Autour des (derniers) glaciers de la Vanoise
6 days
88.4km
+5784m
/ -5751m

Mi-juillet, nous avons pris quelques jours de congés pour marcher autour des glaciers de la Vanoise. De refuge en refuge, nous avons fait le tour de la plus grande calotte glaciaire d’Europe, au cœur du Parc national de la Vanoise. Situé en Savoie entre les hautes vallées de la Maurienne et de la Tarentaise, le « grand jardin des français » (Samivel) est le premier parc national français.
Activité :
tekking/hiking
Statut :
done
Distance :
88.4km
DATE :
7/9/22
Durée :
6 days
Dénivelées :
+5784m
/ -5751m
Alti min/max :
1412m/3109m
Eco travel
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
Possible with
train
bus
Details :
La ville du point de départ de la randonnée, Pralognan-la-Vanoise, est accessible en bus depuis Moutiers, desservi en train.
LE TOPO : Fournache (updated : 09 Jun 2023)
17.3km
+1118m
/ -749m
2072m/2650m
Randonner léger et au long cours permet de ramasser son existence autour quelques gestes essentiels : marcher, manger, dormir, boire.
Plus on avance, plus l’horizon s’éclaircit. On finit par monter ce qui, de loin, semblait infranchissable. En randonnée, comme dans la vie, il est décourageant de voir au loin un objectif, au bout d’un chemin dont on ne voit pas la fin. Mieux vaut se fixer de petits objectifs, comme de petits lacets qui amènent jusqu’à un sommet.
Sortir des sentiers battus. Prendre des chemins de traverse. Varier. Vérifier que le lac indiqué par la carte est bien là. Il apparaît, presque asséché, au pied de la pointe de Bellecôte. Ses rives sont couvertes d’empreintes d’ongulés. C’est un véritable abreuvoir. Nous repérons un chamois avec les jumelles, puis plusieurs autres.
Plus on avance, plus l’horizon s’éclaircit. On finit par monter ce qui, de loin, semblait infranchissable. En randonnée, comme dans la vie, il est décourageant de voir au loin un objectif, au bout d’un chemin dont on ne voit pas la fin. Mieux vaut se fixer de petits objectifs, comme de petits lacets qui amènent jusqu’à un sommet.
Sortir des sentiers battus. Prendre des chemins de traverse. Varier. Vérifier que le lac indiqué par la carte est bien là. Il apparaît, presque asséché, au pied de la pointe de Bellecôte. Ses rives sont couvertes d’empreintes d’ongulés. C’est un véritable abreuvoir. Nous repérons un chamois avec les jumelles, puis plusieurs autres.