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6 mois de vélo en famille entre mer Baltique et mer du Nord pour découvrir les pays baltes et scandinaves.
Activité :
vélo de randonnée
Statut :
réalisé
DATE :
28/03/2025
Durée :
180 jours
Mobilité douce
du pas de la porte au pas de la porte
C'est possible (ou réalisé) en
train
bus
stop
ferry
cargo
Mise à jour section : 19 oct.
Un tour de la baltique (et un peu plus) en vélo et en famille du 28 mars au 26 septembre 2025.
Qui sommes-nous
En quelques chiffres
Notre retour d’expérience
Pourquoi ce voyage ?
Parce que Chloé, Valentin et Manon n’avaient jamais connu le voyage en format long si différent des vacances de quelques semaines.
Parce qu’on avait envie de découvrir les pays du nord qui nous attiraient par l’omniprésence de la nature, leur culture et des températures adaptées au voyage à vélo.
Parce qu’on voulait profiter à fond de nos enfants à un âge où ils pédalent suffisamment bien et avant l’adolescence où ils ne voudront plus de nous 😉
Que retient-on du Nord de l’Europe (en tout cas du peu qu’on en a vu) ?
D’abord des images de paysages grandioses : les plateaux avec la nature à perte de vue, les glaciers, les montagnes des fjords à la forme si nouvelle pour nous, les lacs de Finlande et Suède, les chapelets d’îles, les villes aux architectures hanséatiques ou aux maisons en bois colorées,…
On a aussi vraiment apprécié le respect des biens communs et de chacun dans les Pays Baltes et la Scandinavie, la manière de vivre au contact de la nature (des écoliers aux personnes âgées se baladant dans des forêts immenses), la vision de l’école.
Par contre côté gastronomie, on est plutôt contents de rentrer en France !
Que retient-t-on de cette manière de découvrir le Monde ?
Voyager à vélo c’est vivre en dehors des standards, à un rythme qui permet de faire corps avec l’environnement et en même temps de voir plusieurs villes / villages sur une étape. (Cf. Step du 28 juin sur les avantages du voyage à vélo). C’est aussi être dehors tout le temps, confrontés aux aléas de la météo et dépendants de l’alternance jour / nuit. Les petits conforts « ordinaires » (douche chaude, café sur la route, repas offert par des hôtes) prennent alors une saveur exceptionnelle.
Voyager au long cours c’est se libérer des contraintes du quotidien « ordinaire » pour faire selon ses ressentis et envies du moment. Exit l’agenda et les « to-do list ». En même temps, il faut savoir accepter les changements, ne pas trop prévoir et s'adapter en permanence. Ce qui amène à devoir vivre l’INSTANT PRESENT.
Voyager en mobilité douce c’est revenir à l'essentiel, à ses besoins primaires et disposer du temps pour le faire correctement. On se réinterroge sur ce dont on a vraiment besoin. On peut se libérer du poids de nos peurs qui prennent souvent forme dans l'accumulation de biens matériels
Voyager avec ses muscles c’est concrétiser la logique des petits pas en gravissant des montagnes, jour après jour, et accomplir ce qui semblait insurmontable au départ.
Voyager avec ses enfants c’est les observer développer leur imagination sans limite, sans artifices ni jouets. C’est aussi le plaisir de lire dans leurs yeux l'émerveillement continue face à la nature simple (une buse sur un piquet, une chenille sur la route, un figuier qui pousse dans l’asphalte …).
Voyager en osant pousser la porte d’hôtes warm shower c’est découvrir des personnes si différentes et toujours ouvertes et généreuses. C’est d’ailleurs chez des hôtes que nous avons dégusté nos meilleurs repas du voyage !
Au-delà de ces accueils gracieux, notre caravane de vélos suscite de la curiosité des passants et invite à la rencontre et à l'ouverture.
Ce voyage a donc fait naître ou aiguisé certaines qualités en nous : la persévérance, la résilience, le pouvoir d’imagination, la patience, l’acceptation du lâcher prise, le goût de l’effort, la curiosité, le sens de l’observation.
Ce huis-clos nous a aussi permis de mieux nous connaître, de renforcer les liens entre les enfants à travers leurs histoires inventées et les petites galères du voyage surmontées ensemble.
En couple nous avons discuté des heures côte à côte grâce aux larges pistes cyclables. Ces échanges ont permis de nous rappeler pourquoi nous étions ensemble par le partage de nos valeurs communes. On s’est livré sur nos émotions, sur nos ressentis du voyage mais aussi sur l’actualité, l’évolution de la société… Bref… on a refait le monde !
Qui sommes-nous
- Chloé, 45 ans, diététicienne
- Jean, 43 ans, responsable communication
- Valentin, 9 ans, élève en CE2 puis CM1
- Manon, 7 ans, élève en CE1 puis CE2
En quelques chiffres
- 183 Jours
- 133 villes/villages/spots de bivouac
- 6000 Km parcourus à vélo
- 44.000m de dénivelé +
- 9 Pays étrangers
- 15 accueils “chez l’habitant”
- 20 bateaux (bacs ou ferries), 0 avion, 4 bus, 11 trains, 3 trajets en auto-stop
- 50 tubes de kaviar (œufs de cabillaud sucrés / salés )
- 21kg de pâte à tartiner 🙂
Notre retour d’expérience
Pourquoi ce voyage ?
Parce que Chloé, Valentin et Manon n’avaient jamais connu le voyage en format long si différent des vacances de quelques semaines.
Parce qu’on avait envie de découvrir les pays du nord qui nous attiraient par l’omniprésence de la nature, leur culture et des températures adaptées au voyage à vélo.
Parce qu’on voulait profiter à fond de nos enfants à un âge où ils pédalent suffisamment bien et avant l’adolescence où ils ne voudront plus de nous 😉
Que retient-on du Nord de l’Europe (en tout cas du peu qu’on en a vu) ?
D’abord des images de paysages grandioses : les plateaux avec la nature à perte de vue, les glaciers, les montagnes des fjords à la forme si nouvelle pour nous, les lacs de Finlande et Suède, les chapelets d’îles, les villes aux architectures hanséatiques ou aux maisons en bois colorées,…
On a aussi vraiment apprécié le respect des biens communs et de chacun dans les Pays Baltes et la Scandinavie, la manière de vivre au contact de la nature (des écoliers aux personnes âgées se baladant dans des forêts immenses), la vision de l’école.
Par contre côté gastronomie, on est plutôt contents de rentrer en France !
Que retient-t-on de cette manière de découvrir le Monde ?
Voyager à vélo c’est vivre en dehors des standards, à un rythme qui permet de faire corps avec l’environnement et en même temps de voir plusieurs villes / villages sur une étape. (Cf. Step du 28 juin sur les avantages du voyage à vélo). C’est aussi être dehors tout le temps, confrontés aux aléas de la météo et dépendants de l’alternance jour / nuit. Les petits conforts « ordinaires » (douche chaude, café sur la route, repas offert par des hôtes) prennent alors une saveur exceptionnelle.
Voyager au long cours c’est se libérer des contraintes du quotidien « ordinaire » pour faire selon ses ressentis et envies du moment. Exit l’agenda et les « to-do list ». En même temps, il faut savoir accepter les changements, ne pas trop prévoir et s'adapter en permanence. Ce qui amène à devoir vivre l’INSTANT PRESENT.
Voyager en mobilité douce c’est revenir à l'essentiel, à ses besoins primaires et disposer du temps pour le faire correctement. On se réinterroge sur ce dont on a vraiment besoin. On peut se libérer du poids de nos peurs qui prennent souvent forme dans l'accumulation de biens matériels
Voyager avec ses muscles c’est concrétiser la logique des petits pas en gravissant des montagnes, jour après jour, et accomplir ce qui semblait insurmontable au départ.
Voyager avec ses enfants c’est les observer développer leur imagination sans limite, sans artifices ni jouets. C’est aussi le plaisir de lire dans leurs yeux l'émerveillement continue face à la nature simple (une buse sur un piquet, une chenille sur la route, un figuier qui pousse dans l’asphalte …).
Voyager en osant pousser la porte d’hôtes warm shower c’est découvrir des personnes si différentes et toujours ouvertes et généreuses. C’est d’ailleurs chez des hôtes que nous avons dégusté nos meilleurs repas du voyage !
Au-delà de ces accueils gracieux, notre caravane de vélos suscite de la curiosité des passants et invite à la rencontre et à l'ouverture.
Ce voyage a donc fait naître ou aiguisé certaines qualités en nous : la persévérance, la résilience, le pouvoir d’imagination, la patience, l’acceptation du lâcher prise, le goût de l’effort, la curiosité, le sens de l’observation.
Ce huis-clos nous a aussi permis de mieux nous connaître, de renforcer les liens entre les enfants à travers leurs histoires inventées et les petites galères du voyage surmontées ensemble.
En couple nous avons discuté des heures côte à côte grâce aux larges pistes cyclables. Ces échanges ont permis de nous rappeler pourquoi nous étions ensemble par le partage de nos valeurs communes. On s’est livré sur nos émotions, sur nos ressentis du voyage mais aussi sur l’actualité, l’évolution de la société… Bref… on a refait le monde !
