Vol bivouac au Kirghizstan
12 jours
143km
+5565m
/ -4292m

Notre voyage parapente et surtout marche en juillet 2015.
Activité :
parapente vol-bivouac
randonnée/trek
Statut :
réalisé
Distance :
143km
DATE :
19/07/2015
Durée :
12 jours
Dénivelées :
+5565m
/ -4292m
Alti min/max :
1853m/3669m
Vol bivouac au Kirghizstan
Les étapes :
1
89.4km
+3464m /
-2139m
mise à jour : 09 sept. 2015
Après une montée à cheval jusqu'au lac de Kol Ukek, nous continuons à pieds. Nous espérons plusieurs fois pouvoir voler mais toute cette partie se fera à pieds.
Il y a beaucoup de yourtes sur le début des vallées, surtout coté Kochkor, mais beaucoup moins de monde près du col.
Nous sommes obligées de traverser plusieurs rivières pieds nus au niveau des gués que les kirghizes passent à cheval, il n'y a presque pas de pont, cela peut être problématique à une saison où le niveau d'eau est élevé.
Dans le fond de vallée avant notre deuxième bivouac, la zone est un peu marécageuse. Rien de dangereux, mais c'est désagréable et ça ralentit la progression. Il aurait peut-être été plus intéressant de rester un peu plus haut, plus éloignées de la rivière.
Après ce point, le col se passe très bien, un sentier est visible dans les pierriers. De l'autre coté de la vallée le début de la vallée se descend facilement dans des pâturages, puis la vallée est de plus en plus encaissée et le sentier passe parfois à flanc dans des pierriers un peu raides. Rien de très difficile, mais il ne vaut mieux pas tomber.
Nous avons dû nous arrêter au niveau du village pour résoudre des problèmes matériels mais la suite de la progression semblait facile à pieds (bien que ça semble long puisque c'est une zone plate, où on a moins l'impression d'avancer). Pour le parapente la vallée où nous nous sommes arrêtées semblait aussi intéressante, avec toutes les orientations de relief et des atterrissages faciles...
Il y a beaucoup de yourtes sur le début des vallées, surtout coté Kochkor, mais beaucoup moins de monde près du col.
Nous sommes obligées de traverser plusieurs rivières pieds nus au niveau des gués que les kirghizes passent à cheval, il n'y a presque pas de pont, cela peut être problématique à une saison où le niveau d'eau est élevé.
Dans le fond de vallée avant notre deuxième bivouac, la zone est un peu marécageuse. Rien de dangereux, mais c'est désagréable et ça ralentit la progression. Il aurait peut-être été plus intéressant de rester un peu plus haut, plus éloignées de la rivière.
Après ce point, le col se passe très bien, un sentier est visible dans les pierriers. De l'autre coté de la vallée le début de la vallée se descend facilement dans des pâturages, puis la vallée est de plus en plus encaissée et le sentier passe parfois à flanc dans des pierriers un peu raides. Rien de très difficile, mais il ne vaut mieux pas tomber.
Nous avons dû nous arrêter au niveau du village pour résoudre des problèmes matériels mais la suite de la progression semblait facile à pieds (bien que ça semble long puisque c'est une zone plate, où on a moins l'impression d'avancer). Pour le parapente la vallée où nous nous sommes arrêtées semblait aussi intéressante, avec toutes les orientations de relief et des atterrissages faciles...
2
53.4km
+2101m /
-2153m
mise à jour : 09 sept. 2015
Quelques vols et encore pas mal de marche entre les cultures en fond de vallée et les alpages plus haut.
Les vallées sont presque toutes praticables à pieds sans aucun souci, la vraie difficulté dans ce secteur (et dans le pays en général) est la traversée des rivières : les ponts sont très peu nombreux, les kirghizes ont l'habitude de traverser rivières et torrents à gué à cheval. Mais sans cheval les gués sont parfois profonds... Se méfier aussi des zones marécageuses (généralement indiquées sur la carte au 1/100 000), elles peuvent obliger à faire un bon détour.
Là encore les reliefs semblent parfaits pour le parapente, malheureusement la météo n'était pas avec nous. Se méfier quand même des lignes électriques pour les atterrissages : la moindre maison en fond de vallée est alimentée par un fil électrique, même à plus de 2500m d'altitude. Il est également fortement déconseillé de vouloir poser au bord du lac sans un repérage préalable ou sans avoir beaucoup de marge d'altitude pour choisir un atterrissage : entre les arbustes et les lignes il ne reste souvent pas vraiment de place pour poser...
Les vallées sont presque toutes praticables à pieds sans aucun souci, la vraie difficulté dans ce secteur (et dans le pays en général) est la traversée des rivières : les ponts sont très peu nombreux, les kirghizes ont l'habitude de traverser rivières et torrents à gué à cheval. Mais sans cheval les gués sont parfois profonds... Se méfier aussi des zones marécageuses (généralement indiquées sur la carte au 1/100 000), elles peuvent obliger à faire un bon détour.
Là encore les reliefs semblent parfaits pour le parapente, malheureusement la météo n'était pas avec nous. Se méfier quand même des lignes électriques pour les atterrissages : la moindre maison en fond de vallée est alimentée par un fil électrique, même à plus de 2500m d'altitude. Il est également fortement déconseillé de vouloir poser au bord du lac sans un repérage préalable ou sans avoir beaucoup de marge d'altitude pour choisir un atterrissage : entre les arbustes et les lignes il ne reste souvent pas vraiment de place pour poser...