Carpates et Tatras à monocycle
15 jours
563km
+7704m
/ -7462m
Pour changer du vélo: un petit voyage à monocycle, le tout dans une région sauvage et dépaysante. Deux pays, deux ambiances!
Activité :
monocycle
Statut :
réalisé
Distance :
563km
DATE :
12/07/2023
Durée :
15 jours
Dénivelées :
+7704m
/ -7462m
Alti min/max :
181m/1123m
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
bus
Précisions :
Je me suis rendu à Rzeszów avec Flixbus, billet acheté la veille. En théorie, certains bus prennent les vélos, mais c'est compliqué de savoir lesquels. J'avais pris un supplément "bagage volumineux" et une "housse" ultralégère (une bache en plasti...
Je me suis rendu à Rzeszów avec Flixbus, billet acheté la veille. En théorie, certains bus prennent les vélos, mais c'est compliqué de savoir lesquels. J'avais pris un supplément "bagage volumineux" et une "housse" ultralégère (une bache en plastique semi fermée), j'étais dans les clous mais j'ai quand même du batailler un long moment avec le premier chauffeur (allemand), au téléphone avec Flixbus pendant 20 min... Pas très agréable mais ça l'a fait. Pas de souci à la correspondance, ni au retour mais je n'étais pas serein. A refaire: prévoir une housse opaque pour que les chauffeurs ne voient pas tout de suite que c'est un mono/vélo.
Flixbus sur un long trajet, c'est du rustique, à la limite de l'acceptable. Prévoir un scaphandre pour passer un bon moment. Prix imbattable (200€ A/R en réservant au dernier moment).
Mise à jour section : 18 déc. 2023
65.7km
+686m
/ -982m
181m/666m
Passage en Slovaquie, changement d'ambiance!
Le passage de frontière est solitaire, il n'y a personne sur la petite route que j'emprunte. L'arrivée dans la première ville Slovaque est un peu bizarre, avec ses bâtiments communistes... et les gens qui m'ignorent totalement!
Au fil des jours, je vais découvrir qu'en Slovaquie, ne pas répondre à un "dobré!" enjoué et amical (le mien) est normal, faut juste le savoir. Une fois la barrière rompue, ça va mieux, mais le premier abord surprend. Dans les campagnes, c'est comme en Pologne (et chez nous en France!): peu de gens parlent anglais.
A la mi-journée je craque et m'avance en bus, le fessier trop douloureux et le mental entamé par la souffrance due à l'inconfort du monocycle.
Au fil des jours, je vais découvrir qu'en Slovaquie, ne pas répondre à un "dobré!" enjoué et amical (le mien) est normal, faut juste le savoir. Une fois la barrière rompue, ça va mieux, mais le premier abord surprend. Dans les campagnes, c'est comme en Pologne (et chez nous en France!): peu de gens parlent anglais.
A la mi-journée je craque et m'avance en bus, le fessier trop douloureux et le mental entamé par la souffrance due à l'inconfort du monocycle.

J4