car on suit une vallée. On passe d'un climat de très haute montagne au climat quasi tropical en 3 jours. Une descente magnifique !
Concernant le matériel : si on n'est pas équipé, on peut en trouver en location dans les agences de trek à La Paz (Calle Sagarnaga).
Concernant le matériel : si on n'est pas équipé, on peut en trouver en location dans les agences de trek à La Paz (Calle Sagarnaga).
Activité :
randonnée/trek
Statut :
réalisé
Distance :
44.9km
DATE :
06/08/2010
Durée :
3 jours
Dénivelées :
+1369m
/ -4797m
Alti min/max :
1989m/4866m
BOLIVIE : Camino del Choro
Les étapes :
1
11.1km
+213m /
-1101m
mise à jour : 02 mars 2018
De La Paz, il faut prendre un bus qui va direction Coroico. On descend à La Cumbre (4650 m).
De là, il faut partir au Nord-Ouest en longeant des lagunas. On trouve la maison du parc national où un employé nous fait remplir le registre (nom, n° de passeport, etc...) puis il nous indique la direction à suivre.
On distingue bien le col à 4900 m avec un énorme cairn.
Il a neigé la veille donc l'atmosphère est encore bien humide et froide.
Le problème est que l'humidité remonte des yungas et donne un épais brouillard en milieu de journée.
Une fois au col, en début d'après-midi, c'est bien ça : le brouillard ! On y plonge et on descend dans les pâturages pelés. Puis le crachin commence à tomber et on plante la tente au hasard près du torrent. Le problème est qu'elle est un peu exigüe (prêté par notre copine de La Paz) et dont la fermeture est cassée... On répare comme on peut et la nuit sera longue....
De là, il faut partir au Nord-Ouest en longeant des lagunas. On trouve la maison du parc national où un employé nous fait remplir le registre (nom, n° de passeport, etc...) puis il nous indique la direction à suivre.
On distingue bien le col à 4900 m avec un énorme cairn.
Il a neigé la veille donc l'atmosphère est encore bien humide et froide.
Le problème est que l'humidité remonte des yungas et donne un épais brouillard en milieu de journée.
Une fois au col, en début d'après-midi, c'est bien ça : le brouillard ! On y plonge et on descend dans les pâturages pelés. Puis le crachin commence à tomber et on plante la tente au hasard près du torrent. Le problème est qu'elle est un peu exigüe (prêté par notre copine de La Paz) et dont la fermeture est cassée... On répare comme on peut et la nuit sera longue....
2
20km
+650m /
-2485m
mise à jour : 02 mars 2018
Soleil le matin mais beaucoup d'humidité. On fera sécher les duvets en cours de journée au soleil. On continue la descente, on traverses des petits villages où on peut se ravitailler facilement. Les cours d'eau se traversent sur de beaux ponts suspendus.
La végétation commence à changer, de belles fleurs apparaissent. Nous rencontrons peu d'étrangers.
On trouve divers coins de bivouac au bord du chemin et la 2e nuit est bien plus sèche !
La végétation commence à changer, de belles fleurs apparaissent. Nous rencontrons peu d'étrangers.
On trouve divers coins de bivouac au bord du chemin et la 2e nuit est bien plus sèche !
3
13.8km
+506m /
-1211m
mise à jour : 02 mars 2018
Le 3e jour, on crève de chaud. Il faut cependant rester couvert car il y a des insectes piqueurs dont il faut se méfier. Nous suivons la vallée du Rio Huarinilla.
Après le dernier village, Sandillani, on quitte la forêt pour un paysage sec et brûlé (écobuage ?). On arrive ensuite sur une piste carrossable et on continue jusqu'à Chairo.
Là, il ne faut pas louper le dernier bus, ce qui a été notre cas. Nous avons du passer par la case "arnaque" en utilisant le taxi local avec sa camionetta. Nous n'avons bien sûr pas payé le prix local, de mémoire c'était 15€ par personne. On monte à l'arrière et on est le nez au vent jusqu'à Coroico. Le pire c'est qu'il fallait aider les mamies à monter et descendre de la benne car le chauffeur ne descend jamais de son siège !
ça a tourné à la crise de rire pour nous, tellement la situation était cocasse ! La nuit est tombée et nous avons admiré le ciel "pas comme chez nous" avec des étoiles inconnues.
Arrivées en soirée à Coroico, petite ville très sympa. On y trouve de quoi se loger et manger sans problème. Le lendemain, un mini-bus nous a ramené à La Paz par la fameuse "route de la mort" où on trouve une stèle à chaque virage....
Après le dernier village, Sandillani, on quitte la forêt pour un paysage sec et brûlé (écobuage ?). On arrive ensuite sur une piste carrossable et on continue jusqu'à Chairo.
Là, il ne faut pas louper le dernier bus, ce qui a été notre cas. Nous avons du passer par la case "arnaque" en utilisant le taxi local avec sa camionetta. Nous n'avons bien sûr pas payé le prix local, de mémoire c'était 15€ par personne. On monte à l'arrière et on est le nez au vent jusqu'à Coroico. Le pire c'est qu'il fallait aider les mamies à monter et descendre de la benne car le chauffeur ne descend jamais de son siège !
ça a tourné à la crise de rire pour nous, tellement la situation était cocasse ! La nuit est tombée et nous avons admiré le ciel "pas comme chez nous" avec des étoiles inconnues.
Arrivées en soirée à Coroico, petite ville très sympa. On y trouve de quoi se loger et manger sans problème. Le lendemain, un mini-bus nous a ramené à La Paz par la fameuse "route de la mort" où on trouve une stèle à chaque virage....