À la découverte du parc du Jaizkibel (Pays basque espagnol)
(réalisé)
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4 jours en autonomie.
Le Jaizkibel est un véritable terrain de jeux, les yeux ne s'ennuient jamais. (les jambes non plus)
Plein d'animaux sauvages.
La traversée du parc est possible en une (dure) journée avec retour motorisé depuis Pasaïa
Le bivouac pas trop autorisé, mais en mai, ce n'est pas trop couru ;
Le Jaizkibel est un véritable terrain de jeux, les yeux ne s'ennuient jamais. (les jambes non plus)
Plein d'animaux sauvages.
La traversée du parc est possible en une (dure) journée avec retour motorisé depuis Pasaïa
Le bivouac pas trop autorisé, mais en mai, ce n'est pas trop couru ;
randonnée/trek
Quand : 09/05/15
Durée : 4 jours
Durée : 4 jours
Distance globale :
34.8km
Dénivelées :
+1430m /
-1406m
Alti min/max : 46m/446m
Carnet publié par LucFlo
le 27 juil. 2018
modifié le 07 août 2018
modifié le 07 août 2018
1439 lecteur(s)
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Le topo (mise à jour : 07 août 2018)
Le compte-rendu (mise à jour : 07 août 2018)
Nous avons quatre jours et le parc du Jaizkibel devant nous que nous découvrons.
Fin de journée, au départ de HONDARRIBIA, en face d'Hendaye, côté espagnol, nous démarrons sous un soleil de plomb sur un sentier bien marqué qui monte et descend le long de la côte, genre montagnes russes.
Une heure après le départ, nous plantons la tente sous des pins pour y passer la nuit.
Au petit matin, le ciel est un peu couvert. Nous pensons que nous serons juste en eau, mais elle coule partout de la montagne et nous n'en manquerons pas. Nous traversons des prairies, qui alternent avec des passages où il faut crapahuter.
C'est très fleuri et les rochers sont magnifiques, tant au niveau de leur forme que des couleurs ; on croirait des sculptures. Par endroits, le sol est juché de boulets de canons en pierre!
A part les traversées de prairies, le terrain n'est jamais plat.
Un torrent d'eau douce nous permet de faire une toilette et de nous ravitailler en eau.
nous remontons près de la crête où nous plantons la tente dans l'herbe verte, sur un sommet arrondi.
1000m de dénivelé et 15km nous suffisent pour aujourd'hui.
Fin de journée, au départ de HONDARRIBIA, en face d'Hendaye, côté espagnol, nous démarrons sous un soleil de plomb sur un sentier bien marqué qui monte et descend le long de la côte, genre montagnes russes.
Une heure après le départ, nous plantons la tente sous des pins pour y passer la nuit.
Au petit matin, le ciel est un peu couvert. Nous pensons que nous serons juste en eau, mais elle coule partout de la montagne et nous n'en manquerons pas. Nous traversons des prairies, qui alternent avec des passages où il faut crapahuter.
C'est très fleuri et les rochers sont magnifiques, tant au niveau de leur forme que des couleurs ; on croirait des sculptures. Par endroits, le sol est juché de boulets de canons en pierre!
A part les traversées de prairies, le terrain n'est jamais plat.
Un torrent d'eau douce nous permet de faire une toilette et de nous ravitailler en eau.
nous remontons près de la crête où nous plantons la tente dans l'herbe verte, sur un sommet arrondi.
1000m de dénivelé et 15km nous suffisent pour aujourd'hui.
Le temps est encore un peu brumeux ce matin ; nous prenons la direction de la commune de LEZO, petite ville bien agréable où nous ravitaillons. Nous prenons la direction de Pasaïa, en bus pour éviter de marcher le long de la route, mais ce n'était pas très utile, car le trajet est très court.
Nous rejoignons la crête pour remonter sur Hendaye.
Nous rejoignons la crête pour remonter sur Hendaye.
Après quelques kilomètres à suivre une piste, nous installons le bivouac sur l'herbe, sous les yeux d'un jeune taureau (ben oui, on est en Espagne...) qui nous surveille à distance mais que nous inquiétons visiblement. Ceci dit, c'est réciproque... dénivelé :850m 21 km
Dans la nuit de gros animaux s'approchent de la tente... taureau? chevaux?
Dans la nuit de gros animaux s'approchent de la tente... taureau? chevaux?
Avec la brume, la température qui était tout à fait confortable chute d'au moins dix degrés. Nous continuons hors sentier, puis dans le lit d'un petit torrent. La fin est hasardeuse, le torrent passe sous terre et la végétation est légèrement envahissante. Nous retrouvons le chemin que nous avons pris à l'aller et installons un bivouac paradisiaque. 10km et 300m de dénivelé
