Projet :
Faire une boucle en passant par les points touristiques de la Sardaigne pendant 15 jours.
12 journées complètes de vélo + 2 journées avec de courtes transitions + 1 journée de visite à Cagliari, longueur parcourue 950 km pour un dénivelé de 12 800 m.
Organisation :
- Hébergement en camping au fil de l’eau sans réservation (nous sommes en mai et les campings sont ouverts en principe à cette saison) ou en camping sauvage s’il n’y a pas de camping.
- Nos vélos de voyage : Marino a un GITANE VERSO TOUR avec 4 sacoches et Jean Yves a un vélo en acier sur mesure de chez Olympiques Cycles avec 4 sacoches aussi (+ une sacoche clipsée sur le guidon pour chacun).
- Cartographie : carte Michelin n°366 au 1/200 000° + localisation GPS en cas de doute (3 fois) sur des traces faites avec le site cycle.travel, qui a l’intérêt de positionner les campings possibles pour séquencer les étapes. La carte Michelin n’est pas très précise, surtout pour les petites routes qui peuvent avoir des qualités très différentes (chemin stabilisé, béton défoncé, goudron correct)
- Les données des étapes sont issues de notre compteur et d’OpenRunner.
- Les autres informations ont été puisées dans le Guide de la Sardaigne de Lonely Planet (Ed. 2022), complet et fiable pour sélectionner et organiser des visites, et trouver certains hébergements.
Conclusion
La Sardaigne est une île idéale pour le voyage en vélo : petites routes, beaucoup de grands espaces tranquilles et de villages authentiques, une grande variété d’ambiances et de paysages, avec pas trop, trop de dénivelé. Nous avons autant aimé la montagne, très présente, que la mer avec les criques de la côte Est, les douces plages de la côte ouest et les vagues à surf de la Costa Verde ; nous avons apprécié les villes et les villages aux ruelles pavées de dalles et de petits galets, bordées de trattorias (restos) et de gelateria. Par contre, les bâtiments ruraux n’ont pas beaucoup de caractère en général.
On n’a pas tout vu, mais on a bien profité de ce que l’on a vu, et le parcours possède peu de sections inintéressantes, elles sont courtes en tout cas. Mais vous ne trouverez pas de grands itinéraires identifiés, quasiment pas de pistes cyclables, mais par contre beaucoup de motos (allemandes la plupart). Les campings sont assez peu nombreux (rien près de Cagliari, notamment) et parfois fermés mi-mai. Le camping sauvage est possible quand on est coincé, mais il ne faut pas se faire remarquer car les terrains agricoles et naturels sont systématiquement clôturés et fermés par un portail souvent cadenassé. Il n’y a pas beaucoup d’espaces naturels accessibles, et partout du bétail parqué, parfois en divagation. Pour vos déchets, on trouve des poubelles sélectives dans tous les villages, aucune excuse d’en laisser !
Les villages sont parfois éloignés et cela peut poser des problèmes de ravitaillement si l’on n’a pas anticipé. Pour l’eau, ça se passe bien à condition aussi d’anticiper : il y a toujours une fontaine d’eau potable quelque part dans un village. Il y a de belles sources aménagées au bord de la route en montagne (mais non indiquées sur la carte). Au pire, les toilettes des sites publics et toutes les épiceries vous dépanneront (eau minérale à 0,2€/litre).
Le mois de mai est intéressant car pas trop chaud et la végétation n’est pas trop grillée, elle est même encore très fleurie dans une ambiance méditerranéenne (cistes, eucalyptus, bougainvilliers, jasmins…). Il faisait frais le matin, on dormait super bien sous la tente, on tombait la veste vers 9h du matin sauf par vent de Nord en montagne, il faut alors pouvoir s’habiller. Les chants d’oiseaux étaient très présents en cette saison, ils nous ont accompagnés partout le long des routes et autour du bivouac, c’est très agréable. Ce parcours est à éviter l’été.
Les Sardes sont très sympathiques et aidants, très volontiers serviables, nous l’avons apprécié partout et en toutes circonstances.
Faire une boucle en passant par les points touristiques de la Sardaigne pendant 15 jours.
12 journées complètes de vélo + 2 journées avec de courtes transitions + 1 journée de visite à Cagliari, longueur parcourue 950 km pour un dénivelé de 12 800 m.
Organisation :
- Hébergement en camping au fil de l’eau sans réservation (nous sommes en mai et les campings sont ouverts en principe à cette saison) ou en camping sauvage s’il n’y a pas de camping.
- Nos vélos de voyage : Marino a un GITANE VERSO TOUR avec 4 sacoches et Jean Yves a un vélo en acier sur mesure de chez Olympiques Cycles avec 4 sacoches aussi (+ une sacoche clipsée sur le guidon pour chacun).
- Cartographie : carte Michelin n°366 au 1/200 000° + localisation GPS en cas de doute (3 fois) sur des traces faites avec le site cycle.travel, qui a l’intérêt de positionner les campings possibles pour séquencer les étapes. La carte Michelin n’est pas très précise, surtout pour les petites routes qui peuvent avoir des qualités très différentes (chemin stabilisé, béton défoncé, goudron correct)
- Les données des étapes sont issues de notre compteur et d’OpenRunner.
- Les autres informations ont été puisées dans le Guide de la Sardaigne de Lonely Planet (Ed. 2022), complet et fiable pour sélectionner et organiser des visites, et trouver certains hébergements.
Conclusion
La Sardaigne est une île idéale pour le voyage en vélo : petites routes, beaucoup de grands espaces tranquilles et de villages authentiques, une grande variété d’ambiances et de paysages, avec pas trop, trop de dénivelé. Nous avons autant aimé la montagne, très présente, que la mer avec les criques de la côte Est, les douces plages de la côte ouest et les vagues à surf de la Costa Verde ; nous avons apprécié les villes et les villages aux ruelles pavées de dalles et de petits galets, bordées de trattorias (restos) et de gelateria. Par contre, les bâtiments ruraux n’ont pas beaucoup de caractère en général.
On n’a pas tout vu, mais on a bien profité de ce que l’on a vu, et le parcours possède peu de sections inintéressantes, elles sont courtes en tout cas. Mais vous ne trouverez pas de grands itinéraires identifiés, quasiment pas de pistes cyclables, mais par contre beaucoup de motos (allemandes la plupart). Les campings sont assez peu nombreux (rien près de Cagliari, notamment) et parfois fermés mi-mai. Le camping sauvage est possible quand on est coincé, mais il ne faut pas se faire remarquer car les terrains agricoles et naturels sont systématiquement clôturés et fermés par un portail souvent cadenassé. Il n’y a pas beaucoup d’espaces naturels accessibles, et partout du bétail parqué, parfois en divagation. Pour vos déchets, on trouve des poubelles sélectives dans tous les villages, aucune excuse d’en laisser !
Les villages sont parfois éloignés et cela peut poser des problèmes de ravitaillement si l’on n’a pas anticipé. Pour l’eau, ça se passe bien à condition aussi d’anticiper : il y a toujours une fontaine d’eau potable quelque part dans un village. Il y a de belles sources aménagées au bord de la route en montagne (mais non indiquées sur la carte). Au pire, les toilettes des sites publics et toutes les épiceries vous dépanneront (eau minérale à 0,2€/litre).
Le mois de mai est intéressant car pas trop chaud et la végétation n’est pas trop grillée, elle est même encore très fleurie dans une ambiance méditerranéenne (cistes, eucalyptus, bougainvilliers, jasmins…). Il faisait frais le matin, on dormait super bien sous la tente, on tombait la veste vers 9h du matin sauf par vent de Nord en montagne, il faut alors pouvoir s’habiller. Les chants d’oiseaux étaient très présents en cette saison, ils nous ont accompagnés partout le long des routes et autour du bivouac, c’est très agréable. Ce parcours est à éviter l’été.
Les Sardes sont très sympathiques et aidants, très volontiers serviables, nous l’avons apprécié partout et en toutes circonstances.
Activité :
vélo de randonnée
randonnée/trek
Statut :
réalisé
DATE :
12/05/2024
Durée :
16 jours
Mobilité douce
Précisions :
Transport à partir de Lyon en voiture jusqu’à Toulon puis traversée en bateau avec la compagnie Corsica Ferries
Tour de la Sardaigne en 2 semaines
Les étapes :
1
mise à jour : 07 juil. 2024
Dimanche 12 mai :
Nous prenons notre voiture jusqu’à Toulon puis visitons le Mont Faron où nous profitons d’une belle vue sur la rade. Nous laissons notre voiture sur un parking gratuit près du port, puis embarquons dans le ferry de 20h avec un accueil « rustique » pour les vélos, à attacher nous-mêmes avec des sangles aux mains courantes d’un pont à voitures.
N’ayant réservé ni cabine ni fauteuils, nous « bivouaquons » comme beaucoup d’autres dans les espaces de circulation garnis de moquette. Mais tout le bateau est constamment éclairé et exposé au bruit des machines ; ça peut gêner pour passer une bonne nuit ! Le petit-déjeuner nous requinquera après l’escale d’Ajaccio ; les hauts sommets pointus de la Corse défile doucement devant nous, alors que la Sardaigne s’approche déjà.
Nous prenons notre voiture jusqu’à Toulon puis visitons le Mont Faron où nous profitons d’une belle vue sur la rade. Nous laissons notre voiture sur un parking gratuit près du port, puis embarquons dans le ferry de 20h avec un accueil « rustique » pour les vélos, à attacher nous-mêmes avec des sangles aux mains courantes d’un pont à voitures.
N’ayant réservé ni cabine ni fauteuils, nous « bivouaquons » comme beaucoup d’autres dans les espaces de circulation garnis de moquette. Mais tout le bateau est constamment éclairé et exposé au bruit des machines ; ça peut gêner pour passer une bonne nuit ! Le petit-déjeuner nous requinquera après l’escale d’Ajaccio ; les hauts sommets pointus de la Corse défile doucement devant nous, alors que la Sardaigne s’approche déjà.
2
mise à jour : 07 juil. 2024
Lundi 13 mai :
Nous arrivons en bateau à Porto Torres à 12h puis nous éloignons de cette grande ville par de longues lignes droites à travers une campagne morne et desséchée ; peu à peu, la campagne devient plus attrayante, avec des oliviers et des bosquets de pins, des crêtes rocheuses rouges se dressent vers l’ouest. Nous obliquons de ce côté par une petite route qui mène au lac sauvage de Baratz, puis gagnons la très jolie côte rocheuse où se trouve le camping de Porticciolio : il est encore fermé ! Ce qui nous oblige à aller au camping suivant, qui est à Fertilia distante de 18km !
Données de l’étape 1 :
Longueur : 62 km Vitesse moyenne : 16,3 km/h
Données de l’étape 1 avec Open Runner:
Longueur : 50 km D+ : 369 m/D- : 380 m Alti max : 157 m/Alti min : 2 m
Différence avec le compteur : recherches de camping, aller-retour au bord du lac de Baratz par un chemin
Nous arrivons en bateau à Porto Torres à 12h puis nous éloignons de cette grande ville par de longues lignes droites à travers une campagne morne et desséchée ; peu à peu, la campagne devient plus attrayante, avec des oliviers et des bosquets de pins, des crêtes rocheuses rouges se dressent vers l’ouest. Nous obliquons de ce côté par une petite route qui mène au lac sauvage de Baratz, puis gagnons la très jolie côte rocheuse où se trouve le camping de Porticciolio : il est encore fermé ! Ce qui nous oblige à aller au camping suivant, qui est à Fertilia distante de 18km !
Données de l’étape 1 :
Longueur : 62 km Vitesse moyenne : 16,3 km/h
Données de l’étape 1 avec Open Runner:
Longueur : 50 km D+ : 369 m/D- : 380 m Alti max : 157 m/Alti min : 2 m
Différence avec le compteur : recherches de camping, aller-retour au bord du lac de Baratz par un chemin
3
mise à jour : 07 juil. 2024
Mardi 14 mai :
Après une bonne nuit passée au camping Laguna Blue (accueil très aimable), nous repartons visiter en aller-retour la grotte de Neptune, au bout du Capo Caccia qui est un mélange paradoxal de réserve naturelle et d’hyper concentration touristique. Ca valait la peine de descendre 600 marches pour profiter des belles ambiances avec une entrée de la grotte au raz de la mer, et une foule de concrétions à l’intérieur. Revenus au camping, nous poursuivons le long de la baie pour aller visiter la très jolie ville ancienne d’Alghero avec ses remparts médiévaux et ses étroites rues dallées (et déguster notre première glace italienne !), puis nous rallions Bosa par la très belle route (mais très cabossée, ça fera le soir 1100 m de D+ au compteur !) entre mer et crêtes granitiques tourmentées dans un maquis odorant. Nous arrivons au camping de S’Abba Druche niché au bord d’une crique après la descente des 10 km de notre premier col !
Données de l’étape 2 :
Longueur : 84 km Vitesse moyenne : 15,1 km/h
Données de l’étape 2 avec Open Runner:
Longueur : 84 km D+ : 1 108 m/D- : 1 112 m Alti max : 368 m/Alti min : 1 m
Après une bonne nuit passée au camping Laguna Blue (accueil très aimable), nous repartons visiter en aller-retour la grotte de Neptune, au bout du Capo Caccia qui est un mélange paradoxal de réserve naturelle et d’hyper concentration touristique. Ca valait la peine de descendre 600 marches pour profiter des belles ambiances avec une entrée de la grotte au raz de la mer, et une foule de concrétions à l’intérieur. Revenus au camping, nous poursuivons le long de la baie pour aller visiter la très jolie ville ancienne d’Alghero avec ses remparts médiévaux et ses étroites rues dallées (et déguster notre première glace italienne !), puis nous rallions Bosa par la très belle route (mais très cabossée, ça fera le soir 1100 m de D+ au compteur !) entre mer et crêtes granitiques tourmentées dans un maquis odorant. Nous arrivons au camping de S’Abba Druche niché au bord d’une crique après la descente des 10 km de notre premier col !
Données de l’étape 2 :
Longueur : 84 km Vitesse moyenne : 15,1 km/h
Données de l’étape 2 avec Open Runner:
Longueur : 84 km D+ : 1 108 m/D- : 1 112 m Alti max : 368 m/Alti min : 1 m
4
mise à jour : 07 juil. 2024
Mercredi 15 mai :
Nous partons à 8h15 pour aller visiter la charmante vieille ville de Bosa, sans aller au château des Malaspina qui n’ouvre qu’à 10h. Nous traversons une campagne bien active jalonnée de gros villages perchés, enchaînant fond de vallons verdoyants et grimpettes sur les crêtes, passons sous la basilique de Cuglieri, et dévalons à la crique de Santa Caterina di Pittinuri pour une pause-déjeuner parfaite : falaises blanches, mer scintillante, parc ombragé. Ca devient presque plat à travers la péninsule du Sinis (oliviers, vignes, artichauts) pour atteindre tout au bout le site archéologique de Tharros (empilement successif d’habitats nuragique, phénicien, punique et romain !), puis nous allons au camping confortable et peu cher de Torre Grande (le Spinnaker), avec plage et grande pinède.
Données de l’étape 3 :
Longueur : 90 km Vitesse moyenne : 15,3 km/h
Données de l’étape 3 avec Open Runner:
Longueur : 93 km D+ : 964 m/D- : 964 m Alti max : 410 m/Alti min : 0 m
Nous partons à 8h15 pour aller visiter la charmante vieille ville de Bosa, sans aller au château des Malaspina qui n’ouvre qu’à 10h. Nous traversons une campagne bien active jalonnée de gros villages perchés, enchaînant fond de vallons verdoyants et grimpettes sur les crêtes, passons sous la basilique de Cuglieri, et dévalons à la crique de Santa Caterina di Pittinuri pour une pause-déjeuner parfaite : falaises blanches, mer scintillante, parc ombragé. Ca devient presque plat à travers la péninsule du Sinis (oliviers, vignes, artichauts) pour atteindre tout au bout le site archéologique de Tharros (empilement successif d’habitats nuragique, phénicien, punique et romain !), puis nous allons au camping confortable et peu cher de Torre Grande (le Spinnaker), avec plage et grande pinède.
Données de l’étape 3 :
Longueur : 90 km Vitesse moyenne : 15,3 km/h
Données de l’étape 3 avec Open Runner:
Longueur : 93 km D+ : 964 m/D- : 964 m Alti max : 410 m/Alti min : 0 m
5
mise à jour : 07 juil. 2024
Jeudi 16 mai :
Nous commençons par aller visiter le nouveau musée archéologique de Cabras, petit mais très intéressant sur les découvertes locales et les statues nuragiques géantes. Nous visitons ensuite la vieille ville d’Oristano et gagnons la pointe Sud de l’immense golfe d’Oristano en traversant la plaine d’Arborea gagnée sur les marais par Mussolini. Culture et élevage intensifs et routes orthogonales dans ces grands aménagements, et colonies de flamants roses et d’aigrettes le long des canaux. Nous longeons l’après-midi la belle côte déchiquetée de la Costa Verde, et après Portu Maga, la route devient une piste qui débouche sur les dunes et la très belle plage en sable doré de Piscinas, ourlée de gros rouleaux, dans une superbe ambiance.
Données de l’étape 4 :
Longueur : 75 km Vitesse moyenne : 14,3 km/h
Données de l’étape 4 avec Open Runner :
Longueur : 76 km D+ : 720 m/D- : 668 m Alti max : 153 m/Alti min : 0 m
Nous commençons par aller visiter le nouveau musée archéologique de Cabras, petit mais très intéressant sur les découvertes locales et les statues nuragiques géantes. Nous visitons ensuite la vieille ville d’Oristano et gagnons la pointe Sud de l’immense golfe d’Oristano en traversant la plaine d’Arborea gagnée sur les marais par Mussolini. Culture et élevage intensifs et routes orthogonales dans ces grands aménagements, et colonies de flamants roses et d’aigrettes le long des canaux. Nous longeons l’après-midi la belle côte déchiquetée de la Costa Verde, et après Portu Maga, la route devient une piste qui débouche sur les dunes et la très belle plage en sable doré de Piscinas, ourlée de gros rouleaux, dans une superbe ambiance.
Données de l’étape 4 :
Longueur : 75 km Vitesse moyenne : 14,3 km/h
Données de l’étape 4 avec Open Runner :
Longueur : 76 km D+ : 720 m/D- : 668 m Alti max : 153 m/Alti min : 0 m
6
mise à jour : 07 juil. 2024
Vendredi 17 mai :
Nous partons à 8h30 du camping (agréable mais à l’accueil moyen) de Piscinas par une piste proche des anciennes mines (visite possible), puis remontons jusqu’au col de Bidderbi par une route tranquille mais raide ; au col, nous sommes « loin » de la mer, l’ambiance est devenue en 15 km champêtre et montagnarde, les bas-côtés sont très fleuris, des vaches vaquent sur la route. Après une bien belle descente sur Fluminimaggiore, nous remontons des vallons frais et boisés pour aller visiter seuls avec un audioguide la belle grotte de Sa Mannau, puis le temple di Antas. Nous remontons au col de Genna Bogai, suivi d’une autre belle descente jusqu’à Iglesias, que nous traversons sans visiter pour arriver vers 19 heures au camping de Donne Rurali à Villamassargia.
Données de l’étape 5 :
Longueur : 70 km Vitesse moyenne : 13,4 km/h
Données de l’étape 5 avec Open Runner:
D+ : 1 023 m/D- : 957 m Alti max : 548 m/Alti min : 42 m
Nous partons à 8h30 du camping (agréable mais à l’accueil moyen) de Piscinas par une piste proche des anciennes mines (visite possible), puis remontons jusqu’au col de Bidderbi par une route tranquille mais raide ; au col, nous sommes « loin » de la mer, l’ambiance est devenue en 15 km champêtre et montagnarde, les bas-côtés sont très fleuris, des vaches vaquent sur la route. Après une bien belle descente sur Fluminimaggiore, nous remontons des vallons frais et boisés pour aller visiter seuls avec un audioguide la belle grotte de Sa Mannau, puis le temple di Antas. Nous remontons au col de Genna Bogai, suivi d’une autre belle descente jusqu’à Iglesias, que nous traversons sans visiter pour arriver vers 19 heures au camping de Donne Rurali à Villamassargia.
Données de l’étape 5 :
Longueur : 70 km Vitesse moyenne : 13,4 km/h
Données de l’étape 5 avec Open Runner:
D+ : 1 023 m/D- : 957 m Alti max : 548 m/Alti min : 42 m
7
mise à jour : 07 juil. 2024
Samedi 18 mai :
Départ à 8h15 pour un transfert commode en train à Cagliari. Nous avons un peu de difficulté à trouver une chambre car il n’y a pas de camping près de la ville mais avec un peu d’opiniâtreté, on en trouve une en plein centre à la Maison Savoia. A noter, une auberge de jeunesse accueillante mais fermée aux touristes jusqu’à début juin. Nous visitons à pied le quartier historique du Castello, avec de belles vues alentours, puis le musée archéologique très complet et sont bien présentées les trouvailles faites dans les sites de toute l’île. Encore une dégustation de glaces italiennes, et dîner dans l’effervescence de la place Yenne, un lieu incontournable où se croisent toutes les catégories d’habitants ! Une chouette étape, reposante et instructive.
Départ à 8h15 pour un transfert commode en train à Cagliari. Nous avons un peu de difficulté à trouver une chambre car il n’y a pas de camping près de la ville mais avec un peu d’opiniâtreté, on en trouve une en plein centre à la Maison Savoia. A noter, une auberge de jeunesse accueillante mais fermée aux touristes jusqu’à début juin. Nous visitons à pied le quartier historique du Castello, avec de belles vues alentours, puis le musée archéologique très complet et sont bien présentées les trouvailles faites dans les sites de toute l’île. Encore une dégustation de glaces italiennes, et dîner dans l’effervescence de la place Yenne, un lieu incontournable où se croisent toutes les catégories d’habitants ! Une chouette étape, reposante et instructive.
8
mise à jour : 07 juil. 2024
Dimanche 19 mai :
Nous partons à 7h30 pour la gare de Monserrato en traversant une ville déserte et rafraîchie par la pluie nocturne, mais il n’y a pas de train pour Isili en cette saison ! C’est donc en vélo que nous continuons par des petites routes de campagne jusqu’à Guasila (jolies fresques sur la vie locale) et Villanovafranca, où nous déjeunons dans l’ambiance sympathique de la fête locale des amandes. Le relief change, des buttes abruptes forment des plateaux suspendus au-dessus de la plaine ; le plus grand abrite la réserve des chevaux sauvages de Gesturi ; à Buramini, nous visitons le site très intéressant du nuraghe Su Nuraxi, puis le musée attenant sur son découvreur. Nous traversons des villages sympathiques près du plateau de Gesturi avant d’aller dénicher un bivouac près du lac d’Isili… 20h45 ! Une journée bien remplie !
Données de l’étape 6 :
Longueur : 98,5 km Vitesse moyenne : 13,5 km/h
Données de l’étape 6 avec Open Runner:
Longueur : 83 km D+ : 1 221 m/D- : 828 m Alti max : 436 m/Alti min : 4 m
Différence avec le compteur : les recherches du bivouac au lac d’Isili
Nous partons à 7h30 pour la gare de Monserrato en traversant une ville déserte et rafraîchie par la pluie nocturne, mais il n’y a pas de train pour Isili en cette saison ! C’est donc en vélo que nous continuons par des petites routes de campagne jusqu’à Guasila (jolies fresques sur la vie locale) et Villanovafranca, où nous déjeunons dans l’ambiance sympathique de la fête locale des amandes. Le relief change, des buttes abruptes forment des plateaux suspendus au-dessus de la plaine ; le plus grand abrite la réserve des chevaux sauvages de Gesturi ; à Buramini, nous visitons le site très intéressant du nuraghe Su Nuraxi, puis le musée attenant sur son découvreur. Nous traversons des villages sympathiques près du plateau de Gesturi avant d’aller dénicher un bivouac près du lac d’Isili… 20h45 ! Une journée bien remplie !
Données de l’étape 6 :
Longueur : 98,5 km Vitesse moyenne : 13,5 km/h
Données de l’étape 6 avec Open Runner:
Longueur : 83 km D+ : 1 221 m/D- : 828 m Alti max : 436 m/Alti min : 4 m
Différence avec le compteur : les recherches du bivouac au lac d’Isili
9
mise à jour : 07 juil. 2024
Lundi 20 mai :
Sans traîner, nous quittons le bivouac sous la pluie pour aborder la montagne avec la route de Laconi (musée fermé le lundi) ; nous passons 2 hauts cols pas très raides, le grand col routier du Valico Ortuabis, puis le Valico Sa Casa à 1 040 m, dans une ambiance de montagne très agréable, avant d’arriver à la jolie station touristique d’Aritzo (musée fermé le lundi, jolies fresques, ruelles pavées). Nous sommes surpris par un énorme orage juste dans le village de Gadoni (ouf !) puis l’orage passé, nous poursuivons jusqu’à Seulo où la pluie nous rejoint. Enfin à l’abri au camping Helga’s Agrotourismo vers 19h30, nous ne visiterons pas les jolis sites naturels des environs de Seulo, labellisée « Zone Bleue » pour ses nombreux centenaires aux portraits peints sur les façades.
Données de l’étape 7 :
Longueur : 70 km Vitesse moyenne : 13 km/h D+ : m/D- : m Alti max : m/Alti min : m
Données de l’étape 7 avec Open Runner:
Longueur : 66 km D+ : 1 355 m/D- : 995 m Alti max : 1 038 m/Alti min : 358 m
Différence avec le compteur : aller-retour au village de Seulo pour faire des courses
Sans traîner, nous quittons le bivouac sous la pluie pour aborder la montagne avec la route de Laconi (musée fermé le lundi) ; nous passons 2 hauts cols pas très raides, le grand col routier du Valico Ortuabis, puis le Valico Sa Casa à 1 040 m, dans une ambiance de montagne très agréable, avant d’arriver à la jolie station touristique d’Aritzo (musée fermé le lundi, jolies fresques, ruelles pavées). Nous sommes surpris par un énorme orage juste dans le village de Gadoni (ouf !) puis l’orage passé, nous poursuivons jusqu’à Seulo où la pluie nous rejoint. Enfin à l’abri au camping Helga’s Agrotourismo vers 19h30, nous ne visiterons pas les jolis sites naturels des environs de Seulo, labellisée « Zone Bleue » pour ses nombreux centenaires aux portraits peints sur les façades.
Données de l’étape 7 :
Longueur : 70 km Vitesse moyenne : 13 km/h D+ : m/D- : m Alti max : m/Alti min : m
Données de l’étape 7 avec Open Runner:
Longueur : 66 km D+ : 1 355 m/D- : 995 m Alti max : 1 038 m/Alti min : 358 m
Différence avec le compteur : aller-retour au village de Seulo pour faire des courses
10
mise à jour : 07 juil. 2024
Mardi 21 mai :
Nous partons à 8h30 pour Seui par une route en balcon avec de beaux points de vue sur les vallées profondes et les gros villages blancs accrochés en haut des pentes. Après les courses du jour, nous montons une petite route très raide au départ, qui gagne une ligne de crête très sauvage par le Genna e’Medau. Le cheminement devient alors panoramique et nous fait découvrir de superbes vues du parc naturel de la chaine du Gennargentu, avec la punta de Marmora, point culminant de la Sardaigne à 1800m, et les profondes vallées pastorales. Très belles forêts de châtaigniers et de chênes, beaucoup de fleurs (cistes, potentilles, lavandes…) mais aussi des vaches et des cochons sur notre chemin. Un coin idéal pour randonner avec des fontaines aménagées le long du parcours. Nous arrivons à 17h près d’une cabane forestière en retrait de la route, avec une source : parfait pour bivouaquer, car l’eau très trop basse pour camper près du barrage où divaguent quantité de vaches.
Données de l’étape 8 :
Longueur : 63,7 km Vitesse moyenne : 12,5 km/h
Données de l’étape 8 avec Open Runner:
Longueur : 60 km D+ : 1 152 m/D- : 1 089 m Alti max : 1 133 m/Alti min : 723 m
Différence avec le compteur : aller-retour dans le village de Seui pour faire des courses et trouver la bifurcation
Nous partons à 8h30 pour Seui par une route en balcon avec de beaux points de vue sur les vallées profondes et les gros villages blancs accrochés en haut des pentes. Après les courses du jour, nous montons une petite route très raide au départ, qui gagne une ligne de crête très sauvage par le Genna e’Medau. Le cheminement devient alors panoramique et nous fait découvrir de superbes vues du parc naturel de la chaine du Gennargentu, avec la punta de Marmora, point culminant de la Sardaigne à 1800m, et les profondes vallées pastorales. Très belles forêts de châtaigniers et de chênes, beaucoup de fleurs (cistes, potentilles, lavandes…) mais aussi des vaches et des cochons sur notre chemin. Un coin idéal pour randonner avec des fontaines aménagées le long du parcours. Nous arrivons à 17h près d’une cabane forestière en retrait de la route, avec une source : parfait pour bivouaquer, car l’eau très trop basse pour camper près du barrage où divaguent quantité de vaches.
Données de l’étape 8 :
Longueur : 63,7 km Vitesse moyenne : 12,5 km/h
Données de l’étape 8 avec Open Runner:
Longueur : 60 km D+ : 1 152 m/D- : 1 089 m Alti max : 1 133 m/Alti min : 723 m
Différence avec le compteur : aller-retour dans le village de Seui pour faire des courses et trouver la bifurcation
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mise à jour : 07 juil. 2024
Mercredi 22 mai :
Nous partons à 8h pour Villagrande Strisalli (belles fresques sur les façades), accroché à la pente et d’où on voit la mer qui scintille, puis nous suivons pendant 10 km une ancienne route panoramique interdite aux voitures pour cause d’éboulements multiples, défoncée mais superbe, jusqu’à Talana ; là, nous retrouvons une voirie normale jusqu’à Urzulei, où commence la montée au col du Genna Silana par la « legendary SS125 » et ses hordes de motards et de campings cars. Nous y pique-niquons, faisons une petite balade à pied sur la crête au-dessus du col avant de redescendre la SS125 avec de superbes vues sur l’entrée du canyon Gola di Gorropu ; nous remontons la vallée jusqu’au ponte Sa Brava, terminus de la route, où un parking payant nous laisser camper… pour 5 euros la nuit, avec la rivière fraiche et gratuite pour la toilette ! Conditions parfaites dans un très beau site.
Données de l’étape 9 :
Longueur : 80 km Vitesse moyenne : 14,7 km/h
Données de l’étape 9 avec Open Runner:
Longueur : 78 km D+ : 1 146 m/D- : 1 748 m Alti max : 1 023 m/Alti min : 151 m
Nous partons à 8h pour Villagrande Strisalli (belles fresques sur les façades), accroché à la pente et d’où on voit la mer qui scintille, puis nous suivons pendant 10 km une ancienne route panoramique interdite aux voitures pour cause d’éboulements multiples, défoncée mais superbe, jusqu’à Talana ; là, nous retrouvons une voirie normale jusqu’à Urzulei, où commence la montée au col du Genna Silana par la « legendary SS125 » et ses hordes de motards et de campings cars. Nous y pique-niquons, faisons une petite balade à pied sur la crête au-dessus du col avant de redescendre la SS125 avec de superbes vues sur l’entrée du canyon Gola di Gorropu ; nous remontons la vallée jusqu’au ponte Sa Brava, terminus de la route, où un parking payant nous laisser camper… pour 5 euros la nuit, avec la rivière fraiche et gratuite pour la toilette ! Conditions parfaites dans un très beau site.
Données de l’étape 9 :
Longueur : 80 km Vitesse moyenne : 14,7 km/h
Données de l’étape 9 avec Open Runner:
Longueur : 78 km D+ : 1 146 m/D- : 1 748 m Alti max : 1 023 m/Alti min : 151 m
12
mise à jour : 07 juil. 2024
Jeudi 23 mai :
Nous partons à la fraîche dès 7h30 par un joli sentier d’1h30 au milieu de la garrigue pour aller visiter le site de Tiscali. Nous trouvons une ambiance émouvante dans le village nuraghe, très beau au milieu d’une immense doline effondrée, située tout en haut de la falaise où grimpe le sentier. Après notre retour au parking et le pique-nique, nous repartons à pied pour 1h30 dans le canyon du Gola di Gorropu, étroit boyau encombré de blocs et dominé de très belles falaises. Nous repartons en vélo vers 16h30 pour remonter à Dorgali, puis arrivons au camping Agritourismo de Codula Fuili à Pranos, au-dessus de Cala Gonone, vers 19h30. Le panorama est exceptionnel au-dessus de la mer.
Données de l’étape 10 :
Longueur : 22 km Vitesse moyenne : 12,3 km/h
Données de l’étape 10 avec Open Runner :
Longueur : 20 km D+ : 489 m/D- : 442 m Alti max : 510 m/Alti min : 151 m
Nous partons à la fraîche dès 7h30 par un joli sentier d’1h30 au milieu de la garrigue pour aller visiter le site de Tiscali. Nous trouvons une ambiance émouvante dans le village nuraghe, très beau au milieu d’une immense doline effondrée, située tout en haut de la falaise où grimpe le sentier. Après notre retour au parking et le pique-nique, nous repartons à pied pour 1h30 dans le canyon du Gola di Gorropu, étroit boyau encombré de blocs et dominé de très belles falaises. Nous repartons en vélo vers 16h30 pour remonter à Dorgali, puis arrivons au camping Agritourismo de Codula Fuili à Pranos, au-dessus de Cala Gonone, vers 19h30. Le panorama est exceptionnel au-dessus de la mer.
Données de l’étape 10 :
Longueur : 22 km Vitesse moyenne : 12,3 km/h
Données de l’étape 10 avec Open Runner :
Longueur : 20 km D+ : 489 m/D- : 442 m Alti max : 510 m/Alti min : 151 m
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mise à jour : 07 juil. 2024
Vendredi 24 mai :
Nous dévalons du camping jusqu’à Cala Gonone pour aller prendre le sentier qui mène à la Cala Luna sans y aller tout à fait, puis nous profitons d’une baignade bien fraîche à la Cala Fuili. Nous remontons pour pique-niquer au camping et reprenons la route sans tarder ; après une rude montée jusqu’au tunnel avant Dorgali, nous traversons plaines et collines bien cabossées jusqu’à Bitti où nous arrivons à 18h30 ; ambiance de l’intérieur traditionnel, avec ses épiceries rustiques et les habitants qui discutent par petits groupes le soir sur les places, après celle de la côte touristique. Nous couchons à la belle étoile devant un champ faute de mieux, avant de monter la tente vaille que vaille sous un orage nocturne.
Données de l’étape 11 :
Longueur : 64 km Vitesse moyenne : 12,5 km/h
Données de l’étape 11 avec Open Runner :
Longueur : 62 km D+ : 1 439 m/D- : 1 106 m Alti max : 606 m/Alti min : 25 m
Nous dévalons du camping jusqu’à Cala Gonone pour aller prendre le sentier qui mène à la Cala Luna sans y aller tout à fait, puis nous profitons d’une baignade bien fraîche à la Cala Fuili. Nous remontons pour pique-niquer au camping et reprenons la route sans tarder ; après une rude montée jusqu’au tunnel avant Dorgali, nous traversons plaines et collines bien cabossées jusqu’à Bitti où nous arrivons à 18h30 ; ambiance de l’intérieur traditionnel, avec ses épiceries rustiques et les habitants qui discutent par petits groupes le soir sur les places, après celle de la côte touristique. Nous couchons à la belle étoile devant un champ faute de mieux, avant de monter la tente vaille que vaille sous un orage nocturne.
Données de l’étape 11 :
Longueur : 64 km Vitesse moyenne : 12,5 km/h
Données de l’étape 11 avec Open Runner :
Longueur : 62 km D+ : 1 439 m/D- : 1 106 m Alti max : 606 m/Alti min : 25 m
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mise à jour : 07 juil. 2024
Samedi 25 mai :
Départ à 9h après la pluie ; la route est tranquille, nous visitons au passage le sanctuaire nuragique très intéressant de Romancezu, joliment situé sur cette région faite d’un plateau à 700 m d’altitude occupé par de vastes prairies ombragées de chênes-lièges où paissent vaches et moutons entre des murets de pierres sèches. Après une visite du nuraghe Lolei, nous atteignons la fin du plateau à Budduso, gros bourg authentique où nous pique-niquons d’une « pizza al taglio » (à la portion). Nous poursuivons par une grande route sans charme jusqu’à Ozieri, grande ville perchée au-dessus d’une plaine agricole que nous traversons sur 15 km pour dénicher un endroit de bivouac tranquille en haut d’une petite éminence bien dégagée vers 18h30.
Données de l’étape 12 :
Longueur : 81 km Vitesse moyenne : 15,6 km/h
Données de l’étape 12 avec Open Runner :
Longueur : 79 km D+ : 971 m/D- : 1 183 m Alti max : 829 m/Alti min : 171 m
Départ à 9h après la pluie ; la route est tranquille, nous visitons au passage le sanctuaire nuragique très intéressant de Romancezu, joliment situé sur cette région faite d’un plateau à 700 m d’altitude occupé par de vastes prairies ombragées de chênes-lièges où paissent vaches et moutons entre des murets de pierres sèches. Après une visite du nuraghe Lolei, nous atteignons la fin du plateau à Budduso, gros bourg authentique où nous pique-niquons d’une « pizza al taglio » (à la portion). Nous poursuivons par une grande route sans charme jusqu’à Ozieri, grande ville perchée au-dessus d’une plaine agricole que nous traversons sur 15 km pour dénicher un endroit de bivouac tranquille en haut d’une petite éminence bien dégagée vers 18h30.
Données de l’étape 12 :
Longueur : 81 km Vitesse moyenne : 15,6 km/h
Données de l’étape 12 avec Open Runner :
Longueur : 79 km D+ : 971 m/D- : 1 183 m Alti max : 829 m/Alti min : 171 m
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mise à jour : 07 juil. 2024
Dimanche 19 mai :
Nous partons à 8h30 par une route rurale pour Castelsardo, ancienne place forte pisane perchée magnifiquement au-dessus des eaux bleues du golfe dell’Asinara, et devenue une place forte … touristique ! A partir de Chiaramonti, la campagne semble prospère, les villages pimpants étagent leurs jolies façades pastel au rebord des collines. Au passage, nous nous arrêtons à Sedini, village construit contre une falaise, dont nous visitons le sympathique, sinon très sérieux, musée troglodyte. A Castelsardo, nous visitons la vieille ville et son château, avec une exposition originale sur l’artisanat local élaboré de la vannerie. Nous repartons, en ayant savouré une dernière merveilleuse glace italienne ; nous longeons la mer pour atteindre vers 17h l’unique camping ouvert du Golfo dell’Asinara. Le cœur se serre un peu en approchant du point de départ et de la fin prochaine du voyage.
Données de l’étape 13 :
Longueur : 80 km Vitesse moyenne : 16,2 km/h
Données de l’étape 13 avec Open Runner :
Longueur : 79 km D+ : 819 m/D- : 1 116 m Alti max : 430 m/Alti min : 3 m
Nous partons à 8h30 par une route rurale pour Castelsardo, ancienne place forte pisane perchée magnifiquement au-dessus des eaux bleues du golfe dell’Asinara, et devenue une place forte … touristique ! A partir de Chiaramonti, la campagne semble prospère, les villages pimpants étagent leurs jolies façades pastel au rebord des collines. Au passage, nous nous arrêtons à Sedini, village construit contre une falaise, dont nous visitons le sympathique, sinon très sérieux, musée troglodyte. A Castelsardo, nous visitons la vieille ville et son château, avec une exposition originale sur l’artisanat local élaboré de la vannerie. Nous repartons, en ayant savouré une dernière merveilleuse glace italienne ; nous longeons la mer pour atteindre vers 17h l’unique camping ouvert du Golfo dell’Asinara. Le cœur se serre un peu en approchant du point de départ et de la fin prochaine du voyage.
Données de l’étape 13 :
Longueur : 80 km Vitesse moyenne : 16,2 km/h
Données de l’étape 13 avec Open Runner :
Longueur : 79 km D+ : 819 m/D- : 1 116 m Alti max : 430 m/Alti min : 3 m
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mise à jour : 07 juil. 2024
Lundi 20 mai :
Nous profitons de la belle plage du camping avec une dernière baignade, puis faisons les quelques kilomètres pour Porto Torres, avant d’y déjeuner dans un petit resto bien mérité, le ristorante Garibaldi, sur la piazza du même nom, située juste derrière le quia des ferries. Le bateau part à 17h pour Toulon et l’arrivée aura lieu le mardi à 8h à Toulon, après une escale à Ajaccio et un beau coucher de soleil sur les îles sanguinaires. Le bateau sera cette fois beaucoup moins bruyant, la moquette plus épaisse et les lumières moins vives ! Le retour sur Lyon se fera en voiture.
Données de l’étape 14 avec Open Runner :
Longueur : 9 km D+ : 56 m/D- : 46 m Alti max : 33 m/Alti min : 3 m
Nous profitons de la belle plage du camping avec une dernière baignade, puis faisons les quelques kilomètres pour Porto Torres, avant d’y déjeuner dans un petit resto bien mérité, le ristorante Garibaldi, sur la piazza du même nom, située juste derrière le quia des ferries. Le bateau part à 17h pour Toulon et l’arrivée aura lieu le mardi à 8h à Toulon, après une escale à Ajaccio et un beau coucher de soleil sur les îles sanguinaires. Le bateau sera cette fois beaucoup moins bruyant, la moquette plus épaisse et les lumières moins vives ! Le retour sur Lyon se fera en voiture.
Données de l’étape 14 avec Open Runner :
Longueur : 9 km D+ : 56 m/D- : 46 m Alti max : 33 m/Alti min : 3 m